Dans la tradition ésotérique juive, on explique la « nécessité » de l’exil par la volonté d’Israël de récupérer des parcelles de vérité que le Peuple aurait égarées ou qui se seraient perdues lors d’incidents divers.
Mon propos n’est pas de disserter sur la Kabbale (je n’en suis pas capable !) Mais de faire observer que certaines « habitudes de vie ou de pensée » qui, à priori semblent éloignées des référents juifs, connus et reconnus, sont néanmoins d’Israël, si l’on sait débusquer les chemins de traverse qu’emprunte, parfois, la vérité !
Selon l’amplitude des convictions, et, en fonction de la source référencée, historique ou théologique, la haine anti-juive présentera toujours le Judaïsme, soit, comme auteur de divers larcins, opérés au préjudice des civilisations voisines. On prétendra, par exemple, que les Hébreux ont pillé le Code d’Hamourabi qui contiendrait les Dix Commandements ou que les Juifs ont découvert « l’amour d’autrui » grâce à Jésus ! Etc…
Si les lecteurs le souhaitent, je répondrai à ces divagations par le détail mais, ailleurs ! Ou ils seront désignés comme « voleur de terres », attribut que n’employa pas de Gaulle dans sa conférence de presse en 67 mais qu’il laissa entendre en évoquant des conditions d’acquisition, « plus ou moins justifiables » Et, très souvent, les deux griefs seront indissociables.
Dans cette vision, la « boulimie juive de l’emprunt » ne sera pas un abus de langage ! En effet, les Juifs seraient, pour les antisémites, des « voleurs de civilisation !
Les antisémites ne verront pas que « les Juifs ont vite appris (ou plutôt réappris » ce que les Maîtres Judéens enseignaient déjà » et leurs nouveaux maîtres n’imaginaient pas que ces pouilleux en haillons les dépasseraient en les laissant loin derrière eux. Mais qu’ont-ils appris qu’ils ne connussent déjà, sinon, eux-mêmes, du moins leurs « pères » ? Vus d’un point de vue extérieur et souvent réservé, les Juifs seraient des emprunteurs qui, d’une part, ne rembourseraient pas, mais ne reconnaîtraient pas leurs dettes !
Mais créditeurs de qui et sur quoi ?
On remarque une présence nombreuse de Juifs dans les mouvements de gauche, dès le XVIIIème et un militantisme exemplaire chez les Juifs Bolchéviques ? Emprunt ? Vol ?ou retour d’une des valeurs juives? Le Judaïsme n’a-t-il pas enseigné le droit au monde ? « tsédek, tsédek tirdoff ! » « « Tu poursuivras la justice. » Parvenir à la « réussite sociale » est inscrit dans la conception juive du monde ! La justice sociale a fait du chemin grâce aux Juifs. L’inverse est aussi vrai !
Physique, chimie, médecine sont des places fortes où les Juifs règnent ! Mais, si « mon royaume n’est pas de ce monde, » sur quoi reposeraient les motivations non juives à maîtriser, pour les améliorer, les règles par lesquelles le monde fonctionne ? En apprenant l’art de la médecine, le Juif parachève l’œuvre divine, pendant que le médecin non Juif, rejetant la connaissance enseignée par la dissection, au motif du sacrilège, ne dépassera pas le niveau du guérisseur.
Les Juifs seraient plutôt pragmatiques de la restitution des richesses leur appartenant. Celles-ci mises frauduleusement à l’actif des « civilisations étrangères » persuadent l’Occident, que l’indélicatesse, à l’origine de son impuissance, signe son handicap d’une malédiction durable, tant qu’il ne sera pas capable de remettre en jeu son patrimoine, afin d’en corriger les retombées fatalement disqualifiantes.
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les antisemites diront toujours que les juifs sont le malheur des gentils Cela depuis le premier siecle de notre ere.Empoisonnement des puits meurtres rituels ,de nos jours le nouvel antisemite =l antisionisme Hier j ai lu certains commentaires antisemite sur boulevard voltair Cela devient de pire en pire Cela est un antisemitisme francais purement francais Pour moi il n y a aucune difference entre les islamonazis et les antisemites francais שבת שלום דני