Négocier, (latin negotiari : faire du commerce) est une approche de la relation impliquant la possibilité de savoir renoncer pour obtenir. La négociation peut avoir d’autres débouchés que la politique. Initialement, le terme était réservé à l’usage commercial. Le prix convenu était le prix qu’avait fixé un « échange de points de vue » où chacune des deux parties renonçait à ses prétentions d’origine, en vue d’aboutir à un prix tacitement établi et accepté.
Cela confirme qu’en Occident, « tout est négociable » alors qu’en Orient, on se heurte à une vision identitaire où « le pouvoir du commerce » s’il pouvait déterminer le prix de l’esclave, ne pouvait aller jusqu’à vendre, faire vendre ou laisser prendre, la terre de la Nation Arabe, inviolable par définition, indivisible par sacralisation et Arabe par vocation !
En Occident, et, depuis des siècles, « négocier » a passé la frontière commerciale pour s’imposer dans toute vision, échange et relations où chacune des parties devra démontrer sa capacité à négocier, c’est-à-dire, à perdre le moins possible. Mais, faire semblant de croire qu’en échange de la terre, Israël recevra la paix, c’est oublier que, jamais, dans l’histoire, un mètre carré de la « Nation Arabe » n’a été « négocié » avec une entité ne relevant pas de l’Islam ! Etre « occupé » ne froisse pas la conception islamique, à la condition que l’occupant soit disciple du prophète ! Le nationalisme, tel que conçu en Occident est foncièrement étranger à la conception arabe.
Avoir oublié en Europe, que la Nation Arabe recouvrait une réalité mystico-religieuse excluant, dans le principe, la « perte » même insignifiante d’une fraction territoriale, confirme que, la « restitution » de la terre n’est, pour les Arabes, soumise à aucune condition, parce que, son essence même étant d’être et de rester « Arabe » doit être écarté de son destin, tout ce qui pourrait la réduire : la négociation, en tête de liste !
Tout comme l’Indépendance d’Israël en 1948 était le moyen « le plus élégant » d’en finir avec les sionistes, tout traité négocié avec les Palestiniens ne pourra que confirmer la condamnation de l’Etat Juif !
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Bonjour et pardonnez le tout cru qui suit.
Négocier mon cul pour un cornet de frites et ma tête pour des promesses aussi mensongères que grossières?!? Dans ce cas précis les « conditions » sont tout autant abusives qu’inacceptables; mon cher et vil ennemi n’a pas compris encore que ni mon cul, ni ma tête et encore moins mon âme et le corps qui la
Suite. » contient ne sont négociables, pas plus que la terre sur laquelle repose mes pieds.
Cher et acariâtre ennemi, la Palestine sans juifs n’est pas ton rêve, c’est celui de celles et ceux qui dévèrsent des flots d’argent sonnant et trébuchant tout en se moquant de toi et de ta vie si courte et tellement brève a tel point qu’ils ent ont « rien à foutre ». Toi qui existe avec l’argent des démons qu’ils te dévèrsent sans te demander le moindre compte devant les nations.
Si la « Palestine sans juif devient ton rêve sache que celui-ci deviendra au fil du temps qui passe, un authentique cauchemar qui ne finira pas.
Cette petite planète qui est sous nos pieds est nôtre unique maison dans ce cosmos; comme arme tu as l’argent, les monnaies et ton ambition cultivée par les systèmes humains dominants dans ce temps présent. Quand mon ennemi aura compris que mon âme n’est pas a vendre; il aura au moins compris quelque chose aux mystères de cette existence mais d’ici là… .