Parce que si la fin est échec, à l’apéro, point ne te dispensera
Si elle est victoire! Au Champagne, nul ne te dégagera
Si fiasco, de facto, Victoire Ashkénaze par le Schnaps Illico!
Attendre, espérer ou savoir qu’il est en route
C’est accepter son casse-croûte sans QUE CELA COÛTE
Ce « mais si là » n’est pas SCOUT !
Il donne mais dégoûte
Qu’il vienne quoique je fisse ou accomplisse.
Et que je le préférasse sur un âne, mangeant une banane
Qu’à une canne de « Satane » attendant notre manne
N’est-ce pas l’assurer que le Juif est tenace ? Et que sa confiance est vivace ?
Parce qu’être trop classe, c’est être vivace quand tout trépasse ! Et, Weizmann,
La grande Classe à gauche !!!
« Trop classe »soupirant que « le Juif qui ne croit pas au miracle n’est pas
réaliste ? »
Enfin, pour tous ceux qui croient au miracle,
Et pour tous ceux qui n’y croient pas,
Et qui sont ce peuple qui loin d’être race
Sera toujours bien plus que « trop classe »
Car jamais limace, il ne boira la tasse !
Et de « trop classe » qu’il était
Deviendra, le TOP-CLASSE qu’il a toujours été et n’a jamais, en vérité, cessé d’être!
Ce texte, top classe bien plus que son auteur, est porteur de deux conceptions messianiques. Sa classe, c’est qu’il dépasse son concepteur, pour rejoindre les textes des fondements par une liberté aux seuls hommes accordés. Deux visions donc, une ,cinématographique et à grand spectacle, adoptée par celles et ceux qui rendent les clefs sur un constat d’échec et une autre, plus exigeante, donc plus juive, où messie se confond avec un peuple encore sur le champ de bataille dont les Chefs de Josué à Judas Macchabé, de Hertzl à Begin, de Rabin à Bibi, debout attendent la visite du fils de David qu’ils ont invité à visiter le monde né de leurs mains et de leurs tourments. Mais, Herzl se détache s’approche du Très Glorieux Messie et lui présente son passeport.
Le Messie jette son oeil pointu y découvre qu’enfant Herzl a entendu avec son grand père les chiourim du Rav ALKalaï, qu’il était donc sépharade. Golda fait une grimace !
Et puis, fils de David et père de L’Etat bavardent en silence. Begin ,n’en tenant plus interpelle Herzl : « Que te disait-il? »
Il me disait « Sais-tu que les lettres qui forment ton nom H E R T Z L sont les lettres qui commencent Ha Rabanim Zhronam Liberaha. Les rabanim, leur souvenir est bénédiction!
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¡Cumple año feliz Don Arnold! Un saludo desde Lisboa.