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La répétition de l’imminence du conflit, servie à toutes sortes de menus ne conduit pas à une assurance excessive qu’alimenterait une forme d’exorcisme. Bien au contraire, on lit et observe, quasiment partout, une baisse de pression qui, par la magie de l’exaltation négligée, transforme ces états d’âme en véritable pessimisme.


Or le pessimisme est à la santé de l’esprit, ce que la vitamine C est à la vitalité du corps. C’est une vertu qui, entretenue sans interruption donne l’énergie souveraine à l’élan vital d’une nation !


En l’occurrence, cette inquiétude, parfois transformée peut devenir alarmiste et, tétanisée, attendre d’être frappée pour réagir. Un survol des données géo stratégiques devrait renvoyer Dame Angoisse dans ses foyers et lui intimait l’ordre de n’en plus sortir !


La raison de cette inquiétude prend racine dans la méconnaissance des données stratégiques qui excluent Israël de toute similitude avec des réalités voisines. Un pays fort est un « pays aux reins solides ! » Or, Israël est, sur le plan militaire une grande nation,  dont la faiblesse, précisément est son incapacité  à « tenir » sur une moyenne ou longue durée !


Les conséquences d’un tel constat obligeraient donc l’Etat Juif, confronté à un conflit, à engager, sans délai, toutes ses ressources, convaincu qu’il est, qu’une défaite partielle entraînerait une déroute totale, l’exposant aux pires dangers !


Pour certains observateurs, le recours aux armes fatales, à l’initiative d’Israël,  serait inenvisageable, pour des raisons humanitaires. Un tel raisonnement pour juste qu’il soit, laisserait, de côté, un » évidence de poids.


Israël attaqué, n’a pas les moyens de la malice pour durer et faire durer une guerre. Il doit vaincre et sans faillir. Or, pris en considération, les modes opératoires de Tsahal, si d’aventure, ils étaient actionnés, feraient trembler le monde !



Ils devraient faire réfléchir, ceux qui lui réservent la mauvaise surprise de l’attaquer, oubliant que son impossibilité à engager une guerre longue, est, du point de vue stratégique, un atout majeur,  qui réduit à des chimères ridicules un certain nombre de dangers, dont le pessimisme !


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Une Réponse à “L’obligation d’une guerre éclair, ruine le pessimisme ambiant !”

  1. yan dit :

    Bonjour, il n’y a aucune obligation à faire ce qui ne convient pas, en premier lieu lancer les hostilités par des bombardements équivaudrait à tomber dans le piège que les ennemis nous tendent et dans lequel beaucoup sont prêts à se précipiter. Laissons les dans leurs soucis d’enrichissement et de séparation des isotopes pour fabriquer des têtes à placer au bout de leurs missiles qui seront interceptés par nos systèmes « patriot ou dôme de fer » et qui seront décelés dès leurs mise a feu ou lancement par nos satellites de surveillance. Vous soumettant ma seule et unique conclusion: Tsahal n’est pas l’armée allemande vert de gris de nos anciens bourreaux, la guerre éclair est finie depuis bien trop longtemps, le monde entier a vu et depuis il ne tire aucune conclusion, nous ne pouvons compter que su nous mêmes. Cordialement.

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