Sur « France info », Gilles Bernheim est sorti de la réserve habituelle des Grands Rabbins de France, pour tenir des propos d’une extrême gravité : « La sécurité des Juifs de France est de plus en plus menacée»
Ces paroles ont le mérite d’être claires, sans équivoque et sans ambiguïté. Elles vont à contre-courant des habituels reproches adressés aux rabbins, durant des périodes cruciales, en critiquant leur indifférence aux dangers immédiats menaçant les Juifs.
Que Bibi Netanyaou insiste sur la nécessité de la Alyah, n’est pas surprenant parce que, c’est le « parcours obligé » pour un Premier Ministre Israélien en visite dans les communautés de l’exil.
Mais que le Grand Rabbin de France, Chef spirituel de la deuxième Communauté juive du monde, confirme que les conditions d’existence en France ne sont plus en mesure de garantir et protéger la sécurité des Juifs, est d’abord un constat d’incapacité des divers gouvernements, obligeant à douter, non de la volonté de l’exécutif de remédier à cet état de faits, mais de son pouvoir réel à modifier cette réalité, sans recourir à des moyens coercitifs que, pour diverses raisons, il ne mettra pas en œuvre.
Prenons conscience que les divers Grands Rabbins de France N’ONT JAMAIS TENU, même à la veille de la Shoah pareils discours ayant valeur de mise en garde.
Saluons le courage, voire l’audace de cet homme, pourtant discret qui, cependant, n’a pas hésité à considérer que la situation des Juifs de France, relevant du PIKOUAH NEFECH, aucun motif ne pouvait justifier que le Grand Rabbin se tût (Pikouah Nefesch : permission de suspendre l’application des règles de la Thora quand la vie est menacée.
Une information de cette importance énoncée par le « Premier Juif de France » transforme radicalement l’appréciation des faits, en supprimant l’aspect optionnel de la Alyah pour le transformer en OBLIGATION.
NB/ A cette rencontre, Mr François Hollande, Président de la République, devait affirmer une inquiétude qui authentifie les propos de Gilles Bernheim: « La sécurité des Juifs est une « cause nationale. » PEUT-ON ÊTRE PLUS CLAIR?
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Bonsoir, il m’est difficile d’être a la fois conscient et lucide, la France n’est pas dans la situation de la Syrie où la barbarie à pris le pas sur les anciennes règles de la chevalerie comme de la noblesse, quand un ennemi est désarmé son exécution sommaire devient aujourd’hui un « crime de guerre » diffusé en vidéo au reste du monde, cependant l’expérience personnelle de cinquante années de vie bien remplies et intensément vécues me font craindre le pire. Plus que jamais les paroles de mon père Jean Claude Mandel résonnent en moi tout comme le rayonnement de sa médaille irradie autour de mon humble personne. N’ayant aucun argument à vous opposer, dois-je me résoudre à accepter le pire? Mon contrat de vie avec ma douce Dominique est toujours en vigueur, mes devoirs de père vis à vis de mes enfants sont vivants en moi et ce ne sont pas des « fondus » qui me feront changer d’avis. P
« se taisât » au lieu de « se tût » ??? Une faute aussi énorme laisserait penser que le français n’est pas votre langue maternelle. Ce que semble contredire votre style…
A vous lire, je suppose que vous avez vous-même fait votre alyah.
En ce qui me concerne, je pense que le rabbin Bernheim a eu raison de prononcer ces paroles, car le danger existe, mais que votre accès de panique est la pire des réponses ! il en existe d’autres : s’organiser, résister, ne pas céder à la peur, dénoncer sans relâche l’antisémitisme des musulmans et de l’extrême-gauche (l’antisémitisme d’extrême-droite se limite aujourd’hui à quelques profanations et des tracts), et même être prêt à se battre si cela devient nécessaire. Comme le fait remarquer Yan, nous ne sommes pas en Syrie ! Fuir, céder à la barbarie, c’est lui laisser le champ libre pour se renforcer, grandir, et nous rattraper un jour, où que nous soyons ! Regardez ce qu’il se passe dans les pays arabes ? La stratégie de Munich conduit directement à Auschwitz. Alors réfléchissez avant d’écrire des conneries.
amicalement quand même
POUR jACK TAJ
« L’amour de l’humanité, sans l’amour de l’étude, a pour défaut l’ignorance ou la stupidité. »
Citation de Confucius ; Les entretiens, Liv. III, XVII, 8 – VIe s. av. J.-C
UNE ASSURANCE QUI VA DE PAIR AVEC…L’IGNORANCE !
Monsieur,
Si « se tût » est la forme retenue par la « modernité, » « se taisât » n’est pas , pour autant, une forme devant être rejetée aussi catégoriquement que vous le faîtes.
Une connaissance de la grammaire, même élémentaire et superficielle, vous apprendrait que la grammaire est souvent plus tolérante que les… hommes.
Pour vous aider à une meilleure approche, vous trouverez ci-après quelques exemples d’utilisation.
Très-excellentes Meditations sur tous les Mystères de la Foy… … – Page 85 – Résultats Google Recherche de Livres
books.google.com/books?id=fCwx6wl2EScC
Luis de la Puente, Gaultier – 1621
… vostre grace , afin qu’elle endure en se taisât ce que vous soufñfristes ,ôcqueie triomphe de mes ennemis comme vous triomphastes.SECOND POINT.
Rencontre .. [PV It
Rachidi Gbadamassi sur radio Tokpa : Heureusement que des …
construirelebenin.over-blog.com/article-35211282.html
24 août 2009 – … sont enregistrées dans la mémoire collective et dans la conscience universelle ce serait un grave péché que l’on se taisât sur les différentes …
Visite de Mathieu Kérékou au Palais de la Présidence : Le …
http://www.actuexpress.com/?p=2892
11 sept. 2009 – Trop d’intentions malveillantes lui ont été prêté en effet pour qu’il se taisâtencore plus longtemps encore que l’on lui connaît sa propension à …
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Etc…etc…
J’observe que, pour vous, faire son Alyah serait une forme de panique et, de surcroît, une « fuite » A vos carences grammaticales et orthographiques, il faut donc, y inclure des manques rédhibitoires en « histoire juive. » Remercions le destin d’avoir orchestré la panique et la fuite des fondateurs de l’Etat Juif.
Enfin, vous m’intimez l’ordre, en utilisant un terme grossier, de cesser d’écrire des « conneries. » attitude que je ne crois pas être la mienne et qui traduit une « attaque à la personne, » bien plus qu’elle n’apporte un élément constructif au débat. Ce manquement à la « civilité » est une signature qui m’empêche de partager le contenu très personnel que vous accordez à l’adverbe « amicalement. »
le Grand Rabbin de France, au lieu d’aller se pavaner avec les représentants de la seule religion de paix, d’amour et de tolérance, ferait bien mieux d’etre plus présent auprès de son peuple.!
ça m’énerve!!!!
Le Haim Arnold