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A Nazi SS-man inspects a group of Jewish workers in April 1943 in the Ghetto of Warsaw. In November 1940, the Germans established the Warsaw ghetto. The Jewish population still living outside was brought inside the special area, and the Polish living within the designated ghetto boundaries were ordered to move out. On November 15th no Jew was allowed to leave the Jewish precincts. In the Summer of 1942, about 300,000 Jews were deported to Treblinka. When reports of mass murder in the killing center leaked back to the ghetto, a surviving group of mostly young people formed an organisation called Z.O.B. (Zydowska Organizacja Bojowa, Jewish Fighting Organisation) calling for the Jewish people to resist. On April 19, 1943 the Warsaw ghetto uprising began after German troops and police entered the ghetto to deport its surviving inhabitants. Seven hundred and fifty fighters fought for nearly a month. But on May 16, 1943, the revolt ended The Germans had slowly crushed the resistance. Of the more than 56,000 Jews captured, about 7,000 were shot, and the remainder were deported to killing centers or concentration camps. (FILM)  AFP PHOTO

A

FAIRE PAYER SA VIE DU PRIX ULTIME N’A PAS D’EQUIVALENT DEPUIS L’OCCUPATION ROMAINE ! Et encore, il y avait espoir ! Mais à Varsovie, c’était la mort assurée. C’est  une page nouvelle qu’écrira Anielewitche et ses compagnons.  Le SAVOIR c’est comprendre : POURQUOI, EN QUOI et PAR QUOI la génération « AUSCWITZ TEL AVIV » est la plus grande de l’histoire ! Bien Plus grande que NAASSE VENICHMA !

En appelant « au secours » le général Jurgen Stropf et ses avions, contre l’insurrection armée du ghetto de Varsovie    Hitler, savait que résister dans  la conception juive,  c’est bien plus opposer une façon de vivre qu’une résignation à mourir. Et les insurgés du ghetto en prenant le parti de la lutte jusqu’à la mort,  décidaient d’écrire une page nouvelle de l’histoire juive. Cette page  , pour novatrice qu’elle fût gardera son pendant dans des initiatives sionistes,  absurdes en apparence, car l’homme n’aime pas faire quand il se croit incapable de prévoir! Savoir n’empêche pas de faire, même si faire entraîne l’inévitable sacrifice !varsovie-4

  Par l’inexistence de motifs la fondant.  Que l’aviation du Reich ait été requise pour une issue connue de tous, confirme que la résistance juive ne se rendrait jamais. 

Cet apport inconnu jusqu’alors accordait  dans la vision ju un questionnement. La résistance armée du ghetto  indique au-delà du cadre même du ghetto où elle naquit que  «des temps nouveaux sont bien là ! » Des temps où les visions classiques, les clichés galvaudés  doivent être abandonnés. Que des Juifs  s’arment, est déjà en soi une incongruité mais que les Juifs décident de lutter, sachant que la mort les attend à Varsovie, va dessiner les contours d’une identité que rien ni personne ne laissait entrevoir.

 Choisir la mort n’est pas un cheminement Juif. Sauf si le choix  de la mort s’inscrit dans un processus où il témoigne que ne pouvant vivre sans la  dignité, impose la mise à jour des priorités.

  En effet, Varsovie, ouvre la page du REFUS JUIF ! Sentons l’insubordination du mot ! A part Massada ,  nulle équivalence ! Rien n’égalera le paroxysme de la génération qui part ! L’histoire Juive démarre de nouveaux horizons et de la même façon qu’Israël se remet en question en refusant de payer n’importe quel prix à la conservation d’une existence indigne, les nations prennent la mesure, « Qu’il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire ! » Et qu’apparemment, ce serait folie que de croire que le temps des larmes n’a pas cessé !

 

varsovie-1 FAIRE PAYER SA VIE DU PRIX ULTIME N’A PAS D’EQUIVALENT DEPUIS L’OCCUPATION ROMAINE ! Et encore, il y avait espoir ! Mais à Varsovie, c’était la mort assurée. C’est  une page nouvelle qu’écrira Anielewicz et ses compagnons.  Le SAVOIR c’est comprendre : POURQUOI, EN QUOI et PAR QUOI la génération « AUSCWITZ TEL AVIV » est la plus grande de l’histoire ! Bien Plus grande que NAASSE VENICHMA !

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En appelant « au secours » le général Jurgen Stropf et ses avions, contre l’insurrection armée du ghetto de Varsovie    Hitler, savait que résister dans  la conception juive,  c’est bien plus opposer une façon de vivre qu’une résignation à mourir. Et les insurgés du ghetto en prenant le parti de la lutte jusqu’à la mort,  décidaient d’écrire une page nouvelle de l’histoire juive. Cette page  , pour novatrice qu’elle fût gardera son pendant dans des initiatives sionistes,  absurdes en apparence. Savoir n’empêche pas de faire, même si faire entraîne l’inévitable sacrifice !

 

  Par l’inexistence de motifs la fondant.  Que l’aviation du Reich ait été requise pour une issue connue de tous, confirme que la résistance juive ne se rendrait jamais. 

A Nazi SS-man inspects a group of Jewish workers in April 1943 in the Ghetto of Warsaw. In November 1940, the Germans established the Warsaw ghetto. The Jewish population still living outside was brought inside the special area, and the Polish living within the designated ghetto boundaries were ordered to move out. On November 15th no Jew was allowed to leave the Jewish precincts. In the Summer of 1942, about 300,000 Jews were deported to Treblinka. When reports of mass murder in the killing center leaked back to the ghetto, a surviving group of mostly young people formed an organisation called Z.O.B. (Zydowska Organizacja Bojowa, Jewish Fighting Organisation) calling for the Jewish people to resist. On April 19, 1943 the Warsaw ghetto uprising began after German troops and police entered the ghetto to deport its surviving inhabitants. Seven hundred and fifty fighters fought for nearly a month. But on May 16, 1943, the revolt ended The Germans had slowly crushed the resistance. Of the more than 56,000 Jews captured, about 7,000 were shot, and the remainder were deported to killing centers or concentration camps. (FILM)  AFP PHOTO

Cet apport inconnu jusqu’alors accordait  dans la vision ju un questionnement. La résistance armée du ghetto  indique au-delà du cadre même du ghetto où elle naquit que  «des temps nouveaux sont bien là ! » Des temps où les visions classiques, les clichés galvaudés  doivent être abandonnés. Que des Juifs  s’arment, est déjà en soi une incongruité mais que les Juifs décident de lutter, sachant que la mort les attend à Varsovie, va dessiner les contours d’une identité que rien ni personne ne laissait entrevoir.

 

 Choisir la mort n’est pas un cheminement Juif. Sauf si le choix  de la mort s’inscrit dans un processus où il témoigne que ne pouvant vivre sans la  dignité, impose la mise à jour des priorités.

 

  En effet, Varsovie, ouvre la page du REFUS JUIF ! Sentons l’insubordination du mot ! A part Massada ,  nulle équivalence ! Rien n’égalera le paroxysme de la génération qui part ! L’histoire Juive démarre de nouveaux horizons et de la même façon qu’Israël se remet en question en refusant de payer n’importe quel prix à la conservation d’une existence indigne, les nations prennent la mesure, « Qu’il y a un temps pour pleurer et un temps pour rire ! » Et qu’apparemment, ce serait folie que de croire que le temps des larmes n’a pas cessé !

                   colon-1Il est essentiel de d’estimer une vision comparative au regard des nouvelles appellations contemporaines d’Israël, que celles ci relèvent de la renaissance historique ou de la permanence de faits ayant rapport avec la civilisation.

 

Il ne viendrait à l’esprit d’aucun observateur de désigner les Corses, les Guadeloupéens ou les Martiniquais. de « colon »  Et pourtant un « colon » est un immigré ou  un descendant d’immigrés. La définition du mot renvoie à un statut qui, pour le mieux, désigne le colon comme un « occupant » provisoire.

 

                 colon-2Les réserves considérables du « capital » linguistique antisémite ont basculé en tout domaine où ils pourraient prendre un sens et concerner la nouvelle manière d’être Juif, à savoir se définir au regard de la renaissance historique. C’est ainsi que, très peu de temps, après la naissance d’Israël  et, par un consensus, largement convenu, tout comme il fut habituel pour les fils et les filles des classes dirigeantes de faire « séjour » en Israël, il fut un usage établi de s’associer aux « pionniers »Juifs.

 

La vision a radicalement changé! Et la « vocation antisémite » largement déplacé les indices théologiques qui l’avaient engendrée. Désormais et, depuis la Guerre des Six Jours, on reprend goût aux définitions qui,  pour être manifestement sulfureuses n’en conservent pas moins ce « goût d’Occident »auquel on s’est habitiué et  qui oriente et détermine   les éléments au seul regard de l’appréciation de « voleur de la terre Arabe.

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Dire que les Israéliens sont des colons, c’est leur ravir, avec des mots certes, mais, c’est une étape, un droit que dans leur candeur ils avaient imaginé consacré depuis 1948!

 

DIFFUSION INTERDITE A www.juif.org  et www.europe israêl.

 

 

                                 eric-zemourCommentant sur RTL une de ses dernières parutions, Eric Zemour, fait état d’une information stupéfiante: L’implication de TSAHAL dans la lutte que mène la France contre l’islamisation.

Zemour n’y va pas avec le dos de la cuillère: les lois sur le respect de la laïcité ne sont pas appliquées, la progression endémique de l’Islam sur certaines zones de non droit est lourdement préjudiciable.  Le tout reposant sur une donnée qu’il faut rappeler, selon Eric Zemour:  l’irrépressible incompatibilité de  l’Islam et de la République. La réaction doit être à la mesure du danger: FULGURANTE! Elle porte déjà un nom, toujours, selon Eric Zemour:  » OPERATION RONCES! »

Quel que soit le crédit à apporter à l’information que relaye RTL, la plus  grande prudence est requise, avant toute utilisation éventuelle,  car il n’aura  échappé à aucun observateur,  que l’information est de nature à constituer un facteur supplémentaire d’importation du conflit israélo-arabe en France.  Déjà menacés  par divers et multiples  courants radicaux,  les Juifs de France risquent de payer, une fois de plus,  la facture pour la propagation  de cette information dont ils se seraient bien passés assurément.

De plus,  la sympathie naturelle dont bénéficie l’Etat d’Israël et que témoignent  à chaque occasion les divers leaders Juifs était de nature à susciter une plus grande vigilance  pour une information qui, fondée ou pas,  est de nature à renforcer les pressions diverses qui, de l’islamisme au christianisme fondamentaliste en passant par des courants idéologiques radicaux, constituent le regrettable environnement de la Communauté Juive de France.

Cette information si elle était fondée, devait être transmise, par les services de la présidence de la république ou par le Bureau du Premier Ministre Israélien.

PAS, PAR ERIC ZEMOUR!

 

 

 

 

 

                            rabbin l de fLa loi rabbinique a-t-elle les moyens de devenir  une aide au renforcement des structures de l’Etat ?  

 

Ayant pris acte que parmi les options retenues, les communautés rabbiniques s’abstinrent dans leur majorité de retenir l’option préconisée par Théodore Hertzl, s’en suivit une importation d’habitudes, d’usages et de comportements qui, au fil du temps, oubliant le passé s’inscrivirent comme « parties de gouvernement »

 

Si le sionisme politique est passé de la conscience exilique, religieuse ou non, à la « conscience citoyenne » il en fut différemment pour le monde rabbinique qui est passé avec tous ses « bagages,  » d’un sionisme théologique,  dont il importait de suivre l’exemple,  à une autre forme de sionisme, différent selon quelques apparences  seulement, du conservatisme du ghetto ou du mellah.

 

Et c’est là que le bât blesse !

 

 Car ce Judaïsme de l’exil  dont les sages disent que le « maintien des mitzvots n’a d’obligation que pédagogique, afin de  se rappeler comment faire, une fois revenus sur la terre d’Israël » ou, pour aller plus loin « que le plus grand des sages vivant en exil se comporte comme s’il n’avait pas de D.ieu » et, pour conclure que « le plus grand des mécréants vivant en terre d’Israël a plus de mérite que le Juste vivant en exil » imposait une approche comportementale différente qui n’a été l’objet d’aucune considération !

 

Car, si nous allons plus loin dans les sous-entendus, nous ne serions pas loin de conclure, que « hormis la terre d’Israël » il ne saurait y avoir place au sacré !

 

Nous devons prendre acte que cette façon inadéquate de faire « Juif » devenait inappropriée chez les « sionistes politiques » qui ne purent s’empêcher d’appréhender   que l’identification à ces Juifs de l’exil ne permettait pas,  selon l’adage familier de faire « du neuf avec du vieux qui fait d’exil, n’avait d’autre ambition que de s’y maintenir !

 

Pour trouver sa place et tenir son rang, on pouvait s’attendre à des Etats  généraux de la Condition Juive qui auraient pris en compte la volonté légitime de l’adaptation.

 

Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !

                              rabbin 1Les  Nations apprennent du caractère intemporel de la terre d’Israël que les « Judéens nouveaux » sont indéracinables ! Ce n’est pas gratuit qu’elles préfèrent « TERRE SAINTE » qui elle aussi est une intemporalité,  mais indépendante d’Israël!

 

Le peuple Juif est « indéracinable » de sa terre car,  ignorant la  « patrie », pour la « terre de sainteté » ils confèrent à la terre un statut de partenaire ! On a tout essayé, vraiment, mais aucune perspective n’est en mesure de confirmer que « déraciner » les Judéens est possible.  Parce que tous les peuples, sauf, peut être, « l’éminente » fraternité vaticane,   ignorent que le lien à la terre, implique chez les Juifs même agnostiques, une dimension singulière, assez proche de l’irrationnel, mais n’y relevant pas,  celle du sacré !

 

LORSQUE LES TITULAIRES DU DROIT DE POSSESSION PERDENT leur droit â la terre,  c’est cette dernière qui devient l’instrument de justice ; il est écrit : « ELLE TE VOMIRA »  La terre est PLEINEMENT SUJET DE L’ACTION ! C’est elle qui vomit et Nul autre en son nom !

BLAISE

MALHEUR A CELUI QUI INVENTERA UN ENFANT POUR CACHER L’ANEANTISSEMENT D’UN ENFANT JUIF!

 Shoah est là avec son cortège de fatalités, très proche encore des barbares et des « Français » qui trouvèrent en leurs complices l’opportunité  d’un Maréchal de France pour donner le sens du carnaval à la… tragédie!

 

 A l’hôtel  Lutétia, on accueillait  les derniers rescapés venus d’ailleurs. Pendant  que d’autres trains partaient pour une destination nouvelle, celle de l’Espoir d’une autre vie qu’ils se promettaient de construire le regard lourd et la mémoire encombrée par le cauchemar dissuasif de la Solution Finale.

 

Dès le premier jour, ils n’eurent pas même le temps de témoigner  qu’Hitler n’avait pu tenir son pari « Les Juifs nous vaincront ou nous les anéantirons. » MAIS ILS Reçurent  de quoi honorer le leur : des vieux fusils à un coup dont ils firent le meilleur usage puisqu’ils imposèrent la victoire.

 

La Campagne de Suez, la Guerre des Six Jours, Jérusalem enfin Juive. Mais ces combats ne suffirent pas. La victoire restait suspecte parce que les vainqueurs étaient Juifs. Et jamais on n’avait vu les Juifs se battre ! Quant à gagner on laissait ça aux mythes ! On changea de registre.

 En 1975, Israël connut l’ignominie de l’accusation  d’apartheid, accusation qu’on abandonna très vite, mais le grief  laissa des traces dans une mémoire affamée de reproches.  Le répertoire s’envola. Que restait-il ? On commença à s’attaquer à l’âme juive.  Seulement maudite, jusqu’alors, elle devenait objet d’analyse.

 

L’Etat Juif se vit notifier l’obligation de renoncer à la spécificité Juive de ses institutions. Le Premier Ministre Israélien alla expliquer aux sénateurs US pourquoi l’Etat Juif n’y renoncerait jamais. Du coup, stupéfaits, les sénateurs lui firent une « standing ovation » Puis, la promiscuité fut telle qu’on se fourvoya en « priant » le Président du Consistoire d’expliquer que la circoncision ne présentait pas d’incompatibilité avec la République .

 

Le « corps d’Israël », « l’âme d’Israël » !  Même la Shoah est dérision ! RIEN DE CE QUI EST JUIF n’empêchera de rire! Regardez les bien vos larmes encore transparentes. Bientôt elles seront rouges! Que six millions de martyrs ne vous dispensent pas de vouloir recommencer me fait penser à  cette réflexion de Manitou commentant que le « fin des fin » de la gastronomie était la viande faisandée, un rictus de dégoût au coin des lèvres, le maître lança: « Il ne peut être question de dissocier la culture qui est derrière! »

 

CE QUI TROMPE C’EST LE SOURIRE D’ISRAEL MAIS  LA GUERRE TOTALE EST EN COURS ! On ne veut plus d’Israël debout !

 

Publication interdite à :  www.europe israel   et www.juif.org

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