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monarchieL’éradication de la monarchie vaut disqualification de la civilisation. Modifier radicalement la source de l’autorité par la suppression de la liaison au sacré n’annonce pas qu’un « pouvoir nouveau » mais  modifie radicalement la psychologie des hommes concernés.  En effet,  La « mise à mort » de la monarchie, en Occident, a transformé  cette éradication en suicide culturel,  voire spirituel.    La civilisation se nourrissant de  l’identification au trône,  restait redevable au monarque,  à bien des égards, de la source sacrée  de l’autorité  politique et  de la dimension sacrilège que signifierait toute tentation de la limiter. Aujourd’hui  subsistent dans la désignation même du pouvoir républicain des résidus régaliens, tel le droit de grâce,  qui s’inscrit comme une prérogative irrationnelle s’opposant aux principes de la République laïque.

C’est ainsi que s’explique, pour partie,  le fondement identitaire de « l’appel du 18 Juin » par lequel le général de Gaulle fondant l’origine de son autorité sur l’identification à la France renoue  avec le pouvoir monarchique. 

Tant en France, qu’en Russie ou en Angleterre,  il est significatif d’observer que les changements de régime politique, exception notable en Grande Bretagne, s’inscrivent dans un contexte  d’une sauvagerie féroce. La décapitation de LOUIS XVI et  l’assassinat de la famille ROMANOV, au-delà des faits ponctuels ne saurait dissimuler un questionnement de fond.

La cruelle  sauvagerie qui présida  à l’abolition était-elle nécessaire? Oui, si l’on estime que l’exercice spectaculaire de l’autorité royale imposait en préalable à son abolition,  l’humiliation de la dévalorisation de la fonction.

 Comment comprendre que les titulaires du trône royal ou impérial avec qui le peuple entretenait des rapports d’affectueuse dévotion , voire davantage,  si l’on considère,  que la fusion identitaire était   d’une amplitude telle  que ce que le Roi ordonnait valait parole de Dieu ?  Comment donc accepter  que l’abolition de la monarchie en France et du tsarisme en Russie s’accompagna d’un rituel barbare et macabre envers des « entités » qu’une tradition millénaire  désignait comme sacrées par le fait de devenir dès le sacre,  Représentants de Dieu sur terre ?

Pour l’Angleterre,  pas de sauvagerie envers les personnes mais peu de considération pour le système. Le roi n’est   la source de toute autorité   que par son pouvoir historique et son aptitude à désigner seul la politique du royaume.     Si ce pouvoir est nié,  la réalité royale s’estompe ; ne subsiste qu’une donnée citoyenne et la monarchie devient parlementaire, élégance subtile valant mort et abolition. 

Aussi l’arrachement monarchique sera porteur d’un trouble, d’un malaise !  Le régicide apprendra  de son crime que  « pour grands que soient les Rois, ils sont ce que nous sommes » et le  nouveau détenteur de l’autorité  avouait par la vulnérabilité, une égalité  de moyens dans laquelle  le peuple était partie prenante et agissante.  Première étape d’un nivellement,  l’abolition de la monarchie renvoie à l’éradication du « sacré »  de la conscience humaine.

Le pouvoir des nouveaux Chefs devenait critiquable par essence et limité par nécessité .  L’altérabilité de cette nouvelle définition du Pouvoir obligeait à vaincre certaines  inhibitions. Ainsi naîtra l’insolence de Diderot : « D’où te vient Louis le droit de commander aux autres ? »  Un pouvoir qui s’entendait limité et amputé devait démontrer que craindre de s’attaquer à lui était superstition. Ainsi s’explique la férocité dans l’éradication de la monarchie absolue en Occident.

REPRODUCTION INTERDITE A  www.europeisraël.com  et www.juif.org

*   Le personnage de « mon père » est pure fiction littéraire, tout comme mon propre rôle » La réalité  que ces termes recouvre est, par contre, d’une bien affligeante réalité !

 

 la haine des juifs

Remonter dans le temps, afin d’y rechercher l’origine explicative  de cet indigne ressentiment, se soldera   d’une bien  fatale incurie.  Des indices historiques certes, mais point d’exposé rationnel qui livrerait l’hostilité anti-juive. L’apprenti enquêteur en sortira déconfit.  Il ne parviendra pas à mettre à jour la    trace de son initiation à l’antisémitisme, par l’exposé dogmatique et raisonné qu’il s’attendrait à trouver.  Cette malveillance, dans la plupart des cas, sera perçue comme l’expression d’un tel enracinement dans la conscience universelle que l’examen doctrinal sera superfétatoire.

 Seul le concours de la « psychologie des profondeurs » expliquera   le recours à une gestuelle signifiant d’origine familiale,  paternelle bien souvent,     avec connotation  substitutive  de  l’examen rationnel.     Oui, paternelle car le père étant symbole et instrumentalisation de la Loi,  assurera la transmission  patrimoniale de la haine, bien plus dévastatrice dans ses attendus informels que  « Meïn  Kampf »  la « France Juive » ou le « Protocole des sages de Sion. » Prise en charge rarement relayée par les mots mais par une attitude, bref, une gestuelle ! L’aveu antisémite ne sera pas  discours mais praxis implicitement probante  !

L’investigation scrupuleuse renverra, toutes données culturelles volontairement mêlées à un Chef d’accusation implacable dans ses conséquences et religieux dans sa nature : Le meurtre de Dieu ! Une telle énormité accusatrice peut se dispenser d’exposé doctrinal des causes ou motivations  car en elle- même elle est d’une telle conviction que l’énoncé du crime suffit à lui seul à générer des représailles qu’on n’hésitera pas à qualifier de légitimes : « Dieu assassiné » !

 Faisant des Juifs un peuple à vocation spécifiquement pourfendeur de la transcendance d’abord,  par son nom  « Israël », vainqueur de Dieu,  (mais qu’est-ce que le nom,  sinon un projet ?)  Et poursuivi par le grief impardonnable du crime irrémissible de lèse divinité.  Si l’histoire du Christianisme a quelque cohérence, c’est attester de la réalité  que les Juifs se sont rendus coupable non seulement de sacrilège  mais d’avoir atteint l’idée même que les hommes  se font de Dieu !   Là est la clef de voûte ! La haine d’Israël, du moins sa genèse n’est que là ! Se rend on bien compte de cette vérité surréaliste par laquelle les Chrétiens désignent leur Dieu, victime effective  de « voies de fait » imputables aux Juifs ! Reconnaître Dieu en Jésus c’est incorporer à cette prétendue vérité le ferment insatiable de la vengeance ! La semence haineuse est plantée !  Elle fera route !

 Mon père était un authentique anti-Juif  (j’entends par « authentique »   sa qualité de victime inconsciente de cette gestuelle, garante d’une profonde imprégnation) ne  prenant, toutefois, aucun risque avec le danger pénal  que serait   l’expression d’une haine frontale et objectivée. Il préférait opter pour le haussement d’épaule, manifestation hautaine de mépris souverain et attestation du dégoût que lui inspirait  bien inconsciemment  le crime perpétré au Golgotha. Autant de clichés que son propre père pratiquait à son encontre et qu’il renouvellera sans l’hésitation du doute salvateur.

La fréquentation d’antisémites parfois illustres et rencontrés pour la plupart parmi des « plumitifs »  est venue me confirmer que l’antisémite que fut mon père avec sa haine avalée et toujours   insufflée par une attitude singulière et délibérée   est la référence communément admise et pratiquée par tous les protagonistes et tenants de l’infamie.   

FONDEMENTS DE LA GESTUELLE ANTISEMITE

Préférant l’induction à la déduction, le père devenait ainsi maître   souverain du jeu initiatique. L’argumentaire anti sioniste que l’enfant que j’étais n’assimilait pas encore et qui est intervenu beaucoup plus tard dans mon parcours,  impliquait une symphonie, toutefois,  si haineuse et   d’une telle force qu’elle ne pouvait être  que justifiée selon les critères  d’appréciation de l’enfance.    Et faute de la comprendre dans tous ses prolongements je fus tout naturellement conduit  à en apprendre  par cœur les tenants et aboutissants que je répétais, tel un pieux balbutiement   à la première confrontation. Ces répétitions s’imprimeront dès l’enfance et constitueront le socle des « données immédiates » de la conscience anti juive.   Ainsi l’antisémitisme prit possession  de moi, de nous,  préparant le terrain à son adaptation laïque et agnostique contemporaine : l’antisionisme !

Depuis l’enfance, j’ai toujours été antisémite,  anti Judaïque donc, et, comme signalé,    plus par suggestion que par démonstration.  Mon père, tout comme les autres chefs de famille,  m’a initié à la haine par des gestes de mépris, et j’assure que ce fut efficace. La  puissance de l’aversion  est toujours réduite à l’ émotion ainsi qu’à l’état d’âme. Son « aura » résidant essentiellement dans le « ressenti » plus que dans le « réfléchi. » Son déclenchement échappe à la raison objective, même chez les fondateurs des « écoles de  haine. »   Cette animosité pour le Juif prendra son envol dès lors qu’elle sera suscitée par l’affect déguisée en réflexion.

 

Quand  par exemple,   au catéchisme,  le prêtre soutenait avec véhémence qu’il fallait choisir entre la Nouvelle et l’ancienne Alliance,   que la Loi de Moise ne pouvait être fondée en vérité face au Golgotha, il faisait semblant de réfléchir mais visait à générer une multitude d’émotions quasi physiques ,  dont il n’était probablement pas conscient mais dont il savait d’expérience que les effets espérés seraient  effectifs. Son  sourire carnassier  en était le signe avant-coureur. La disqualification des Juifs était assénée après des préliminaires vaseux où le pourfendeur  de la Loi Mosaïque écumant de rage contenue ne parvenait à s’apaiser que lorsqu’il reconnaissait que la providence veillait à conjurer le mal et empêcherait le danger de voir la Nation Juive ressuscitée. Et lorsque je tentais, en dissimulant mal l’hypocrisie de ma question   « Mais le peuple Juif a été choisi !  Dieu ne peut renier son choix »  je devenais l’objet d’une tirade destructrice et dévastatrice sous les quolibets tout à la fois haineux et admiratifs de mes condisciples.  C’est  l’amour d’une Juive qui fut l’occasion d’une salvatrice remisela haine des Juifs 2 en question de cette pathologie qui m’a révélé que la haine peut être muette.

PUBLICATION INTERDITE A  www.europeisraël.com ainsi qu’à www.juif.org

Iln’y a pas d’extrême droite en Israël ! Il n’y a qu’un nationalisme dont la définition et la vocation excluent le rapprochement avec ce qui prétend à une équivalence.   Définir ce nationalisme par le cynisme « d’extrême droite »   c’est lui faire endosser, par une analogie suspecte,    l’héritage sulfureux de ce qu’il est entendu de désigner par « extrême droite ! »

 

 Celle-ci  est  une affirmation politique qui relève , selon qu’elle  qualifie  la réalité Européenne ou l’appartenance Israélienne d’une différence notable de nature.    Le classement Israélien « d’extrême droite » est « abus de langage » parce qu’il est volonté de l’assimiler à un modèle réducteur.  Aussi,  éloigné de sa sœur Européenne  par les  effets collatéraux humanistes qu’il implique et qui le rendent étranger à toute tentation de comparaison, le qualificatif d’extrême droite résonne avec l’irrépressible incongruité des attributs inappropriés. 

 

   Espérée et voulue délibérément en Israël par certains courants, elle est la marque d’une  indéfectible assimilation et intégration partout ailleurs. Qualifier d’extrême droite,  telle ou telle mouvance de la conscience politique d’Israël c’est greffer sur le militantisme nationaliste une réalité qui lui est étrangère,  importée d’une vision du monde qui se rattache à une conception  étrangère.  « Extrême droite » est une désignation lourde de fatales conclusions aussi étrangères au sionisme qu’affirmer que le Christianisme serait une option juive !

Pourquoi cette contradiction apparente ?

Comme si l’identité impliquée dans le Renouveau Historique Juif ne pouvait se définir sans recourir aux modèles Occidentaux ! Comme si la revendication de l’authenticité passait nécessairement par les références à la civilisation. Mais vouloir que les frontières d’Israël  relèvent d’une  mise à jour de nature biblique n’a rien à voir avec le courant politique et historique qui né en 1789 se distingua par une opposition farouche aux idéaux de la Révolution  Française, milita pour un antisémitisme véhément, s’opposa à la République, s’engagea  pour la restauration monarchique, bref se fit remarquer par le conservatisme et revendiqua  « l’extrême droite » en référence au positionnement des députés ultra conservateurs à la Convention.

 

Nul besoin de recourir à Charles Maurras !   Le peuple qui révéla au monde le droit et la Loi dispose d’un véritable arsenal de désignations consacrées qui, sans pour autant devoir recourir à des emprunts témoignant de la promiscuité, confirmerait ainsi,  bien plus la recherche véhémente de l’authenticité que le fourvoiement dans la promiscuité !

 

Pour recourir à une formulation lapidaire, « Rentrer chez soi, vouloir que ce « chez soi »  s’inscrivît dans le cadre prioritaire de la Renaissance de la Nation Juive relève d’une des définitions du sionisme, pas de l’extrême droite fascisante.

 

PUBLICATION INTERDITE A www. Europe Israël et www.juif.org

Très récemment un responsable syndical de la police faisait remarquer sur BMF TV que les « politiques devront bien admettre « qu’il y a des zones de non droit en France. »  Cette observation obligeant au constat d’une réalité qui, pour affligeante qu’elle soit ne dispense pas d’une prise de conscience à la mesure du problème posé.

 

Dans cette perspective on ne peut pas ne pas poser la question ultime de sécurité publique à savoir que ces « zones de non droit » seraient -elles en mesure de déborder et de constituer un danger pour la capitale, située à quelques kilomètres de ces zones « hors la loi » ?

 

Certains optimistes rétorqueraient que ces « endroits » se singularisent par un repli sur soi et que les délinquants opèrent précisément et délibérément dans l’absence de liens avec d’autres mentalités. Ce serait là se satisfaire d’éléments bien superficiels et ignorer que la « cocote minute » sécuritaire sur laquelle on est assis  pourrait  osciller vers une implosion précisément causée par le sentiments d’étouffement. L’entraînement faisant le reste, imaginer des expéditions punitives  sur des objectifs précis et parisiens n’est pas que vue de l’esprit !

 

 

 

 

 

Dès 1789, Clermont Tonnerre avait prévenu : « Tout aux Juifs en tant qu’individus, rien aux Juifs, en tant que Nation ! » La République naissante entendait préciser qu’elle n’accorderait pas sa reconnaissance  au nationalisme Juif, ainsi qu’à celles et ceux qui s’en réclameraient.    Le Renouveau Juif ne pouvant donc ignorer l’aversion qu’il inspirait à la République. Il  devait néanmoins s’évertuer à démontrer que l’expérience suffirait  à  en établir  la fausseté  de ce jugement,  ce  refus n’étant qu’une  dimension chrétienne rebaptisée aux vertus laïques et  républicaines.

Voilà les Juifs, où certains d’entre eux du moins, embarqués dans l’obligation de rassurer leurs concitoyens sur leur fidélité à la France sans pour autant renier leur attachement à la renaissance nationale Juive.  C’est le début, le démarrage d’un malaise qui ne parviendra qu’épisodiquement à ses fins, sans pour autant parvenir à supprimer complètement l’agacement de certains non Juifs à la perspective d’être placés dans une situation proche de la concurrence.

Si le vote Juif atteste    de l’ambigüité de la sollicitation, c’est précisément par l’obligation prioritaire de rassurer quant à la contradiction apparente d’un comportement qui pour légitime qu’il  soit  n’en reste pas moins étranger à la culture Française. La patrie unique impliquant une restriction de l’idéal patriotique,  réservé, pour l’essentiel, à l’une des deux options. Ce véritable malaise obligeant parfois, en retour,  les détenteurs de l’autorité publique à pratiquer une véritable surenchère de la définition des « enjeux patriotes » en affirmant que l’attachement  pour la France peut être complémentaire de « l’amour de Sion »

Les efforts, de part et d’autre, n’effacent, pas pour autant une culture, une éducation enracinées dans le tréfonds de la conscience collective. A cela s’ajoute   depuis de récentes années, l’impact grandissant d’impératifs sécuritaires  par l’importation  en France du conflit israélo-Arabe.   Celui-ci   vient rappeler, en l’aggravant,  des siècles  de cohabitation où, en Europe,  la « présence juive » fut bien plus tolérée,  c’est le moins qu’on puisse dire, que réellement admise.

Ce danger oblige les Juifs par la motivation autre de leur  vote à moins rechercher des  candidats « bons » pour Israël et « meilleurs » pour la France qu’à désigner en premier lieu, celles et ceux qui les  feront bénéficier d’une  sécurité renforcée, objectif prioritaire pour une Communauté qui, se faisant, rappelle aux dirigeants qu’avant la sauvegarde d’intérêts réductifs,  la mission première d’un gouvernement est la protection des biens et des personnes.

 

 

                              dieu frappeIl en va des hommes comme des civilisations ; la dégénérescence commence toujours par un processus de décomposition qui finit par la déliquescence et la mort. Paraphrasant Victor Hugo, nous pourrions soutenir que la jeunesse de ce siècle n’empêche pas « Massada de percer sous Montoire » L’indigence est chronique, l’impuissance patente et la pulsion mortifère

 

 Discernez-vous encore la France de Malraux, ou celle de Camus, dans les gesticulations et les vociférations des prétendants et prétendus successeurs ?  L’enjeu est démesuré et, au motif de présentation des technologies d’avant-garde est servi un détestable cocktail de substitution où la culture laisse progressivement sa place à la caricature d’elle-même !

 

Dans les années 70 on persévéra dans la médiocrité ne cherchant même plus à faire diversion car imiter sans admirer ne saurait perdurer sans trahir manifestement !    Les Grands étaient encore tièdes dans leur tombe et si l’on restait insensible au déshonneur on se souvenait encore de la morsure de la honte. Aussi s’ingénia-t-on à éviter toute comparaison.     L’appel du néant décelable malgré les vains efforts pour le cacher laissait deviner ce que réservait la confrontation avec les JuifsCar les historiens et les sociologues savent que toute tentative d’en découdre avec les Juifs est toujours cotangente d’un appauvrissement de soi même.

 

Qu’en est-il aujourd’hui ? Quand on a entendu « Mort aux Juifs » dans les rues de Paris on sait que ce résidu infâme ce  quelque chose d’infect prend la route de la haine endémique !  Parce que « ceci » explique « cela », on n’ignore pas, quand bien même, ne le souhaitant pas, que  Disraéli le prophète de l’ère victorienne exhorte au repentir avant que d’assister à ce que les Nations « soient traitées comme elles ont traité les Juifs ! »

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