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Il ne  semble pas qu’Elie Wiesel soit homme à être impressionné par la campagne récemment lancée à son encontre et par laquelle, cherchant à attaquer son crédit, en niant sa déportation, c’est à la mémoire globale de la Shoah qu’on porte atteinte,  en désignant un de ses témoins prestigieux, Prix Nobel de la Paix, comme falsificateur.


Elie Wiesel adopte l’attitude qu’impose le respect de ce qu’il sait représenter et dont l’honneur ne s’accommoderait pas d’une controverse malséante. L’auteur de « La nuit, » par  l’aplomb  du silence  persistant,  ruine tout crédit aux auteurs du scénario accusateur  et abandonne leur production à la « foire aux rumeurs » où elle croupit encore.


Précisons.  Elie Wiesel n’est pas porteur que de son seul témoignage !


Il est le repère, avec quelques rares survivants, du  temps où,  le démon régna sur l’Europe, il y a peu. Cet avant-goût de l’Apocalypse  coûta à Israël six millions des siens et à l’Occident,  sa dignité et son honneur.


Ce témoin vivant ne peut se fourvoyer par des propos quelconques. Si d’aventure, il décidait de « DIRE,  » non,  parce que les façonneurs de « légèretés » le demanderaient,  mais parce qu’il estimerait que,  son silence, s’il se maintenait,  pourrait « troubler » les esprits faibles, les conditions de l’audition, seraient à la mesure de l’évènement : EXCEPTIONNELLES !


Le cadre à pareille « déposition » ne pourrait, en effet, s’inscrire  que,  dans la nature   d’une espèce de  jury d’honneur accepté, sans réserve, par Elie Wiesel  et  garanti,  par une impartialité éprouvée, de toute déviance,  pouvant, entre autres, détourner les débats de   la recherche exclusive de la vérité.


Le  droit considère-t-il  que,  prétendre à la déportation de façon mensongère mérite  poursuite ? En l’état, la  procédure, semble-t-il,  serait  non requise et, pour cause !


Dans un temps où, sous prétexte de vérité, on n’hésite pas à démettre un Grand Rabbin de France  de ses fonctions, au mépris des règles de droit, on ne peut qu’être réservé sur la validité de la suspicion à l’encontre d’Elie Wiesel,  tant on hésite à prendre les moyens,   pour  asseoir  la crédibilité d’une « accusation, »  où,  la hâte déployée à  sous-estimer un homme d’exception,  n’a d’égale que la légèreté d’une enquête prétendant y avoir conduit !


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Une Réponse à “Elie Wiesel, « témoin vivant » de la Shoah, ne peut « parler » que devant ses juges !”

  1. meller danielle dit :

    foutez tout ces negationiste a la poubelle .
    Cette cabale contre Wiesel me donne envie de pleurer

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