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En dépit de sa longueur inhabituelle, je vous conseille de ne pas sacrifier à une lecture superficielle, le texte ci-après.


En effet, les conseils pratiques qui y sont dispensés pouvent être opérationnels immédiatement et, ne nécessitant aucune dépense, on peut être sûr, que les éditeurs de manuels solaires, ne leur feront aucune publicité. Par ailleurs, les institutions ayant vocation à lutter contre « l’échec scolaire » ne recommanderont pas une technique qui n’est pas de leur cru !


Enfin, me concernant, je ne « roule » pour personne, si ce n’est, espérer savoir encore susciter, chez des gamins,  convaincus par des enseignants de « rencontre », de leur médiocrité,  que la force de se battre et le désir d’y croire peuvent toujours les concerner. L’expérience est là, les témoins aussi !


L’aptitude à comprendre, analyser, déduire et conclure ;  bref, l’intelligence de l’enfant n’est pas acquise ou déterminée, une fois pour toutes.


Une expérience qui s’appuie sur plusieurs décennies,   m’a convaincu qu’il était parfois spectaculaire de constater qu’un enfant en « échec » était susceptible d’améliorer  radicalement ses aptitudes intellectuelles,   par le recours à une vertu pédagogique,  inusitée et, la plupart du temps, méconnue, classée, bien au contraire, parmi les facteurs  neutralisant toute aptitude au développement cérébral : le recours au « merveilleux ! »

Echec scolaire et recours au merveilleux ! De prime abord, la relation n’est pas évidente !


Que faut-il entendre, précisément, par « merveilleux » ? Quel domaine de la connaissance serait  particulièrement concerné par lui ? Techniquement parlant, comment mettre en marche, le processus opératoire par lequel, un enfant, « touché » par le merveilleux, sera, en même temps ou, un peu plus tard, également invité à participer au banquet des nantis de cette valeur suprême, annonciatrice de la confiance en soi et d’une meilleure compréhension du monde et de ses habitants : l’intelligence !



Oubliez, quand bien même,( l’objet de la demande est périlleux) que Descartes est le maître à penser d’une culture qui a décrété, dans un moment de détresse que la « raison est souveraine. Et plongez, tout habillé, dans ce bain de jouvence où une grand-mère adorée ou un grand père chéri,  vous tenaient fortement la main en passant la frontière du « monde merveilleux » de Grimm ou Andersen.


Et, abandonné à ce monde irrationnel mais non irraisonnable, remonteront à votre mémoire émue,  la terreur d’une rencontre avec « l’ogre, » l’espoir,  qu’au détour d’une clairière,  surgira sur son cheval blanc, la princesse de vos rêves.

Ou, en éprouvant un sentiment proche de Pagnol, quand il écrivit « La gloire de mon père, » chantez  les mots,  magiques, si vous êtes nés dans la tradition d’Israël, que vous avez entendus et appris avec l’accent des grandes complicités,  prononcer autour de vous, au moment de l’allumage des chandelles de Hanouka, Maoz tsour yéchouati ….


Et rappelez vous le « tragique » de l’expression du grand père menacé par la proximité d’un fou rire, quand votre attention détournée, il soufflait sur les chandelles pour vous faire croire qu’elles engageaient avec lui seul, des propos  de connivence.

« Chutt, pas de bruit, la « petite flamme » est fatiguée. Elle vient de Jérusalem, du Kotel. Seuls les  enfants sages  recevront des cadeaux (parodie à la juive, du Père Noël et de la cheminée.) Ne refrénez pas l’immense bonheur que vous viviez alors,  avant que les philosophes ne vous fassent douter des seules certitudes qui vaillent : celles qui  sont  vraies, selon  le …sentiment !


Si donc, vous avez eu le bonheur de rencontrer le merveilleux, celui, dont je parle, plus haut, vous êtes dépositaire d’un trésor envié. Car, le jour où,  l’on vous a dit que la flamme de la Hanoukia s’était échappée  du Kotel,   s’est inscrite  au niveau le plus profond de votre conscience, la certitude que tout, comme les difficultés en maths, langues vivantes ou autres, les problèmes ne restent pas sans solution.


Vous n’avez pas  eu peur, vous n’avez pas vécu l’effroi du héros ou de l’héroïne, de telle ou telle histoire, par ce que la fréquentation du « merveilleux » vous a permis, très tôt d’éprouver d’abord la confiance dans le destin de « certains » et, par suite, en vous-même.


Côtoyer le merveilleux, vous a offert cette éblouissante certitude (qui sera naïveté) si elle se poursuit,  que le cours de la vie est d’abord,  recherche de la clef du coffre aux prodiges.


Vous ne deviendrez jamais optimiste par génération spontanée, mais, par héritage ! Tout comme, vous saurez, mais imprimée dans l’âme, pas dans le cerveau,  que la solution aux difficultés scolaires existe !


Alors, parents, grands-parents, n’ayez pas honte de forcer la note !  Racontez des histoires aux « petits. » Et, surtout, faîtes semblant d’y croire ! Vous remplirez leur mémoire des seuls souvenirs qui vaillent : ceux auxquels, on fait appel, quand ça ne va pas !


Quant aux plus grands, parlez leur de Bonaparte, d’Einstein, des grands savants, des grands généraux, de tous ceux qui,  condamnés par des maîtres sans âme, retrouvèrent la leur, quand ils surent, qu’avant la couronne de gloire, ils n’avaient, pour couvre-chef, que l’indigne bonnet d’ânes !


Écrivez-moi, si je peux aider !

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2 Réponses à “Oui, il est possible d’améliorer l’intelligence d’un enfant !”

  1. therese dit :

    Mon tres cher ami.
    Je suis de tout coeur avec vous.
    J’ai suivi en silence votre silence et j’ai senti la cause.
    Je viens d’apprendre. Je suis peinee. Que Notre Seigneur vous benisse et qu’IL etale son aile sur vous tous.
    Gmar Hatima Tova,
    Therese

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