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L’antisémitisme n’est plus péripétie mais   endémie planétaire !

 

Pour s’en convaincre, certains faits :

  1.      (FILES) Picture dated 14 May 1948 shows Israeli Prime Minister David Ben Gourion flanked by members of his provisionnal gouvernement reading Israel's declaration of independence in Tel Aviv. On November 29, 1947, the United Nations' General Assembly voted resolution 181 on the division of Palestine in two states, one Jewish and one Arab. The State of Israel was proclamed on 14 May 1948 by the Jewish National Council and was recognized by the United States and the Soviet Union 15 and 17 May the same year. Arab States of Lebanon, Syria, Jordan, Egypt and Iraq crossed the borders from north, east and south with their regular armies 15 May 1948. Agreements signed in 1949 between Israel and the Arab States ended the 1948 Arab-Israeli War, and established the armistice lines between Israel and the West Bank, also known as the Green Line, until the 1967 Six-Day War.Le Vatican n’ignore pas que l’Etat de Palestine est une imposture. Il permet, cependant, qu’Abbas y inaugure l’ambassade de Palestine
  2. La conférence de Paris impose sans concertation des intéressés, un plan mensongèrement désigné « Plan de paix, »
  3. Le « Mont du temple » situé à Jérusalem est reconnu propriété Islamique !
  4. Le Président du Consistoire doit rassurer les députés : le Judaïsme est compatible avec la laïcité républicaine !
  5. « Mort aux Juifs » est une insulte qui a perdu sa connotation sacrilège !
  6. Freiner les implantations et construction à Jérusalem porte atteinte à la souveraineté juive sur Jérusalem !
  7. A la contestation de nature politique s’opère depuis peu une mise en accusation du caractère Juif de l’Etat d’Israël. En d’autres termes après le corps d’Israël, c’est à l’âme juive qu’on s’en prend !
  8. Une campagne de haine prend forme contre le nouveau Président US qui souhaite transférer l’ambassade US de Tel Aviv à Jérusalem, capiatale de l’Etat Juif !
  9. Les résolutions de l’ONU sont, grande majorité, condaùnations de l’Etat Juif
  10. Vatican II n’a pas abrogé la dernière encyclique de Pie XII condamnant le Judaïsme !
  11. TERRE SAINTE reste la désignation ecclésiale pour nommer l’Etat d’Israël

 

AM ISRAËL HAÏ

 

 

 

Le  retour de l’intégrisme  en Turquie, marque la faillite du rapprochement laïcité/ Etat laïque ; l’Europe saura t-elle en tirer profit ?

turquie

Il n’est pas d’exemple où l’on assisterait à un retour de l’obscurantisme après avoir soutenu  que,  s’en libérer était synonyme de  promotion et de progrès. L’opposition a la  révolution Française, en dépit des forces réactionnaires qui  la  composaient n’a jamais prétendu revenir à la monarchie de droit divin et absolue. Tout au plus une monarchie parlementaire !

 

 La fuite a Varennes sonnait le glas de la royauté,  pendant que la terrible question de Diderot sapait les bases, a tout jamais,  de l’édifice royal : «  D’où te vient Louis, le droit de commander aux autres ? »

 

Que se passe t-il en Turquie pour que le retour au passé se déroule sans mauvaise conscience apparente ? Sans la certitude qu’une opportunité exceptionnelle vient d’apparaître et de disparaître dans le même temps !

 

L’erreur viendrait de la confusion que signifierait le retour aux  sources. Revenir aux sources, en Islam,  c’est opter pour la seule source  d’eaux vives  traditionnelles : l’intégrisme, le fondamentalisme, le radicalisme.  La révolution turque est le fait d’un homme, Mustapha Kémal,  de l’amplitude à le considérer,  à l’influence subie par lui  , de sa référence  aux modèles  Occidentaux, enfin,  de sa rupture avec l’Islamisme. Pour   cette  vision essentiellement islamique de la Nation Arabe, revenue en Turquie avec force, toute tentative d’édification d’une idéologie laïque apparaît artificielle, schismatique parce que non conforme aux destinées  de la Nation Arabe.    Et la Turquie est partie de la nation rabe !

 

 

Tout laisse à penser que les pays Arabes qui ont eu recours à ces cataractes de jouvence ne retournent très vite dans le cocon islamisé,  convaincus que le modernisme prend fin le jour où il est menace pour la Charia !

La haine des nations n’empêche pas l’Etat Juif se poursuivre sa route !

          US_embassy_Tel_AvivDéjà un signe fort émanant de la 3ème chambre de la Cour d’Appel de Versailles dans son arrêt statua nt  sur le  CONFLIT  OLP   ALSTOM VEOLIA reconnaîssait  la possession de la Cisjordanie aux seuls Israéliens.

 

La promesse du futur président TRUMP DE TRANSFERER A JERUSALEM L’Ambassade  US   est manifestement l’indice le plus probant que les « choses sont en train  de changer ». Car la promesse américaine au-delà de l’opportunite qu’elle représente sur le plan diplomatique signifie la reconnaissance établie de la souveraineté juive sur Jérusalem.

 

 Balayée la querelle sur « le mont du temple », oubliée la décision  honteuse de l’UNESCO, pulvérisées les réserves identitaires sur la légitimité Israélienne.

 

  Israël recueille aujourd’hui   par la décision Américaine le fruit cueilli en 67.

 

 Abbas ne s’est pas trompé  en écrivant au Président Trump pour lui demander de revoir sa décision au motif que le maintien du transfert constitue une menace pour toutes les ambassades US au moyen orient.

 

 

Le sionisme recueille ses lettres patentes d’ambassadeur titré du peuple juif ! Les constructions pionnières peuvent aller de l’avant ! Qui s’opposera avec légitimité à la mise en valeur de la capitale d’Israël dont  la première nation du monde vient d’établir le statut reconnu !

 

 

Le Président Trump inaugure une légitimité enfin reconnue. Il avait raison de soutenir récemment : «  Je suis la meilleure chose qui pouvait arriver à Israël »

imagesTous les pays, toutes les idéologies savent qu’en période de guerre, la volonté de maintenir les règles de la démocratie cache mal les pulsions suicidaires.

 

 Que vaut la considération citoyenne consentie à la minorité Arabe Israélienne quand celle-ci se réclame, d’une vision de l’histoire où Israël n’est pas, ou plutôt Israël « n’est plus » ?

 

Dans cette perspective, Israël apporterait sa caution à une authentique « 5ème colonne » , notoirement hostile à l’Etat Juif et qui, de surcroît, serait au regard des conceptions historiques des protagonistes un aveu de faiblesse sinon d’impuissance. L’intolérable atteint ici des sommets !

 

Dès lors qu’un groupe de résidents  est, par un singulier automatisme administratif considéré partie intégrante du corps électoral sans l’avoir demandé, on s’expose aux conséquences inéluctables  d’une citoyenneté imposée et non voulue, à un statut administratif plus qu’à une appartenance citoyenne.

 

Dans ces conditions, comment s’étonner de la démarche Arabe frappant à coups redoublés sur cette citoyenneté imposée et, par voie naturelle d’extension, sur cet Etat, usager d’une naturalisation forcée envers une population non demanderesse.

 

C’est l’autorité de l’Etat qui est en jeu et c’est à l’Etat d’imaginer la façon d’y pallier.

 

 

 

 

L’autorité de l’Etat est incompatible avec une loyauté non confirmée de la minorité arabe Israélienne !   Par Arnold Lagémi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tous les pays, toutes les idéologies savent qu’en période de guerre, la volonté de maintenir les règles de la démocratie cache mal les pulsions suicidaires.

 

Que vaut la considération citoyenne consentie à la minorité Arabe Israélienne quand celle-ci se réclame, d’une vision de l’histoire où Israël n’est pas, ou plutôt Israël « n’est plus » ?

 

Dans cette perspective, Israël apporterait sa caution à une authentique « 5ème colonne » , notoirement hostile à l’Etat Juif et qui, de surcroît, serait au regard des conceptions historiques des protagonistes un aveu de faiblesse sinon d’impuissance. L’intolérable atteint ici des sommets !

 

Dès lors qu’un groupe de citoyens est, par un singulier automatisme administratif considéré partie intégrante du corps électoral sans l’avoir demandé, on s’expose aux conséquences inéluctables  d’une citoyenneté imposée et non voulue, à un statut administratif plus qu’à une appartenance citoyenne.

 

Dans ces conditions, comment s’étonner de la démarche Arabe frappant à coups redoublés sur cette citoyenneté imposée et, par voie naturelle d’extension, sur cet Etat, usager d’une naturalisation forcée envers une population non demanderesse.

 

C’est l’autorité de l’Etat qui est en jeu et c’est à l’Etat d’imaginer la façon d’y pallier.

 

 

 

 

           ecole-juiveLa fréquentation de l’école juive, incontournable à bien des égards, doit neutraliser des contradictions qui, si on n’y prend garde risqueraient d’invalider certaines de ses orientations. Une de ses contradictions serait de  l’assimiler au statut de l’école privée catholique. En effet, l’enseignement privé chrétien vise à la promotion des valeurs évangéliques dispensées dans le cadre d’une structure scolaire classique. Et certaines orientations propres à l’école juive visent au même objectif : enseigner la Thora et ses pratiques dans la perspective d’une scolarité respectant les consignes  et instructions de l’Education nationale.

L’école juive deviendrait une école religieuse, à la même enseigne que ses consœurs catholiques ! Sauf que la notion de religion est étrangère au Judaïsme qui n’a pas même de mot spécifique pour la désigner.

La plus vieille école Juive de France est l’Ecole Lucien de Hirsch fondée en 1901 à une époque où la volonté familiale est bien plus la recherche d’une structure communautaire et la préoccupation religieuse est moins à l’ordre du jour que le réveil de la nation juive, quand bien même non désignée par ces termes !

La question de fond fatale et inévitable : Pourquoi, l’école juive dispensant un seul enseignement de nature religieuse est restée absente du paysage communautaire jusqu’en 1901 ? Besoin non ressenti ? Pratique de l’assimilation à outrance ? Les pratiques juives étaient de la seule compétence familiale ? Prenez  chacune de ces possibilités, mélangez les et vous obtiendrez quelque chose de plausible : il n’y avait pas nécessité ! Là est l’essentiel !

C’est le sionisme qui interpellera les communautés et les forcera à prendre parti. Au-delà des pratiques rituelles il y a le problème de fond : la naissance d’Israël oblige à démasquer la vérité, et l’actualité de la question : Pour des raisons politiques, la Communauté ne peut se livrer et délivrer un sionisme militant mais elle peut par la référence à la tradition,  promouvoir une fidélité qui placera la réalité d’Israël  au centre d’une « pratique ». Ainsi l’école Juive trouvera sa place au sein de la nation Juive et non parmi les approches concurrentes où elle se fourvoierait.

 

 Stéphane n’avait aucun des « signes forts » qui posent la conviction de la vocation. Irritable par nature et intraitable par faiblesse,  la propension au dialogue paraissait tout aussi éloignée de ses façons de faire que le serait la fraternité pour un aristocrate.

 

 Il semblait, au contraire, désigné pour s’intégrer à la cohorte des formateurs, bien plus qu’à celle des éducateurs. Et, quand je le rencontrais,  je ne pus refreiner l’appréhension à lui confier une classe, tant je percevais que sa rigueur excessive génèrerait une inévitable incompatibilité. Je découvris, au fil du temps, qu’il demandait à être estimé sur d’autres critères que l’apparence illusoire de l’impression.

 

D’abord, par la connaissance intuitive   de l’échec scolaire,  facilitant cette « proximité » avec la « victime » et qui ne trompe pas l’œil averti.  Pour toute réplique à la dévastation de l’échec, il entraînait l’élève en préliminaires moqueurs vers   le recours à la dérision. Savoir amener l’élève à ôter tout crédit à une manière de faire qui privilégie fermeture à ouverture. C’est ce qu’il fit. Le tout, en s’abstenant de discours moralisateur, de sentences lapidaires, devenant exemplarité sans s’en rendre compte.

 

 Seul moyen de délégitimer la prétention au jugement, voir à la disqualification  il avait pour règle première de persuade l’ado que le « prof » qui condamne est lui-même condamnable car un enseignant qui  juge se fourvoie !                                 

 

 Il avait importé d’une scolarité plutôt marginale les attestations d’une sensibilité qui ne pouvait faire place au compromis ou à la concession. D’où la volonté de provocation pour extirper tout ce qui lui restait de vengeance à assouvir !

 

Je le désigne par un prénom usuel quasi anonyme Non pas que Stéphane  ne soit pas le « bon » mais il me paraît opportun d’entretenir l’équivoque, car j’ai la certitude  orgueilleuse d’être le père de nombreux « Stéphanes » ! Et, pouvoir l’identifier, c’est réduire. C’est nuancer le rêve : Mais Stéphane, prof de Maths occupe une place, et quelle place, dans ce qui fut la « gloire de ma vie ! »

 

Celui-ci a su s’imposer et prendre place parmi les pionniers !

 

Comblé pour avoir fait naître une vocation, j’ai un mot à lui dire : « Merci ! »

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