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Dans la nécessité de prendre en compte la pression des nations,  pour une guerre courte ne devant pas occasionner à l’ennemi plus de préjudices qu’il ne pourrait  réparer, on a l’impression que la réalité de la guerre israélo-arabe reste une variante chimérique de la belligérance  qui s’éloigne,  pour se rapprocher de « l’action kommando. »


On perd de vue qu’un des buts de la guerre, c’est de réduire toute velléité de l’adversaire, de l’empêcher  de reprendre des forces en neutralisant toute réactivation du désir de guerroyer.


Faire la guerre, c’est donc la destruction du potentiel militaire. C’est aussi, l’anéantissement de l’économie, aliment privilégié de la poursuite des conflits. Ci-après, trois définitions  extraites du Larousse :

« Lutte armée entre États. (La guerre entraîne l’application de règles particulières dans l’ensemble des rapports mutuels entre États ; elle commence par une déclaration de guerre ou un ultimatum et se termine par un armistice et, en principe, par un traité de paix qui met fin à l’état de guerre.)

Lutte entre des groupes, entre des pays qui ne va pas jusqu’au conflit sanglant : Une guerre économique, de propagande.

Lutte entre des personnes, hostilité : Entre lui et moi, c’est la… »


Faire la guerre, ne dispense pas du respect des lois!


Israël vient à peine de commencer à se  défendre que de mauvais censeurs évoquent déjà la cessation des combats. Dans ces conditions, il est prévisible qu’Israël combatte sans jamais être victorieux. Car les Nations n’accepteront jamais que Tsahal donne une leçon au monde arabe. « La Guerre des Six Jours suffit ! » Sans être visionnaire, on peut soutenir qu’il y a là matière à piéger Israël. Sans déclaration de guerre (on ne déclare pas la guerre à un Etat qu’on ne reconnaît pas) on bombarde Israël depuis Gaza qui feint , en présentant des victimes civiles, de donner le sentiment de la réalité du « crime de guerre. »


Il est grand temps pour l’Etat Juif, de négliger des conditions qui lui sont imposées,  afin de montrer d’abord à ses citoyens  et, au monde, ensuite que,  ne pas aimer tuer ne prive pas, pour autant, du savoir le faire !

3 Réponses à “D’abord l’effondrement adverse! Après le temps des trêves! Par Arnold Lagémi.”

  1. elyane dit :

    UN SEUL MOT POUR CET EDITO.BRAVO ARNOLD!!!!!

    LE HAIM

    Ras le bol de tous ces donneurs de leçons!!!!!

    Je vous embrasse affectueusement.

    • A force d’envelopper ce qu’on veut dire,on découvre un emballage vide de contenu!
      Merci de votre amitié qui m’a été précieuse aux moments difficiles, et qui le restera.
      Affectueusement

  2. kamel dit :

    Au canada ou je réside ,il y au moins 4 personnes qui vous comprennent moi, Djamel. kamel ,pierre .Nous avons tout compris et c’est pour ca que Israël a notre soutien,

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