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                             JESUS   Ne pas reconnaître la légitimité du sionisme, c’est nier les bases de la civilisation Occidentale ! Nous serions les « frères aînés » qui se verraient refusés « leur terre » ! « Leur havre et leur refuge ! » Et les cadets garderaient le silence !

 

Ne pas reconnaître la légitimité du sionisme, revient à revendiquer la permanence de l’argument théologique. Car toute argumentation rejetant le droit d’Israël de « poursuivre sa route » à partir de la terre qui est sienne et reconnue comme  telle par les Nations est volonté délibérée et criminelle de priver le seul peuple Juif du droit à l’auto-détermination,   droit pourtant consenti à tous les peuples devenus libres et souverains après qu’ils se soient soustraits de l’emprise et de la domination coloniales.

 

Si le sionisme est d’abord le droit d’être Nation, de vivre sur une terre dont les Juifs ont été chassés et ne pas conférer à cette réalité les droits d’une restitution  nécessaire, c’est inviter à l’interrogation ultime des fondements  du droit du Retour.  Et ce questionnement ne manquera pas d’éclairer les mesures anti juives du Premier Empereur Chrétien d’Occident, Constantin de la seule explication qui vaille :   « La panique de la Chrétienté de devoir compter avec la Nation juive renaissante. »

eglise et sionisme

 Pourquoi ? Parce que, dans ces conditions, rien ne garantit l’Occident que le recours aux aspirations messianiques ne sera pas ressuscité par les Juifs.  Ne pas l’admettre c’est s’acheminer vers la certitude complaisante que le peuple Juif a « volé sa terre aux Arabes » C’est ouvrir à la perspective de la guerre Israélo-Arabe un caractère permanent dont l’éradication de « l’entité sioniste » est l’objectif que plus personne ne dissimule.

 

Il y a là une erreur et une faute attestant d’un jugement dévoyé et perverti. Car contester le sionisme  sur des attendus de mise en pratique ne met pas en cause le droit d’être chez soi mais soulève  des critiques circonscrites à des circonstances  qui peuvent être légitimes parce qu’elles relèvent de la péripétie. Tandis qu’une réprobation de fond conduira à cette incohérence de voir des dirigeants d’Israël, non réputés pour leur attachement à la tradition être contraints de justifier  le « caractère Juif de l’Etat » par le recours à des arguments  souvent irrationnels que les rabbins ne désavoueraient pas.

 

Il faut bien admettre que le débat théologique ne peut être  écarté à l’avantage de la prétention au « vol de la terre » car si quelqu’un sait que les bases de cette forfaiture sont mensongères et diffamatoires c’est bien l’Eglise !

 

J’ai demandé mais en vain, qu’on m’éclaire sur la portée de la condamnation à mort de la Tradition Juive telle que formulée par PIE XII dans « MYSTICIS CORPORI CHRISTI »

 

Pour certains  non Juifs, l’exil reste inséparable de la condition juive. Parce que hors de l’histoire les Juifs ne pèsent pas lourd.  L’antisionisme en est l’attestation sociale,  historique et… théologique ! Il  reste, fondamentalement nostalgie de l’authenticité !

https://archive.org/details/ChurchillEtLePeupleJuifUneDiscrteAmitii

« Le sionisme est d’abord restitution ! » Sir Winston Churchill.

 

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En notre temps, plus qu’en aucun autre, ce film  consacré  au combat véhément de  Sir Winston Churchill,  pour la réhabilitation juive et sioniste atteste que le « vieux lion » ne fut pas seulement le seul qui resta à affronter Adolph Hitler mais le dirigeant  exclusif d’Occident qui  considéra  que le sionisme est un « idéal de restitution ». Ce « film  témoignage »  devrait être jugé, estimé par tout homme libre comme complément indispensable à la connaissance  des circonstances qui conduisent   la perversion à   prendre le  contrôle des Nations et des hommes.  Les rabbins devraient décréter que l’avoir vu, revu et appris par cœur est MITSVA car, un « homme qui oublie son passé n’a pas d’avenir ! »

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Connaître le parcours de cet homme providentiel  conduira à ce niveau où la connaisse de l’histoire rejoint ces cimes où l’amour pour Israël n’est  plus un privilège réservé aux seuls Juifs mais sollicitation universelle pour celles et ceux qui savent que sionisme loin d’être offrande est d’abord le « droit d’être chez soi ! »

 

Un droit dont l’usage fut mis en pratique par Sir Winston au point d’enjoindre personnellement aux pilotes de la RAF de bombarder les voies ferrées autour d’Auschwitz. Ordre qui ne parviendra  jamais aux administrations concernées !

 

 

 

 

https://archive.org/details/ChurchillEtLePeupleJuifUneDiscrteAmitii

« Le sionisme est d’abord restitution ! » Sir Winston Churchill.

 

 

                                       churchillEn notre temps, plus qu’en aucun autre, ce film  consacré  au combat véhément de  Sir Winston Churchill,  pour la réhabilitation juive et sioniste atteste que le « vieux lion » ne fut pas seulement le seul qui resta à affronter Adolph Hitler mais le dirigeant  exclusif d’Occident qui  considéra  que le sionisme est un « idéal de restitution ». Ce film  témoignage  devrait être jugé, estimé par tout homme libre comme complément indispensable à la connaissance  des circonstances qui conduisent   la perversion à   prendre le  contrôle des Nations et des hommes.  Les rabbins devraient décréter que l’avoir vu, revu et appris par cœur est MITSVA car, un « homme qui oublie son passé n’a pas d’avenir ! »

Connaître le parcours de cet homme providentiel  conduira à ce niveau où la connaissance  de l’histoire rejoint ces cimes où l’amour pour Israël n’est  plus un privilège réservé aux seuls Juifs mais sollicitation universelle pour celles et ceux qui savent que sionisme loin d’être offrande est d’abord le « droit d’être chez soi ! »

Un droit dont l’usage fut mis en pratique par Sir Winston au point d’enjoindre personnellement aux pilotes de la RAF de bombarder les voies ferrées autour d’Auschwitz. Ordre qui ne parviendra  jamais aux administrations concernées !

 

                           rire Dans son essai sur la signification du rire le grand philosophe Henri Bergson soulignait que le rire est toujours lié à l’évocation de l’homme saisi dans une approche risible.

Une mer calme ou agitée ne fait pas rire, un coucher de soleil ne fait jamais rire, mais un homme qui se retrouve par terre parce qu’il n’a pas vu que la porte de l’immeuble était transparente, c’est cruel mais ça fait « rire »!

Bergson est trop radical. Des situations relèvent du risible et l’homme est pourtant concerné. Les « manif de Washington après qu’un procès ait été intenté à Donald Trump pour des initiatives qu’il n’a pas encore prises sont d’un ridicule si risible qu’une des causes à l’expression comique est précisément consécutive  au ridicule que l’homme reçoit en prime quand il est si éloigné de lui même qu’il en perd l’auto critique qui seule lui permettrait de l’éviter.

Cessons pour un temps, je dis bien pour un temps seulement de penser que Hitler est un barbare sanguinaire,  et considérons seulement ses gesticulations accompagnées de vociférations où seul un bouffon retrouverait un langage familier.

Mais c’est à « mourir de rire » !

 

« Le droit à la guerre » et ses conséquences !

 

Considérant que le 15 MAI 1948, les armées régulières de huit pays Arabes, pénètrent dans « l’espace national » de l’Etat d’Israël,  en vue de « liquider » définitivement « l’entité sioniste ».  proclamé  «Etat  indépendant » dans l’après midi de la  veille,  soit le   14 Mai 1948 par David ben Gourion,

 

Estimant que cette initiative justifie une réplique appropriée opérée au nom de légitimes représailles, en vertu du droit de chaque Etat à la légitime défense,

 

Considérant  que l’agression du 15 Mai 1948 ne visait pas la rectification ou la correction de frontières mais entendait poursuivre l’achèvement de la « Solution Finale » ou extermination de la « présence juive » dans le monde, en l’occurrence,  le monde Arabe, les soussignés entendent se prévaloir des avantages, bénéfices et conséquences du « droit à la guerre » tel que défini par les lois en vigueur et, notamment par les « Conventions de Genève » lorsque celles-ci s’établissent sur des mesures conservatoires propres à empêcher toute récidive,

 

Dans cette approche où l’Etat d’Israël  s’étant limité à une opération défensive, d’un conflit qui lui fut imposé par la contrainte armée, la modification des frontières qui occasionna le bénéfice de   28% des terres palestiniennes à l’avantage d’Israël sera jugé légitime et consécutif aux attendus meurtriers résultant du refus  Arabe d’accepter le plan de Partage  voté par l’ONU  en 1947.

 

Prenant acte que  l’abandon unilatéral par la Grande Bretagne de sa mission de « maintien de l’ordre » en Palestine, tel que définie par l’ONU, rendait impératif le renforcement nécessaire de la viabilité de l’Etat Juif,

Attendu  que ce renforcement s’avérait, de pure évidence tactique et   être à la charge exclusive d’Israël,

 

Que l’ONU acceptant l’infamie qu’Israël puisse ne pas être reconnu ès qualité d’Etat membre de l’ONU et n’adressant pas même une remontrance à la Grande Bretagne pour avoir délibérément fait négligence de ses devoirs d’assistance et de maintien de l’ordre envers les populations civiles.

Les soussignés déclarent que le droit à la guerre ne serait pas établi s’il ne s’accomplissait pas sous l’allure contraignante de la perte de territoires.

 

A ce sujet, ils rappellent que le problème des « réfugiés Palestiniens » est directement lié à un conflit imputable aux seuls belligerants Arabes. Et le droit à la guerre qui, en l’occurrence  fut imposé à Israël est la consequence directe d’un conflit né de l’hostilité Arabe dont la « libération »   de territoires reste la  conséquence morale et légale inévitable

 

Enfin, considérant que le droit à la guerre défensive s’accompagne parfois de sanctions portant sur la détention de territoires, à la seule appréciation du vainqueur s’il est patent que son intervention est essentiellement défensive  les soussignés jugent qu’un plan de paix présentant les critères du succès doit être  précédé immanquablement d’une reconnaissance d’Israël confirmée par tout le monde Arabe !

 

 

 

 

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« Le droit à la guerre » et ses conséquences !

 

Considérant que le 15 MAI 1948, les armées régulières de huit pays Arabes, pénètrent dans « l’espace national » de l’Etat d’Israël,  en vue de « liquider » définitivement « l’entité sioniste ».  proclamée  «Etat  indépendant » dans l’après midi de la  veille,  soit le   14 Mai 1948 par David ben Gourion,

 

Estimant que cette initiative justifie une réplique appropriée opérée au nom de légitimes représailles, en vertu du droit de se  défendre  accordé  à  chaque Etat   dans la mesure où  la disproportion n’entache pas l’initiative défensive  d’irrégularité

 

Considérant  que l’agression du 15 Mai 1948 ne visait pas la rectification ou la correction de frontières mais entendait poursuivre l’achèvement de la « Solution Finale » ou extermination de la « présence juive » dans le monde, en l’occurrence,  le monde Arabe, les soussignés entendent se prévaloir des avantages, bénéfices et conséquences du « droit à la guerre » tels que définis par les lois en vigueur et, notamment par les « Conventions de Genève » lorsque celles-ci s’établissent sur des mesures conservatoires propres à empêcher toute récidive,

 

Dans cette approche où l’Etat d’Israël  s’étant limité à une opération défensive, d’un conflit qui lui fut imposé par la contrainte armée, la modification des frontières qui occasionna le bénéfice de   28% des terres palestiniennes à l’avantage d’Israël sera jugé légitime et consécutif aux attendus meurtriers résultant du refus  Arabe d’accepter le plan de Partage  voté par l’ONU  en 1947.

 

Prenant acte que  l’abandon unilatéral par la Grande Bretagne de sa mission de « maintien de l’ordre » en Palestine, tel que définie par l’ONU, rendait impératif le renforcement nécessaire de la viabilité de l’Etat Juif,

Attendu  que ce renforcement s’avérait, de pure évidence tactique et   être à la charge exclusive d’Israël,

 

Que l’ONU acceptant l’infamie qu’Israël puisse ne pas être reconnu ès qualité d’Etat membre de l’ONU et n’adressant pas même une remontrance à la Grande Bretagne pour avoir délibérément fait négligence de ses devoirs d’assistance et de maintien de l’ordre envers les populations civiles.

Les soussignés déclarent que le droit à la guerre ne serait pas établi s’il ne s’accomplissait pas sous l’allure contraignante de la perte de territoires.

 

A ce sujet, ils rappellent que le problème des « réfugiés Palestiniens » est directement lié à un conflit imputable aux seuls belligerants Arabes. Et le droit à la guerre qui, en l’occurrence  fut imposé à Israël est la consequence directe d’un conflit né de l’hostilité Arabe dont la « libération »   de territoires reste la  conséquence morale et légale inévitable

 

Enfin, considérant que le droit à la guerre défensive s’accompagne parfois de sanctions portant sur la détention de territoires, à la seule appréciation du vainqueur s’il est patent que son intervention est essentiellement défensive  les soussignés jugent qu’un plan de paix présentant les critères du succès doit être  précédé immanquablement d’une reconnaissance d’Israël confirmée par tout le monde Arabe !

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