Arnold Lagémi

Dans mon article publié récemment et relatif à  l’IJAN (international Jewish anti zioniste network) accompagné de la Charte du dit mouvement, j’ai annoncé que l’organisation allait publier sa Charte prochainement et annoncer sa création, alors que celle-ci est effective depuis 2008 !

Indéniablement, j’ai été abusé par la mise en page de l’information de « ma source » qui était  présentée d’une telle façon, qu’elle pouvait entraîner une lecture erronée,  pour la date essentiellement, car cette erreur  ne change rien aux faits.

Je n’en suis pas meurtri pour autant, car l’essentiel était d’informer de l’existence d’un mouvement Juif anti-sioniste, organisé,  structuré et de communiquer l’intégralité de sa Charte, citée  au mot à mot, à partir et sur la base du texte officiel. Or, cet essentiel, est authentifié. Et la Charte n’a pas été modifiée.

Certaines manœuvres visent à cristalliser la critique autour de la publication de cette date erronée. Elles  restent l’objet d’une légitime suspicion,   par l’éloignement  de « l’examen de la Charte » auxquelles  elles pourraient conduire.

Atteindre la crédibilité de la réflexion qui ne repose en aucune manière sur une donnée temporelle mais sur un élément constant, à savoir la monstruosité que les Juifs de France et leurs amis ignoraient dans leur très grande majorité, me renforce dans la certitude qu’au-delà de l’erreur dénoncée, c’est la crédibilité du fond qu’on tente d’atteindre !

J’espère que les lecteurs de mon blog et  d’autres sites   ne me tiendront pas  rigueur pour avoir publié une date certes,  erronée   mais portant sur des faits précis et authentifiés qui,  pouvant avoir des conséquences indirectes sur la sécurité des Communautés, devaient être, selon moi,  publiés sans délai.

Les médias, par contre devraient donner les raisons qui depuis 2008, les conduisent à passer sous silence l’existence de L’IJAN

. Et si l’on devait donner  pour motif  à ce silence, le refus de faire « du bruit » sur une structure à ignorer, on confirmerait l’insulte que les Juifs de France ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes, qu’ils manquent de maturité pour affronter une réalité qui, pour  dangereuse qu’elle fût ne devrait  pas faire l’objet d’une rétention et ce, au nom du droit à  l’information.

Peut être aussi la peur explique t-elle cette préservation du silence. Comment ne pas penser à Beaumarchais qui,  dans « Le barbier de Séville disait :

« Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur. »

Pas plus que je n’ai cédé aux menaces personnelles quand j’ai soutenu et soutiens Elie Wiesel dans l’odieuse machination dont il est l’objet,  entouré du singulier silence médiatique,  je n’accepterais pas, qu’en corrigeant 2013 par 2008, je ne sois amené à me taire sur l’odieuse et monstrueuse perversion  susceptible de conduire des Juifs à militer pour la « disparition de l’Etat d’Israël.