Flux pour
Articles
Commentaires

Sous la signature d’un certain « professeur  Adriano Sagatori » qualifié de psychiatre et psychothérapeute Italien,  « YOU TUBE  »  délivre un prétendu portrait psychologique d’Emmanuel Macron  qui sera récusé, de prime abord,  au motif rédhibitoire que les éléments constitutifs du « portrait »  restent ,en l’état, injurieux car non étayés par la démonstration  et l’analyse. Dans ces conditions, la référence universitaire du signataire doit être estimée comme abusive et contraignante. Elle vise à faire admettre le contenu malveillant du « portrait » à l’avantage de son auteur,  présenté sous les qualités de   psychiatre et psychothérapeute. Les traits descriptifs du portrait  restent  gratuits et sans fondement. De plus, l’attribut de « Professeur » semblerait indiquer une  fonction d’enseignant sans, pour autant,  désigner l’organisme où serait dispensé cet enseignement…   

 

  La dimension de ce « portrait » où l’outrance le dispute à l’insulte  par l’énoncé d’accusations infondées gravitant autour  de « l’extrême dangerosité » que  ferait courir au pays la « psychopathie » « avérée » du Président élu,  disqualifie sa prétention à s’inscrire dans le cadre d’un rapport psychiatrique objectif et référencé comme il se doit.  L’auteur agit comme si la fonction de psychiatre et psychothérapeute ne s’accompagnait pas de l’impérieuse nécessité déontologique  de vérifier et de confirmer par les preuves de la démonstration les allégations soutenues par ailleurs. La mention de psychiatre est « abus de droit » car elle implique l’obligation de la preuve ce qui ne serait pas requis dans le cadre du portrait littéraire réduit à un exercice de style.

 

Quelques manquements relevés :   

« Narcissique » « Il n’aimerait ni  la France ni les Français » et n’éprouverait  d’admiration que pour lui-même. Il souffrirait d’un grave complexe d’infériorité Qualifié de « narcissique dangereux » il aurait été victime d’une « agression » à l’âge de 15 ans. Défini comme « psychopathe dangereux » avec  insistance,  sans le soupçon d’une argumentation appuyée,  ce texte reste, un brûlot  injurieux et diffamatoire.

Nul n’étant habilité à porter atteinte à quiconque sans  rectifier des propos manifestement insultants,   la victime, candidat bien placé à l’élection présidentielle Française  serait en droit de  faire valoir le préjudice aggravant auquel  ce « portrait » toujours visible sur YOU TUBE  expose  impunément Emmanuel Macron, devenu le 7 Mai Président de la République Française 

 

 

jerusalem

Jérusalem est Juive, n’en déplaise à l’UNESCO !

Il faut éviter le piège « d’ouvrir débat » sur la nouvelle résolution de l’UNESCO sur Jérusalem !

 

Considérant la régression que serait un nouveau débat sur la validité de  la souveraineté juive sur Jérusalem,  gardons-nous de débattre à ce sujet en faisant le jeu de l’antisionisme le plus rétrograde.

 

Le droit des Juifs sur Jérusalem n’a plus à être démontré. Il s’agit   d’une donnée d’évidence liée à  un droit reconnu d’abord et essentiellement par la culture universelle . Se soustraire à cette donnée immédiate de la conscience historique  serait accepter de discuter  d’un  droit que les Nations font semblant de méconnaître !

 

Dans son Encyclique «  Mysticis corpori Christi » Pie XII soutient que lorsque Jésus périt sur la Croix, le « voile du temple se déchira ». S’il ne s’agissait pas du temple des Juifs, peut être concernait-il le sanctuaire du Ridicule dans  lequel les antisémites de tous les temps sacrifient la vérité à la « haine du Juif ! »

 

Non !  Il n’y aura pas de débat sur le caractère  éternellement Judéen de Jérusalem !

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Un grand absent : le Juif ès qualité de spolié de la Nation Juive et privé de ses droits historiques depuis l’an 70 !

Cette Déclaration solennelle inaugure l’entrée au coude à coude du Français et du Juif dans la « Cour des Droits » Moment ultime qualifié de « moment messianique » par Manitou.

 Et, en effet, cette perception qu’il fallait associer au Renouveau de la nation Française les  Juifs par la reconnaissance citoyenne s’inscrit dans le mouvement émancipateur qui couronne la Révolution Française des lauriers de la grandeur universelle.

Une ombre cependant !  Cette Déclaration concerne des hommes ayant même origine et confondus dans une même identité. Le texte consacré s’applique à légiférer sur les droits reconnus à chaque homme. Et de la liberté de penser à la liberté religieuse tout concourt à garantir l’exercice de ces droits.

Viennent des précisions embarrassantes à propos de la propriété notamment !

Art 17 : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige évidemment et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »

 

Le rédacteur de cette Déclaration démontre qu’il a manqué du talent réparateur qu’imposait sa volonté de restaurer la Justice. Il s’agit là d’une étape seconde alors que l’initiative première devait être la restitution de la Judée dont les Juifs furent spoliés.  

 

Les Juifs avaient certes  à gagner de cette reconnaissance citoyenne et si son bénéfice éloignait définitivement toute perspective de Retour à Sion, l’état de désolation où ils croupissaient depuis des siècles enjoignait d’y souscrire sans réserve.

Le législateur savait-il  que le prix à payer pour cette reconnaissance citoyenne sacrifiait toute perspective de rétablissement de la nation Juive ? Ou l’a-t-il envisagé sciemment et estimé que la reconnaissance citoyenne garantissait du Renouveau historique Juif?

 

DUPLICATION INTERDITE à www.juif.org et www.europe israël

 

 

     Extrait de : « Les causes inavouables de la haine des Juifs en chrétienté » par Arnold Lagémi. »           A paraître prochainement.

 

 

L’identité Occidentale est inséparable de la « haine du Juif ! » Les circonstances qui la firent naître échappent au caractère  religieux des faits circonscrits.  Essentiellement « émotive » pour être transmissible,  cette haine     se dotera du formidable pouvoir d’adaptation à des cultures diverses,  voire   agnostiques. Elle trouve son  origine    dans la crucifixion de Jésus,     traumatisme majeur  et  dévastateur de l’identité Occidentale.   La constante historique par laquelle elle se manifeste,  quels que soient les principes et les attendus de la culture dominante,  est la démonstration de la permanence du mal antisémite!  Cette profonde aversion  reste donnée patrimoniale, transmissible par atavisme et changeante par nécessité.  Elle peut revêtir selon les époques et les circonstances un caractère religieux ou laïque,  celui-ci subtilement libéré  de l’hypothèque théologique des origines.

 

Bien qu’il est établi que les Juifs ne sont pas « partie prenante » dans la mise à mort de Jésus et que  les arguments en renfort de cette thèse sont nombreux, je n’en citerai toutefois qu’un seul   :  la crucifixion n’est  pas un supplice Judéen mais une pratique romaine. Le Golgotha est un fait désignant exclusivement  Rome ès qualité de puissance occupante.   Il n’en demeure pas moins qu’on  ne peut effacer les Juifs de toute implication     dans la passion du Christ sans bousculer la volonté de cohérence théologique de la filiation nécessaire avec la Tradition d’Israël !

 

L’accusation de « peuple déicide » ayant constitué durant des siècles le principal argument de l’antisémitisme chrétien  (ou antijudaïsme) il importe d’en cerner  les contours essentiels  et,    notamment les résonances psychologiques désastreuses  afin de bien comprendre que la « haine du Golgotha »dépassera le  contexte qui l’a généré en s’inscrivant dans une blessure de la conscience affective, seule atteinte susceptible d’échapper au déterminisme historique.

 

Le Golgotha inaugure la légitimité (au regard de ses pourvoyeurs) des pulsions meurtrières manifestées envers les Juifs. C’est en ce sens  que les répercussions psychologiques sont calamiteuses.

 

 

Rendre les Juifs acteurs  de la crucifixion justifiera  les voies de fait à leur encontre dans des cultures qui, même éloignées de la morale évangélique n’en restent pas moins attachées à leur patrimoine. 

La « mise à mort » de Jésus n’est pas appréhendée par la Nouvelle Alliance (pour des raisons stratégiques et tactiques) sous le biais de la « conscience objective ou contemplative » mais essentiellement perçue sous l’angle critique  de la réaction au  ravage psychologique causé par la crucifixion et sa dévalorisation inhérente.

 

L’Evangile selon Mathieu désigne les Juifs en commanditaires de la mise à  mort de Jésus. Et Vatican II n’hésite pas à proclamer que les Juifs sont innocents de ce crime. Cette innocence reconnue bien tardivement     malmène cependant  jusqu’àCRUCIFIXION  rendre incohérents  les fondements même de l’Eglise dans sa relation avec Israël    L’interprétation du chapitre 53 d’Isaïe évoque « le messager souffrant ». Cette notion   va loin, très loin !     Elle sous tend la punition d’Israël : « Que son sang retombe sur nos têtes. »

 

L’accusation de peuple déicide oblige à intégrer   des données vengeresses dans la transmission patrimoniale.

                                       

     Dotée  d’une capacité sans égal aux adaptations historiques,   si tant est que cette réalité ait un précédent similaire, ce qui n’est pas sûr,   cette résurgence  puise sa vigueur renaissante dans le traumatisme apocalyptique qu’a été la mise à mort du « sauveur ».     Elle impose d’être appréhendée sur les désastres individuels  causées chez le Chrétien  par « l’exécution de Dieu. » Délibérément ignorées par l’Eglise, pour des motifs évoqués plus avant, ses conséquences s’imposent cependant par le caractère permanent  de leur renaissance.

  Cette donnée reconnue sinon admise, imprègne la conscience d’un fardeau qui, prenant des allures novatrices  donne illusion qu’il  apparaît, de façon originale,  alors qu’il    se réduit, en vérité,  à une renaissance incessante!  Vouloir isoler toute forme   d’antisémitisme  de l’environnement patrimonial qui l’a suscité, c’est tenter d’accréditer l’erreur mensongère et diffamatoire  selon laquelle le « mal judaïque » renaît nécessairement.

 Le prétendre c’est occulter   la spécificité atavique  du mal qui  n’a  pu être éradiqué par toutes les mutations de société dont la Révolution Française. La « haine du Juif » atteint l’Occident dans ses fondements les plus intimes y retrouvant l’humiliation qu’a été l’adoration du sauveur dont l’image est altérée par la faute des Juifs. Reconnaître en Jésus le Rédempteur c’est accepter un Messie loqueteux sur lequel on peut frapper.    Il  était   impératif de délivrer  un argument libéré des contingences de la conjoncture, un motif intemporel en quelque sorte.

 Il fallait atteindre « l’identification » à Jésus et celui-ci fait « homme » ouvre la  possibilité  quasi illimitée de la soumission aux aléas de la condition humaine. La messianité contestée est une donnée conjoncturelle qui soumet au débat contradictoire. La crucifixion est la foudre qui s’éloigne de « la dispute théologique » pour rejoindre l’émotion intemporelle. Elle touche     la conscience d’une atteinte de nature émotive seule  susceptible d’être offerte aux générations suivantes.

Dieu fait homme ! Le Chrétien, en s’identifiant au sauveur est appelé à partager l’idéal fait homme !  La « mort de Dieu » va permettre à l’homme de la Nouvelle Alliance d’offrir le Juif en sacrifice expiatoire, seul châtiment recevable à l’assassinat de dieu !  

« Dieu  frappé, battu, humilié transporte le Juif  vers le gouffre de l’identité meurtrière. Et quand surgira l’humanité des positivistes, l’identification au sauveur sera remplacée par la compassion envers le « messie souffrant. . Dieu devient objet de pitié,  là est le signe patent du « génie du Christianisme »

Cette compassion permettra  la sauvegarde d’un atavisme identitaire qui saura s’adapter à tous les changements. L’anti judaïsme s’éteindra et deviendra  antisémitisme ou antisionisme.  En dépit de la présentation  de   la « mort du sauveur » comme  consécutive aux pêchés de l’homme, celle-ci est d’abord l’aveu d’un malaise annonçant la vengeance inquisitoriale.

Il était nécessaire que les Juifs se rendissent coupables d’une faute gravissime telle « l’Assassinat de  Dieu » et  dépassant ainsi la limite du   tolérable  pour justifier d’un antisémitisme à outrance. Cette faute irrémissible occupe une place centrale dans les griefs séculaires  contre le Judaïsme, bien plus que les données théologiques. L’essentiel du rapport judéo-chrétien a reposé des siècles durant sur les conséquences de l’exaltation Chrétienne de faire  payer les Juiveries pour avoir osé ! 

CE TEXTE EST INTERDIT DE REPRODCTION A www.juif.org et www.europ israël.com

La guerre!

Oui, la guerre est à nos portes !  Elle devrait requérir nos forces vives car elle est prévisible et se prépare. Au lieu de quoi les  candidats à la magistrature suprême  la relèguent à un contenu qui s’identifie plus à l’option qu’à l’inévitable obligation.  Car, ne nous y trompons pas, le futur Chef de l’Etat sera Chef de Guerre ou ne sera pas !
Et la  toute prochaine consultation électorale opposera l’inexpérience au pragmatisme ! Se rappeler maintenant que la lutte contre le terrorisme est la priorité absolue, observer bien tardivement que cet enjeu vital est oublié, éloigne tous les apprentis sorciers de la magistrature suprême à l’exception notable de François Fillon, seul candidat à inclure son éradication dans son programme de gouvernement, tout comme la volonté de garantir la sécurité d’Israël et le combat répété contre l’antisémitisme ! Outre la courte vue qui ne permet pas de distinguer que seul Fillon dispose d’une majorité parlementaire sans laquelle « gouverner » n’est que vue de l’esprit, le bon sens le désigne comme « Chef Suprême des Armées » Quant aux « affaires » le Président de la République n’a pas vocation à être le disciple d’une morale bigote mais à être le Chef d’une France dont il a su démontrer qu’elle ne cédait pas aux pressions. Révélé dans l’adversité François Fillon est le seul à s’identifier au pays et à mériter d’en être le Chef pour un mandat dont la GUERRE sera l’ultime ornement !

                                 ———————————

François FILLON S’ADRESSE AUX Français D’ISRAËL.

http://www.lemondejuif.info/…/video-fillon-aux-franca

—————————————————————

LA GRANDEUR D’UN PAYS !

La grandeur d’un pays, c’est d’abord l’idée qu’on s’en fait mais c’est SURTOUT la dimension personnelle des hommes et des femmes en charge de désigner leurs chefs. Or, personne n’a songé à requérir des candidats Présidents l’obligation de composer un gouvernement d’Union Nationale en vue de faire face à la prévisible guerre ! Il est vrai que sanctionner les costards de Fillon est prioritaire! Quand la France est grande, ça se sait,  mais quand elle est pitoyable ça se proclame! Et le temps est aux Proclamations !

SOUS RÉSERVE DE VÉRIFICATION.

L’auteur de l’attentat aux Champs Elysées avait été condamné en 2005 à 15 ans d’emprisonnement pour tentative d’homicide sur un policier! Fait particulièrement grave qui impose de savoir pourquoi il était en liberté hier encore et pour quelle raison, le crime perpétré ET JUGE n’a pas entraîné son bannissement?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ONU bloquée dans son impuissance chronique à corriger les excès de sauvagerie syriens n’empêche pas le Président US de prendre seul les devants. Il vient de frapper la Syrie d’une cinquantaine de missiles Tomahawk et « rase » la base d’où s’est envolée l’escadrille qui a atteint les populations civiles syriennes par des projectiles chimiques  dévastateurs.

 

Il confirme ainsi qu’il n’existe pas, entre lui et Poutine  de liens privilégiés. Les USA restent « maîtres du jeu » sans devoir en référer à quiconque.

 

Cela confère au débat sur l’élection du Président de la République un arrière-goût suranné et obsolète. En effet, les priorités absolues sont complètement occultées et négligées, comme la prévisibilité d’une guerre à outrance contre le terrorisme dans laquelle la France sera obligatoirement impliquée.  La politique étrangère obligeait à une prise en compte prioritaire, de ces éléments incontournables parce que l’enjeu est vital !

 

Le débat présidentiel tourne à la confrontation franco-française alors que le danger de mort est d’abord dans nos rues. Oubliée la sauvagerie du Bataclan ?   Oubliée la voiture  bélier de Nice ? Oublié l’attentat d’Orly ? Oublié le Carrousel du Louvre ? Oublié l’hyper casher ? Oubliée la condamnation à mort de la France ?

 

 Qui peut garantir que, sorti de chez lui, il y retournera sain et sauf ?  Et le pays se confond en pâmoison à l’évocation de « l’immunité ouvrière » !  Foutaises coupables pour une opinion publique qui n’apprend plus à repérer les « dangers de mort ! » parmi les amuses gueule pitoyables qu’on lui présente quand on ne veut pas voir que l’heure est à la « mobilisation générale » parce que la « Patrie est en danger ! »

  Cette omission gravissime  confirme que les  plus vives inquiétudes sont légitimes devant des débats d’autruches qui, pour  ne pas prendre en charge ces impératifs n’enlèvent rien à la probabilité de leur survenue.  Gouverner c’est prévoir, et le refus de la lucidité obligera, une fois de plus à subir !

« Articles plus récents - Articles plus anciens »