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Habitué depuis la Guerre d’Indépendance à affronter des armées régulières, l’Etat d’Israël peine à trouver la longueur d’ondes appropriée pour déterminer le meilleur moyen d’en finir avec cet adversaire à la structure nouvelle, qui, à la différence des ennemis habituels d’Israël n’est pas un Etat, mais une organisation jugée terroriste par la quasi-totalité des nations libres.

Ce groupe de malfaiteurs, fourgué par les Etats Arabes, trop heureux de voir réaliser par d’autres ce qu’ils ne sont  pas capables  de faire : porter préjudice  à l’Etat Juif par tous les moyens, se singularise, cependant, par une approche stratégique  originale et pernicieuse : son espace de stationnement est la zone urbaine de Gaza !

Fait inouï dans les annales militaires : une armée ne relevant d’aucun Etat, s’approprie une enclave territoriale, relevant, en l’occurrence de l’Autorité Palestinienne, y exerce un pouvoir tyrannique et utilise ce territoire pour servir de base logistique à l’envoi vers Israël d’engins meurtriers. Et le monde se tait, laissant l’Etat Juif dans la solitude, avec ce qui reste une menace pour le monde. Ces malfaisants,   mêlés à la population  restant dans la quasi-certitude  sinon de leur  invincibilité, du moins de leur invulnérabilité.

Après la région sud et Tel Aviv, ils ont atteint le cœur et l’âme d’Israël : Jérusalem. L’offense a atteint le point de non-retour.

De tels individus inaptes au dialogue, leur Charte, art 15, prévoit l’anéantissement d’Israël, doivent être combattus et neutralisés. Auparavant, et, à maints égards, Israël devra montrer par une ingéniosité subtile et une imagination hors du commun, qu’il est capable,  sinon d’évacuer mais au moins d’éloigner des futures zones de combat, les malades, les femmes et les enfants.

Ne se sentant pas concerné par les Conventions de Genève, qui, lui font, obligation, cependant, d’évacuer les civils, femmes et enfants notamment, il multiplie les pièges devant Tsahal, en parsemant le positionnement de ses combattants armés en pleine ville de Gaza, au milieu de civils décontenancés.

L’Etat d’Israël doit agir prudemment en faisant constater les faits par tout moyen à sa convenance. Ses services doivent placarder en tout lieu de Gaza, qu’une guerre longue est sur le point d’éclater. Il doit préparer la possibilité aux Gazaouis de quitter la ville s’ils le désirent et informer le CICR de ses intentions. Ces convois placés sous  la surveillance de Tsahal quitteront  les lieux, le moment choisi.

Outre les combats meurtriers et porteurs de risques certains,  Israël doit échapper aux pièges dans lequel ses ennemis tentent de le faire tomber: utiliser les civils comme victimes expiatoires de leur infamie.

2 Réponses à “Le Hamas: le racisme anti-juif pour vocation, la Palestine pour prétexte et l’Islam pour alibi !”

  1. parole de jj dit :

    non Parole ,la presse n’a pas de conscience ,elle est au service du quai d’Orsay ,qui elle pratique la même politique que les dictateurs arabes (mettre toujours Israel et les juifs en avant ) on appelle sa l’antisémitisme transformé en antisionisme , tous ceci pour caché leur échec de l’intégration musulmane , ils ont du mal a comprendre comment Israel a réussi a les intégrées avec une quantité bien supérieur a la France en pourcentage ,la différence est pourtant simple ,nous ne sommes pas anti arabes en Israel ,la preuve ont manges et sortants ensembles ,ils parlent très bien l’hèbreux ,c’est vraie qu’ils sont née en Israel , ils se sont intégrer car ils ont les mêmes chances que les israéliens ,un des juges de la cour suprême est arabes .en France ils ne veulent même pas parler Français , alors ont devient des donneurs de leçons.

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