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L’annonce de la prochaine disposition  législative réprimant l’usage de fake news sur Internet ne laisse pas insensible celles et ceux qui estiment que défendre Israël ne donne pas le droit de faire entorse à la Vérité !

 

En effet, être dans le « bon camp » n’est pas licence au mensonge même s’il le favorise, au motif que tout serait bon pour promouvoir la défense d’une idéologie assimilée abusivement au racisme ou à l’apartheid.

 

La plupart des organes de presse à vocation prosioniste se contente souvent de références  qui s’appuient sur la rumeur en négligeant la fourniture de la preuve, seul rempart à la sauvegarde de la vérité.

 

La perversion du procédé s’accompagne de la certitude que Dieu y reconnaîtra les siens parce qu’un mensonge dilué dans la noblesse d’une défense cesse d’être manquement quand il est auréolé des arguments de la Raison d’Etat.

 

« La raison d’Etat » que de crimes n’a-t-on commis en son nom ! Cette référence qui utilise les tactiques des exterminateurs ignore le mot fameux de Pascal      qui soutenait qu’à moins « d’aimer vraiment la vérité, on ne saurait la connaître ! »

 

Rien ne justifie la référence au mensonge. Y recourir pour la défense du sionisme c’est flétrir le Retour d’Israël sur sa terre d’une souillure  disqualifiante.

Trump dit le vrai, même si celui-ci est « merdique ! »

 

La réalité des flux migratoires ne saurait se limiter aux longues cohortes misérables qui découvrant les vertus souveraines  et expiatoires de la culpabilité,  exploitent celle-ci à grand renfort d’une  vision réductrice qui occulte les causes essentielles  de ces migrations.

 

En vérité ces flux migratoires à forte connotation de déferlante invasive impliquent au premier chef la plupart des gouvernants de ces pays d’où les migrants sont issus. Gangrénés par la corruption et ignorant les ressorts de la démocratie, ces gouvernants   obligent à une vision réductrice et hypertrophiée,  du misérabilisme des migrants malicieusement confondus avec les causes essentielles des mouvements  migratoires.

 

C’est ainsi que naîtront les affres d’une politique « merdique » qui obligera les pays d’accueil à se substituer aux dirigeants concernés en agissant en leur lieu et place pour trouver une solution à des dysfonctionnements dont ils ne sauraient porter la responsabilité de les avoir suscités.

 

Le président Trump ne pose pas la question de l’accueil de ces moribonds mais souligne le caractère illégitime du processus substitutif qui reste « merdique » dans sa forme, et non moins « merdique dans un fond qui n’appelle pas le rappel salvateur d’une Europe anesthésiée ! 

 

Les responsables de ces exodes relèvent de pays membres de l’ONU et leurs représentants doivent rendre compte devant ces mêmes instances de leurs violations impunies conduisant à une politique de « merde » Pour cela le Président Trump a vu juste !

 

 

 

 

 

 

De nature assimilationniste, dans sa relation avec les Juifs, parce que donnée importée, l’écologie, habituellement pratiquée, n’est pas seulement l’aveu d’une pensée et d’un comportement qui sacrifieraient l’authenticité aux catégories d’approche   idolâtres, mais  elle  est d’abord  l’affirmation que le droit de propriété que détient l’homme sur la terre,  ne connaît pas de limite. « Si Dieu n’est pas, tout est permis ! » Elle s’inscrit donc dans un processus de sauvegarde où l’homme respecterait l’écologie plus par crainte que par souci éthique.

De naissance récente, la préoccupation écologique s’inscrit dans l’inquiétude que ne manque pas de susciter le sentiment d’appropriation outrancière des « forces naturelles » aux seules fin d’enrichissement de l’homme. Celui-ci est  invité à prendre conscience que le souci de préservation du « cadre de vie, »  s’il détermine la survie de l’homme  est d’abord le témoignage que l’homme en est le garant,  bien plus qu’il en serait le maître.

De la « floraison des montagnes d’Israël » péripétie de l’ère messianique, à l’observance de nombreuses prudences   écologiques en temps de guerre,  la Loi ne cesse de rappeler que le cadre de vie mérite l’attention humaine car l’absence de considérations à ce sujet pourrait menacer la vie, voire la survie de l’homme.

La multiplicité des lois sur la terre agricole et la diversité requise sur les moyens de l’exploiter longtemps assimilée au « folklore » apparaissent aujourd’hui comme avant gardistes et dévoilent une réalité qui n’a pas fourni tous ses contenus.   

Le souci   traditionnellement juif dépasse le seul cadre écologique et légifère sur la relation entre le monde animal et l’homme faisant pénétrer la préoccupation écologique et morale jusqu’à interdire « d’atteler le bœuf avec l’âne » l’animal le plus faible étant pénalisé.  Il est utile de préciser que le « monde à venir » dépasse le seul cadre humain mais implique une relation apaisée avec le monde animal où le  « féroce » cohabite avec l’agneau. L’écologie juive implique le chalom,  vertu ajoutée qui complète le tableau par l’apaisement et la sérénité. Remarquons que la définition première de l’écologie reste, de surcroît,   une réalité peu usitée: « Science ayant pour objet les relations des êtres vivants, animaux végétaux microorganismes avec leur environnement ainsi qu’avec  les autres êtres vivants  (LAROUSSE

La décision récente du Président Trump de soustraire les USA à l’obligation de créditer les accords de Paris de la fidélité américaine révèle un égoïsme singulier ainsi qu’une certaine dangerosité   Quant à  l’amitié juive  soutenue, pour affirmée qu’elle  soit,     n’en reste pas moins limitée  par le seul bla-bla, toujours  en attente des preuves qui l’authentifieraient vraiment.

Une réflexion sur CHAVOUOT.

chavot

 

Immédiatement après Pessah la Tradition impose de « compter le temps » qui sépare Pessah de Chavouot ; moment ultime où la Loi fut promulguée. Après Pessah, en effet, est avancée une période où l’homme est confronté  à l’épreuve du sens de la liberté offerte récemment par la  libération d’Egypte.   Si celle-ci est un acquis précieux, elle n’a de sens que, par rapport à l’usage qui en est fait. En soi, la liberté ne vaut que par rapport à ce qui la signifie, voire à ce qui la dépasse,   parce que dans la hiérarchie des objectifs prioritaires    l’homme  est bien plus préoccupé de donner un sens à sa vie que d’œuvrer pour une liberté concédée à la naissance sous forme d’un droit !

L’article I de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen  ne contredit pas ce point d’ancrage par lequel la Tradition Juive affirme que c’est la Providence qui a « libéré » d’Egypte. En effet, affirmant le préalable « Les hommes naissent libres et égaux en droit, » cette naissance imposée et  présentée comme acquise dès la naissance  fait silence sur le processus qui lui a donné le jour, laissant croire que la liberté est acquise gratuitement,  dès la naissance, alors qu’elle est reconquise chaque année à la célébration de Pessah.

Le partage de la liberté soutient, implicitement   que celle-ci est d’essence indéfinie ou divine parce que si l’homme aspire à son bénéfice il n’est pas capable de la définir et de désigner les moyens de la conquérir. L’article I de la Déclaration des Droits de l’homme est hymne de reconnaissance et de justification de la dette pascale !

Dans cette approche, les Juifs sont conscients de l’importance de l’étape libertaire mais ils ne sauraient s’en satisfaire sans déterminer les raisons de ce don.

La liberté, pourquoi faire ? « Le compte de l’Omer » répond à cette question qui formulée en catégorie existentielle pourrait se dire : « Qui donne sens à Pessah sinon la Loi ? »

Cette question impose qu’on saisisse l’inanité de la seule liberté qui ne prend son sens  qu’en « comptant le temps » (supputation de l’Omer) qui sépare du Don de la Loi par lequel la liberté prendra tout son sens. Heureux d’être libre, certes, mais à condition de savoir pour  quel usage !

La liberté sans la loi c’est la proclamation de l’Absurde. On ne célèbre pas le fait d’être libre, on célèbre « Pourquoi être libre ? » La différence du questionnement implique que l’on sait les enjeux ! Prendre en charge le compte qui sépare Pessah de Chavouot, c’est affirmer notre souci que la libération fêtée à Pessah n’a de  sens qu’à l’acceptation de la Loi.

Définir, par exemple,  après deux mille ans de civilisation par l’impératif de « liberté » l’idéal de la République n’est-ce pas confondre les préliminaires de l’idéal avec son corpus ?   Ou observer, qu’en Occident  les tâtonnements de la pensée sont  définis comme Ethique, alors  « qu’ailleurs » ils ne sont que préliminaires dépassés !

le salut vientÊtre Juif, c’est hériter de la « Noblesse du Monde ! »

 

La fréquentation d’Israéliens, qu’elle soit occasionnelle ou permanente confronte bien souvent à une donnée constante de l’âme juive : l’autocritique que d’aucuns poussent jusqu’à la limite du pathogène par l’auto dénigrement.

Il faut dire que les nations ne nous témoignent pas ces temps ci des marques d’estime ou d’intérêt qui nous renverraient une image de nous-mêmes susceptible de nous dissuader d’entretenir une opinion plutôt dévalorisante d’Israël et de ses œuvres.

Très récemment, le coup le plus dur est venu du saint-siège qui a franchi les limites de la décence en permettant à un sinistre personnage niant la Shoah d’avoir toutes les chances de trouver une place au « Paradis »…
Puis, la lettre du pape aux évêques est venue rappeler la validité de toute la période préconciliaire. A force d’être méprisés on ne peut empêcher les faibles de refouler la plus malsaine des interrogations : « Et si nous étions méprisables ? » Combattre ce questionnement pervers aux retombées dévastatrices figure parmi les priorités pédagogiques.

Puisque les autres n’entendent la voix d’Israël qu’au travers d’une haine qui remonte au Golgotha, que leurs critiques témoignent plus du ressentiment que de la volonté d’aider un ami, laissons de côté leur point de vue et appliquons, pour y voir clair la procédure de l’examen de conscience préconisée par Maïmonide : le vidouï : l’aveu. Et bien, ce vidouï, tourné et retourné nous oblige à reconnaître que nous avons d’excellentes raisons pour être…. fiers des œuvres de l’Etat d’Israël.

Ce pays a 60 ans, vous avez bien entendu ? Et il vit, mange ses produits, se soigne, (ainsi que ses concitoyens Arabes) souvent avec des médicaments made in Israël, ses chercheurs sont réputés, ses universités sont prestigieuses, il éduque ses enfants, il fait tourner ses usines, sa justice peut être saisie par tout un chacun, sa démocratie est si puissante qu’elle en devient parfois excessive, il se défend aussi, grâce à une armée qui prévient les populations de son intention de….bombarder les zones limitrophes etc…etc…

Qui n’y a pas séjourné depuis trois ou quatre ans est stupéfait des progrès réalisés en bien des domaines Je le redis, ce pays a 60 ans !

Ce qu’il est aujourd’hui, ce qu’il promet de devenir expliquent les raisons de cette haine pugnace à son égard : la JALOUSIE, combustible des haines durables menant souvent aux tragédies les plus sanglantes.

Les nations savent que ce qui se passe en Israël engage l’avenir du monde. Qu’on massacre ailleurs ne suscite pas de réaction (ou dans une telle « disproportion » qu’elle en devient insignifiante.) Mais qu’Israël se défende et les entrailles de la terre se confondent dans des rictus douloureux. Des Juifs qui se défendent c’est contraire à l’habitude, ce n’est pas dans l’ordre des choses…

Léon Askénazi (Manitou), que son souvenir nous éclaire, enseigne à propos de la vision d’Ezechiel relative à la résurrection des morts (chap 37) « le rassemblement des ossements desséchés puis, les nerfs et la chair qui les habiteront, ensuite la peau qui recouvrira les cadavres et enfin le souffle de vie qui viendra les animer ; » Manitou enseigne donc que notre époque correspond au temps qui réunit les ossements en permettant le rétablissement de la nation juive après deux mille ans d’exil. Ces ossements forment l’ébauche d’un corps ; ils sont la première étape de la résurrection d’Israël qui a commencé en 1948.

Alors quand nous vient la tentation de désespérer, considérons le chemin parcouru par ces « ossements » dont le frémissement de vie fait si peur aux nations qu’elle voudrait les voir encore disséminés dans les cimetières du monde ! Considérons qu’après deux mille ans de galouth nous ne pouvions pas retrouver Peuple, Terre, Unité et Esprit simultanément. Ouvrons les livres de l’histoire récente avec les yeux du Sage, de celui qu’on nomme roé ètt hanolad ; celui qui sait voir ce qui naît. En effet, tout se passe comme si notre époque était celle du cheminement des exilés vers le Retour.

Comme ils étaient plus forts que leurs bourreaux nos pères sortant des camps de la mort, plus forts que l’immense douleur, grâce au fol espoir de rebâtir la nation juive.

Et Ben Gourion n’était peut-être pas croyant ou religieux selon les critères empruntés au christianisme mais il l’était au regard d’un système qui rejette le Ciel pour patrie tout en acceptant sa référence tutélaire.

Car, ne l’oublions pas, notre vocation est historique, elle n’est pas céleste ! « Mon royaume n’est pas de ce monde » est un principe schismatique au regard de la Loi de Moïse. Dans ces conditions, les bavures, les dérapages font partie de l’histoire humaine. L’homme n’est pas que lumière…

Des chefs corrompus et dévoyés accompagnent nécessairement le cours de l’histoire, de cette histoire que nous devons assumer avec la volonté de l’unir à la morale et l’équité. Les fautes, les délits, les crimes ne disqualifient pas, pour autant, la Loi qui les condamne.

Les sociétés contemporaines de David ou de Salomon étaient loin d’être exemplaires…

Et c’est précisément parce que l’homme doit faire preuve de moralité dans des domaines que les nations jugent inconciliables avec la vertu que la vocation hébraïque est essentiellement historique. Il est certes plus commode de construire la « Jérusalem céleste » que de tenter de l’édifier ici-bas. C’est dans les tensions, les confrontations que se vérifie la capacité de l’homme à les surmonter. Pas dans la fuite ! Le messie que nous attendons rétablira le droit. Il n’en différera pas l’exercice pour un autre temps que le sien…

Le ghetto, le mellah ne sont pas constitutifs de la nation juive. Alors que monastères et couvents sont « la voie royale du salut ». Ils échappent aux contraintes et vicissitudes de l’histoire par vocation. Le Judaïsme ignore la division du clergé en deux groupes distincts. Le clergé séculier (secula, le siècle) qui vit parmi les fidèles et le clergé régulier (regula, selon la règle de St Benoît qui fixe la norme du comportement monastique)

On l’aura compris, une des raisons pour lesquelles les Juifs rejettent Jésus c’est que le christianisme propose un idéal de vie qui relève d’une conception de l’homme et du monde étrangers à la tradition d’Israël. Et pour retrouver nos sources, il faut en éliminer les éléments étrangers qui s’y sont introduits et que nous avons crus relever de notre patrimoine.

Alors, en dépit des difficultés dont la résolution fonde la grandeur et l’Election d’Israël, nous avons les meilleures raisons d’être fiers de ce qui se construit sur la terre d’Israël ! Et quand l’impatience risque de faire chavirer l’édifice, quand la mésestime prend le pas sur l’amour de soi, cessons de regarder tout ce qui reste à faire, étonnons nous de ce qui a été accompli en 60 ans et crions à la face du monde : « Qui a fait mieux ? » Alors et alors seulement face au silence du monde, montera des racines de notre mémoire cette exigence de pudeur qui accompagne toujours les authentiques victoires : la fierté ! Et, regardant ce peuple se battre en donnant des leçons au monde, on se dira avec l’accent de la complicité :

« ÊTRE ISRAELIEN : UN FIER STATUT ! »

Arnold Lagémi

Être  Palestinien (ou pro) » n’est qu’une opinion !     tsahal

 

Chaque siècle charrie son lot d’accusations mensongères envers Israël ! La règle est imparable. De peuple déicide au mondialisme de l’argent roi, et des banques, les Juifs, depuis leur décision de « rentrer chez eux » se voient  contestés dans l’une de leurs prérogatives fondamentales, à savoir le droit à la terre.  

 

Oubliant que le « Retour des Juifs » se fonde d’abord sur la Bible, le Livre des livres  et que viennent   ensuite les témoignages millénaires qui, de rabbi Akiva à Théodore Hertzl expliquent que,  sans l’appartenance Judéenne la « nation juive » est « vue de l’esprit » le mensonge poursuit sa route obligeant les Juifs à justifier d’un droit reconnu pourtant à tout peuple.

 

tsahalEn face, qu’y a-t-il pour justifier le droit et l’appartenance ?  Outre les vociférations haineuses qui témoignent bien plus de la défaite de la nation Arabe   que de la frustration d’une réalité nationale qui n’a jamais été,  un domaine sauvegardé plaide en faveur de l’illusion palestinienne : l’absence d’études et de prospections universitaires traitant du fondement ET DE LA JUSTIFICATION de « l’entité palestinienne »,alors que les thèses sur le sionisme sont pléthore !

On est surpris, en effet, par l’indigence  des travaux de recherches et de thèses consacrés à la Palestine.  Les prétentions Palestiniennes  ne sont étayées par aucune référence universitaire qui désignerait tel auteur  comme le chantre du nationalisme palestinien. La réalité palestinienne ne se fonde sur aucune justification historique parce qu’elle s’inscrit essentiellement comme une réaction au sionisme bien plus qu’elle serait partie prenante  dans une tradition historique.

 

Il est singulier, par ailleurs,  de prendre acte de l’absence d’implication historique qui s’appuierait    sur les étapes d’un processus national ayant donné naissance au « concept palestinien ». Et, le mutisme voire l’inexistence de thèses universitaires à ce sujet est lourd d’attendus incontournables : Il n’y a pas de tradition historique qui viendrait soutenir une idéologie absente des bibliothèques universitaires !

 

  Le monde de la recherche ignore le thème  «  Palestine historique ! » Alors que le plaidoyer sioniste reste une thèse  conjuguant les arguments de toutes sortes à la justification du « Retour des Juifs »

 

Et cette ignorance est une des subtilités par lesquelles l’antisémitisme ne semble pas interpeler les intellectuels du temps.

 

Ignorée de l’Université, inconnue des thèmes de recherche historique, la Palestine  est, par contre,    admise et reconnue   par le mythe, l’illusion et le mensonge !

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