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Confidences!

arnoldQuand bien même on ne s’est jamais vu, au fil de ce que j’écris, vous avez pu imaginer un profil, voire plus. Quelle que soit votre estimation, vous avez, à coup sûr, discerner des erreurs, des approximations sans omettre, cependant,  le bénéfice   de cette qualité ultime, l’objectivité, vertu entre toutes, car maladie mortelle du fourvoiement qui n’est évitable  qu’au prix d’une périlleuse mais indispensable acrobatie. 

Et s’il y a parfois des propos insultants, fanatiques mais limités, ils n’empêchent pas que des liens s’établissent  par devers les invectives. Parce que la conception que j’ai de l’écriture est proche du « don de soi » en  plaçant le respect qui vous est dû  au niveau le plus subtil de la complicité. Et l’on hésite toujours à impliquer qui vous respecte par-delà vos idées.

C’est au nom de cette complicité que je crois établie que de vous informer que, le 21 courant, le professeur Zvi Israël « m’installera » la deuxième électrode dans le cerveau en vue de réaliser et d’achever la « stimulation cérébrale profonde » qui devrait  neutraliser les effets  malveillants,  de ma rencontre il y a vingt ans avec le funeste …Parkinson !

Je sais ma propension à aimer prendre des risques mais je sais aussi les enjeux d’une telle initiative. Aussi si vous croyez, vous aussi, qu’il arrive parfois à la Providence de voyager sur terre, périples que ceux qui ne savent pas, désignent par la « coïncidence », joignez-vous à ma prière, pour faire savoir et rappeler que j’aimerais encore bénéficier d’une « providentielle coïncidence » dans les combats que j’engage contre le mensonge, l’imposture, l’antisionisme et l’antisémitisme.

Le Maître des destinées répond toujours, dit-on, aux voix de l’âme.  Gageons que les réponses iront dans le sens de la Vie car j’ai l’aplomb de soutenir qu’il y a de « belles âmes » parmi vous.

Soyez assurés de mon indéfectible loyauté, et de mon intérêt pour le sionisme, garant de la condition juive parce que porteur de tous les dangers.

Arnold Lagémi

amerique La volonté de changement de cap Moyen-Oriental des USA est rappelée chaque fous que l’occasion devient opportunité. Le « clou vient d’être enfoncé » par une confirmation. David Friedmann désigné par le futur Président pour être son ambassadeur en Israël vient de déclarer qu’il lui tardait de commencer son travail de rapprochement, à partir de son bureau à Jérusalem, capitale éternelle d’Israël !

 

L’expérience enseigne la prudence et tant que la chose n’est pas officielle, « ne vendons pas la peau de l’ours… » Toutefois, cette confirmation faite par David Friedmann en personne a de quoi troubler les chancelleries Européennes.

 

Le Président Trump paraît décidé à changer la donne à la politique moyen-orientale des USA. Changer le lieu de résidence de l’ambasade US est un signe flamboyant de volonté d’en finir avec une frilosité devenue chronique. Ce changement a une suite, ce sont les conséquences incontournables de cette initiative.

 

D’abord, l’Europe qui ne perd pas l’occasion de condamner Jérusalem y réfléchira à deux fois avant d’entrer dans le chœur des « oiseaux de malheur »vomissant » l’entité sioniste. » S’il est probable que des renversements d’alliance soient prévisibles, nous n’en sommes pas encore là et les USA restent la première puissance mondiale avec qui il faut compter.

 

Et que celle-ci tienne à confirmer que le nouveau président n’a pas changé la fidélité qui le lie à Israël  est un  signe fort de renouvellement des liens Israëlo-Américains.

     islamLa prospérité de la communauté Musulmane Française pourrait peut être permettre de classer l’Islam première religion de France. Les prochaines consultations électorales diront si l’impact y afférant est à prendre en compte et, si oui, quels sont les domaines d’influence ou de conquête   prévisibles. La naïveté, voire la stupidité créditeraient la sphère religieuse comme zone de vulnérabilité prioritaire. Ce serait naïveté, voire stupidité de le croire. Les intéressés , seraient, dans ces conditions, d’un poids tel qu’ils pourraient se dispenser d’engager la lutte sur un terrain où de fortes présomptions semblent indiquer des risques de réaction.   En effet, toute réforme qui menacerait par des bouleversements éventuels la vie quotidienne étant susceptible d’entraîner des « troubles à l’ordre public. 

 

La ressource stratégique est d’avancer  en toute légalité grâce aux possibilités qu’offre le respect des règles démocratiques, dont le suffrage universel. Ainsi, une communauté aux particularités civilisationnelles définies comme différentes pourrait arbitrer le résultat d’une consultation qu’il était prévisible d’escompter,  dès lors que l’égalité des droits avec les autres  citoyens devenaient garantie constitutionnelle.

 

L’enjeu est néanmoins caractérisé par des réalités spécifiques qui débordent le cadre hexagonal. L’Islam de France milite pour la Palestine. Ainsi, il a su impliquer à la revendication religieuse et, en l’y mêlant l’engagement « politique » aux côtés des Palestiniens.   Et, s’il est assurément la première religion de France, il est aussi et surtout une force qui s’est engagée par la qualité citoyenne reconnue  aux côtés d’une mouvance radicalement antisioniste.

 

Trop « jeune » pour revendiquer d’ores et déjà dans ce domaine sensible   tout pourrait changer par le verdict électoral qui, plaçerait en perspective  l’Islam de France parmi les courants politiques Français, lui donnerait droit d’avoir un avis sur la politique extérieure de la France, domaine où la prudence invitait jusque-là à la discrétion. On pourrait être surpris que le verdict prévisible du suffrage universel permette de rentrer dans les arcanes politiques et s’abstienne d’engager une querelle religieuse, jugée infructueuse à bon escient parce qu’impopulaire !

 

Le projet d’’anéantissement de l’« entité sioniste » quand bien même chimérique  à court terme,  possède encore une indéniable force d’attraction.

 

 

 

          israelParce que le camp que soutient l’Europe n’est pas pour les demi-mesures. Celui-ci ne s’accommode pas de « l’entité sioniste ». Il l’a dit, promis.  Sa  volonté ne permet pas  l’ambiguïté.  Chaque fois que l’opportunité s’est présentée, le monde Arabe a rappelé qu’il « vomissait l’Etat Juif ».

 

Et l’Europe, loin d’assortir son soutien   à des conditions qui préserveraient Israël, approuve globalement le projet d’anéantissement. Alors, quand cesserons-nous de vivre d’illusions ? Là est le danger !  Là est le catalyseur de la haine ! Là est la politique mondiale à l’égard d’Israël !

 

Les « frontières sûres et reconnues » sont pièges à naïfs. On ne peut y prétendre en dénonçant le « caractère Juif » de l’Etat d’Israël ! On ne peut être crédible en dénonçant systématiquement à l’ONU les initiatives de Jérusalem !

 

L’Europe a choisi ! Pas de place pour Israël. Quant aux Juifs, s’ils maintiennent fidélité à leur histoire renaissante, l’Europe tentera de  les « balayer » en cohérence avec ses principes séculaires. Tout comme en 1933, c’est la lucidité qui est requise, rien que la lucidité !

INTERDIT DE REPRODUCTION/ www.juif.org   et europe israêl

pedagogie   « Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre et, quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. » Proverbe 226.

 

Libre réflexion.

 

Le roi Salomon énonce ici un principe qui conduit l’éducateur à considérer que toute pédagogie est d’abord connaissance de la nature de l’enfant et ne peut, par conséquent, être indistincte sans s’exposer à la disqualification. Celle-ci signera  tout   recours à  une éducation globalisante et non adaptée. Perdre de vue que « faire apprendre » ne peut s’inscrire  dans un système  anonyme,  quand bien même  prétendant à  l’unicité, c’est condamner des générations à la pratique de la simplification. Et contrairement aux apparences,   cette uniformisation trahira l’idéal républicain d’égalité, car le nivellement, loin de de le générer en le stimulant  l’appauvrira par une réduction notable.

pedagogie

Le XIXèm siècle est responsable d’un empoisonnement  singulier, notamment en répandant l’artifice politique selon lequel la pluralité serait synonyme de division, qu’il n’y aurait pas plusieurs chemins qui conduiraient au « bonheur ». Un seul s’impose dans le gouvernement des Peuples et Nations. Il s’appelle DEMOCRATIE !

 

Toutes les fonctions relèveraient de ce principe d’unicité  qui, par certains aspects rejoint la catholicité universelle . La pédagogie n’y échapperait pas !  Avant 1789, seule l’Eglise conservait l’exclusivité de propagation de  la vérité.  Après la Révolution Française, ce rôle   sera dévolu aux élus de la nation qui veilleront au maintien de cette unicité, seule garantie aux lensemains.

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La pédagogie devint une, parce que la nation était une ! On ne voulait pas admettre que la richesse et la puissance dépendent aussi    d’une façon de voir multiple, polyvalente et plurielle. Aussi cette ouverture, loin d’encourager la désunion et le désordre garantit au contraire  le respect de la différence de chacun.

 

C’est parce qu’il est plus difficile de s’adapter à chaque enfant qu’en renonçant à la pédagogie différenciée, la pédagogie se dirigera vers d’autres autels où les Dieux anéantiront cette pédagogie de la différence pour un service nivelé, uniformisé, où l’unicité réelle sacrifiée à l’égalité à « tout va » produira une pédagogie asexuée où l’enfant, et l’homme devenu, finiront par admettre le caractère quasi sacré de la pédagogie et le sacrilège de leur demander comptes.

 

 

  • EXTRAIT DU DICTIONNAIRE LAROUSSE  «  Ensemble des méthodes utilisées pour  « éduquer » les enfants et les adolescents. »
  • Or l’étymologie de pédagogie renvoie à l’assistance individuelle.

étymologie éduquer  : du latin ex-ducere, guider, conduire hors (Larousse)

Or, la notion de guidance entraîne la mise en place d’une pédagogie individuelle, personnifiée. Les élèves ne s’y trompent pas. Interrogés sur « Qu’est ce qu’un « bon prof » ? Ils répondent avec leur vocabulaire : « celui qui parle à la classe mais qui donne l’impression de s’adresser à chaque élève. »

 

 

 

       rabbin-1Les conditions dans lesquelles l’entité sioniste désignée par « Foyer national Juif » laissera la place à l’Etat d’Israël sont mystérieuses, relèvent de l’imprévu et signent un « fait accompli » qui s’est imposé face à la stupeur du monde.

 L’indifférence des historiens à cet égard traduit un trouble  à mettre en évidence une réalité qui s’est imposée par une suite de péripéties qui échappent au libre choix  des acteurs en rejoignant une donnée qui s’était éclipsée durant deux mille ans : le destin  de la Nation Juive.

 Essayez de déterminer les conditions dans lesquelles le « Foyer National » voulu par Lord Balfour s’appellera « Etat d’Israël » Vous vous perdrez en conjonctures. L’hypothèse la plus vraisemblable semble s’imposer lors de la désignation des parties en cause, débats qui aboutirent au plan de partage en 1947. « L’Etat d’Israël » ainsi désigné, fut la première appellation nommée ainsi par les nations.

Quand Ben Gourion reprit la définition, dans la proclamation d’Indépendance, le 14 Mai 1948.  Il ne fit que saisir « une opportunité historique » déjà admise. Mais il  marqua, cependant, sa véhémence singulière,   à souligner, la nécessité  (oui, Ben Gourion, le père d’Israël désigné dans la conscience du monde comme Etat laïc, ) de proclamer l’Etat Juif huit heures avant la fin de l’expiration du mandat, celui-ci coïncidant avec la rentrée de Chabbat.

Car l’Etat voulu par Ben Gourion, se réclamait du Chabbat !

Et la Proclamation fut ainsi annoncée au monde : Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution recommandant la création d’un État juif en Palestine. L’Assemblée générale a demandé aux habitants de ce pays de prendre toutes les mesures nécessaires pour l’application de cette résolution. Cette reconnaissance par les Nations unies du droit du peuple juif à établir son État indépendant est irrévocable. C’est là le droit naturel du peuple juif de mener, comme le font toutes les autres nations, une existence indépendante dans son État souverain. En conséquence, nous, membres du Conseil national, représentant la communauté juive de Palestine et le Mouvement sioniste mondial, sommes réunis en assemblée solennelle aujourd’hui, jour de la cessation du mandat britannique en Palestine, en vertu du droit naturel et historique du peuple juif et conformément à la résolution de 1’Assemblée générale des Nations unies.

NOUS PROCLAMONS LA CREATION DE L’ÉTAT JUIF EN PALESTINE QUI PORTERA LE NOM D’ÉTAT D’ISRAËL.

 

L’appellation officielle, si elle est établie à partir d’un « fait accompli, » aux modalités pratiques procédant du « coup de force, » la Déclaration d’Indépendance » balayera les dernières réticences.

 

 

 

 

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