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La Bible, laisse loin derrière,  les sciences dites « modernes »  Ses conclusions, formulées depuis des millénaires épousent les plus récentes découvertes.

Le célèbre anatomiste Français, Georges Cuvier,  qui fondit sa réputation sur ses travaux relatifs à l’anatomie comparée ainsi qu’à l’anthropologie, nous confirme ici,  que  les définitions bibliques,  loin d’être    dépassées par celles avancées par les Sciences, sont, au contraire, en mesure d’être considérées comme initiatrices des découvertes, reliées à la géologie notamment.

Article publié ce jour par procédé automatique programmé.

La Bible est en avance sur les Sciences.

(La page mérite d’être lue intégralement. Elle est accessible à un public non scientifique)

Georges   Cuvier

« Ce qu’il y a de plus remarquable pour nous, naturalistes, dans les livres de Moïse, c’est sa cosmogonie qui est de beaucoup supérieure à celle des Egyptiens, et que Deluc trouvait si parfaite qu’il y fondait sa croyance à la réalité d’une révélation reçue par Moïse. Suivant la Genèse, comme tout le monde sait, après que le ciel et la terre eurent été créés, et qu’ils eurent été manifestés par la lumière, les plantes reçurent l’existence, après elles les animaux et enfin l’homme.


Or, cet ordre biblique des diverses créations est précisément celui que leur assigne la géologie. Dans les roches les plus anciennement formées et par conséquent situées le plus profondément, on ne remarque aucun débris d’êtres organiques.


La terre était alors sans habitants, du moins, sans habitants visibles. Mais à mesure qu’on remonte des terrains primitifs à la superficie du globe, on rencontre des vestiges ou des fragments d’animaux ou de végétaux, dont l’organisation va se compliquant depuis les mollusques et les acotylédones les plus simples jusqu’aux quadrupèdes et aux plantes les plus composées.


Jamais, à notre connaissance du moins, on n’a trouvé d’ossements humains dans les couches régulières du globe, comme on en a rencontré qui avaient appartenu à des quadrupèdes. Les débris d’homme qui ont été découverts, gisaient soit dans des terrains meubles, soit dans des cavernes, où ils avaient pu être portés par des animaux carnassiers, soit enfin dans des brèches osseuses, dans des fentes de rochers où sans doute ils avaient été entraînés par des éboulements de terrains ou d’autres causes accidentelles. Il est donc rationnel de penser que l’homme n’a paru sur la terre qu’après les autres classes de mammifères, ainsi que l’exprime le livre de Moïse.

Georges CUVIER. HISTOIRE DES SCIENCES NATURELLES, TOME 1, P 62-Paris-Fortin, Masson et Cie, 1841.


COMMENTAIRE/EXPLICATIONS.

Au-delà du fait illustrant la pensée de Cuvier, le richissime XIXème siècle nous entraîne après les positions avant gardistes et  pré-sionistes des Chateaubriand, Lamartine , etc…vers une zone « réservée » jusque là aux scientifiques : L’examen attentif des faits exclusivement et de l’expérimentation. Nous sommes au pic de la Révolution scientifique, période que l’on désigna pompeusement par «  le positivisme » qu’anima Auguste Comte. La « puissance grandissante » de la confiance manifestée dans l’études des sciences objectives se comprendra mieux, si l’on fait le lien avec la réponse de l’Eglise au positivisme : « La proclamation de l’infaillibilité pontificale ». A l’étude de la « médecine expérimentale », « l’Eglise oppose l’argument irrationnel qui clôt le débat.

Et voilà qu’une « affaire » que tout appelait à transformer en confrontation s’apaisa. Pasteur démontra l’illusion de la croyance en la « génération spontanée. » Du rien, ne subsistera que le « rien. » Sans l’aide d’un « agent extérieur, la vie ne peut apparaître. Et Cuvier fit surgir un regard biblique nouveau qui permit de considérer que la Bible, avait dépassé, depuis fort longtemps, la période des découvertes, afin de se concentrer davantage sur la finalité du projet.

Une Réponse à “« La géologie confirme que la Bible dit « vrai. » » Georges Cuvier (1769-1832)”

  1. Serge Belley dit :

    Il est grand le mystère de la vie, c’est ce que les musulmans ne peuvent tout simplement pas comprendre parce qu’ils ne sont pas des libres penseurs capable de se remettre en question ni de remettre leur idéologie en question, eux frise la folie, nous la sagesse.

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