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         complot juifMondialisme, banques et nouvel ordre mondial, le « complot Juif » refait surface !

La différence entre la propagande de Vichy et celle qui sévit aujourd’hui c’est que « Je suis partout », «  Gringoire » et autres suppôts de l’infâme n’hésitaient pas à désigner le Juif comme propagateur de la subversion, missionnée  pour saper les fondements de la civilisation Occidentale.  Désignation que les défenseurs contemporains de l’Occident ne mènent pas à son terme   au motif exclusif de la « trouille pénale. »

 Or, le contenu des « accusations  souvent anonymes » sont identiques à celles proférées par les amis de Brasillach ou de Drieu. Elles gravitent autour du pouvoir de l’argent, des banques et visent à instaurer le nouvel ordre mondial que certains propagandistes visibles et audibles sur « YOU TUBE » n’hésitent pas à discerner autour d’un axe Jérusalem/ New York/ et Paris !

La thèse du complot d’origine juive   est précisément renforcée par l’occultation volontaire des renseignements identitaires et  lorsqu’on découvrira dans ce réquisitoire, anonyme par crainte du procès et suggestif par les références à la Collaboration,   que le recours à la mention de Jérusalem comme capitale projetée du « Nouvel Ordre Mondial » s’accompagne d’une réprobation du sionisme comme donnée incontournable  l’ambition juive on sera fondé à adopter le point de vue de Nietzsche estimant que les antisémites sont des dégénérés !

En effet, l’acharnement par lequel l’UNESCO et consorts tentent d’accréditer la supercherie selon laquelle Jérusalem n’est pas juive, loin d’être gratuit, s’inscrirait dans la cohérence de « l’axe du mal ».  Il   n’est pas, non plus,  étranger à la volonté de désigner  Jérusalem ès qualité de capitale du Nouvel ordre Mondial. Effectivement, nier l’histoire avec une telle insolence ne peut être que la signature d’esprits dégénérés !

Il faut cesser d’offrir des opportunités à la terreur !

 

Si c’est la guerre, et ça le serait à moins, les populations civiles doivent en tirer les conséquences et accepter de ne pas offrir les occasions aux terroristes d’exercer leurs « talents » de propagateurs d’actes   de sauvagerie.

 

En effet, appréhender la réalité tragique en la désignant comme une guerre déclarée et inévitable contre le terrorisme et, dans le même temps, autoriser un concert public pour lequel sera affirmée l’impossibilité d’empêcher le risque d’attentat a quelque chose d’irresponsable.

 

Soutenir que le terrorisme ne saurait empêcher la volonté de vivre et de se distraire sonne mal au regard des conséquences entraînées par cette manière de voir. Ce serait ramener à une vision commune les tenants de l’Ordre Barbare et les mandataires de la démocratie. Les « pays libres » sont en danger et ne peuvent se comporter comme si la « mesure du pire » ne permettait  pas une réponse appropriée au risques circonscrits.

 

Les barbares privilégiant le mode opératoire où la multitude est recherchée, une des premières décisions sera  de soumettre à l’avis sans appel d’un comité de spécialistes toute réunion festive ou autre.  Le nombre devenant risque  pourrait constituer un motif de refus.  Si les conditions de prévention de tout risque sécuritaire ne peuvent être réunies, la réunion sera interdite.

 

C’est à cette condition, et seulement à celle-là,  que « parler de guerre » sera vidé de toute connotation démagogique.

Si l’on croyait en avoir fini avec le prosélytisme Chrétien, celui-ci n’a pas renoncé à l’outrecuidance de « relancer » les Juifs chez eux. A Kfar Saba des « commandos » de la secte interpellent des résidents en les « pressant » de se « réveiller » et d’ « ouvrir les yeux » sur le prochain retour en gloire du Christ, tel qu’il serait annoncé par les prophètes d’Israël ! On savait  l’audace des missionnaires redoutable par la cible de choix que représente la vulnérabilité de certaines populations. On ne la soupçonnait pas insolente au point de cibler des   individus des couches aisées où le « niveau » permettrait  des disputes souvent virulentes.

Autant les arguments avancés pour les premières cibles désignées plus haut permettent le recours à la comparaison théologique de textes, technique  exigeant  la pratique et la connaissance de ces mêmes textes, ce qui n’est pas le cas, pour les personnes concernées,  autant pour des populations pouvant répondre le recours à des techniques psychologiques éprouvées sera mis en œuvre, par exemple à Kfar Saba. On évitera alors la confrontation des arguments religieux et l’on se limitera à « l’émotif » par la présentation de données factuelles  où la globalisation permettra, du moins l’espère t-on,   d’éviter la « disputation » religieuse à l’issue incertaine.

Le recul de la pratique religieuse, par exemple, sera présenté comme donnée sociologique régressive sur laquelle on escompte la convergence. A partir de ce consensus il sera plus aisé de fournir  des constats culturels négatifs où les missionnaires s’efforceront d’établir,  non le recul de la pratique religieuse mais l’éloignement de la morale, donnée à portée laïque susceptible d’emporter l’adhésion des couches aisées et cultivées.

Une fois de plus, la réponse circonstanciée est entre les mains des rabbins qui seraient bien inspirés à faire savoir que quiconque est interpelé par les prosélytes doit recourir à des spécialistes, rompus aux techniques séculaires de la conversion.  Un numéro de téléphone qui serait affiché dans les résidences traduirait la volonté de ne pas permettre l’insolence d’être « relancé » par une idéologie de faux prophète  bien connue ici car venue d’Israël et définitivement réprouvée.

 

La  vertu qu’il faudra mettre à l’actif du général de Gaulle aura été, en l’occurrence,  de refuser de se laisser enfermer dans la désignation réductrice « d’homme de droite ou de gauche ! »  En référence à la position qu’occupaient à la Convention ceux qui étaient favorables à un progressisme à outrance et ceux qui étaient partisans du maintien de certains privilèges cette réalité n’est plus.

 

Par ailleurs, l’appellation de « droite » ou « gauche » reste tributaire d’une classification aux contours péjoratifs qui excluent par l’aveu même de la réalité identitaire une fraction non négligeable des composantes de la Nation.

 

La dénomination de « droite » ou « gauche » officialise un penchant arbitraire à la division en blocs de la réalité nationale et nul ne peut s’en prévaloir sans accuser une déviance rétrograde qui conduisit des années 60 à nos jours à renoncer, à l’exemple de « l’homme du 18 Juin, à leur emploi.

 

Les querelles intestines qui divisent actuellement la scène  politique française illustrent la nature du problème en révélant que la source de la difficulté est moins la contradiction entre Président de droite ou gauche que la refonte nécessaire de l’arsenal d’identification.

 

L’initiative du Président de la République aura permis cependant de faire apparaître l’absence de forteresses idéologiques au bénéfice de la « droite » ou de la « gauche » et de confondre les tenants du maintien d’appellations obsolètes dans une même désignation où l’unité indispensable récuse des identifications artificielles. Le « génie présidentiel » est là, rien que là !

UN SECRETARIAT D’ÉTAT CONTRE L’ANTISÉMITISME.
Au moment où les instances en charge de la nouvelle politique de la France se préoccupent de diviser les missions de l’Exécutif républicain, en autant de ministères et de secrétariats d’Etat que nécessaire il serait salutaire et équitable de consacrer à la lutte contre l’antisémitisme l’effort que la France n’a jamais pu opérer, notamment par la « mise en marche » d’une pédagogie d’avant garde qui désignerait l’antisémitisme comme péril national. Dans cet esprit, un secrétariat d’Etat contre l’antisémitisme marquerait la volonté de rupture avec le laisser faire qui ne peut qu’opposer au « réveil de la bête » une indifférence coupable et une complaisance de mauvais aloi

Les sources irrationnelles du pouvoir : Le droit de grâce.

 

Comme c’était la tradition à l’époque où le roi inaugurait  son règne  (après avoir été consacré en la cathédrale de Reims,)  par l’exercice de grâces, distribuées selon sa seule appréciation,   le Chef de l’Etat nouvellement élu devrait procéder à l’exercice du droit de Grâce, à l’occasion de la Fête nationale, moment privilégié et consacré par l’usage à l’exercice de cette prérogative, résidu du droit régalien.

 

Outre les modalités pratiques par lesquelles ce droit s’exerce il est intéressant d’observer un principe établi qui « extrait » le demandeur de la Grâce royale,  des règles de droit et de justice en le soumettant à la décision présidentielle. Par l’article 17 de la Constitution, stipulant que le Président de la république n’a pas à motiver sa décision,   nous sommes en effet,  renvoyés à une règle fondamentale et royale qui ne fournissait d’autre motif à l’embastillement de quiconque que, « parce que tel était « le bon plaisir du souverain ». Et c’est,  selon cette même règle que le « plaisir » du roi inspirait la motivation de la Grâce royale.

 

Le droit de Grâce, véritable incursion d’une  donnée irrationnelles dans un  processus qui devrait, par principe s’en affranchir est la manifestation persistante que le Président de la République n’est pas seulement détenteur  de l’autorité politique conférée par le peuple. Il est aussi dépositaire d’un pouvoir de type monarchique qui a sa source dans l’aveu que les rois sont les rois, ils font ce qu’il leur plaît ! »

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