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David,

 

Je pense que tu m’as compris, tout à l,heure mais je n’ai jamais voulu exposer un élève à un regard renforcé ou, curieux, d’un membre quelconque de ma famille. Redevenir élève impose un effort de reconversion dont l’étudiant n’est pas toujours conscient.

 

Est accompli en effet, un effort d’introspection que l’étudiant accepte dans une relation sympa avec l’éducateur, mais qui le laissera « réservé » si l’enseignant est accompagné. Je te laisse le soin de choisir la prochaine séance!

 

Se remettre en disponibilité, par  imprégnation effective, est preuve d’équilibre mais traduit aussi la recherche positive de la confrontation Aussi, la présence d’un étranger, proche parent  de l’enseignant, de surcroît ; quand bien même acceptée est presque toujours mal vécue chez des ado.

 

Cela me rappelle mes interpellations aux jeunes enseignants dont le but était de vérifier quel sens était donné à « enseigner »: 1/10 èm OSAIENT LA VOCATION, le gros de la troupe : être avec des jeunes, 1/5èm: Faire apprendre l’ordre. C’est cet épisode qui m’a persuadé que le métier est dangereux; par la licence autoritaire qu’elle indique!

C’est parce que c’est le plus beau métier que « faire apprendre l’ordre » peut devenir, intolérable car l’ordre devient « fin en soi »et le prof initiateur au fascisme!

 

JEUNESSE DE France ET D’AILLEURS, DONNE TON AVIS !

 

       crime contre 2« On oublie une règle élémentaire de droit et d’humanité que pratiquent celles et ceux chez qui le mot « conscience » résonne encore avec le souci de justice réparatrice, qu’on ne peut pardonner « qu’à celui qui demande pardon. »

Certains milieux inspirés de la pestilence révisionniste déplorent l’utilisation inflationniste de la Shoah et estiment que la référence appuyée des Juifs à voir l’antisémitisme dans toute critique formulée, tant à leur égard qu’à celui de la politique de l’Etat d’Israël, constitue un harcèlement d’une telle insistance qu’il en devient l’alibi empêchant l’exercice du blâme.

Dans la mesure où les évènements qui se sont déroulés en Europe, de 1938 à 1945 relèvent d’une tragédie de type racial, tout à fait exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité, par l’intention et la réalisation partielles d’anéantissement d’un peuple, il semble cohérent d’admettre que le traumatisme causé, outre la disqualification sous-jacente de la culture « productrice » d’une telle monstruosité qu’il implique, ne cessera que lorsque les rescapés et ayant droit estimeront le moment venu.

Mais que des individus n’ayant pas donné au Peuple Juif des gages de regret sincère et des signes tangibles de honte pour les horreurs perpétrées par la civilisation qui est et restera la leur, présente un arrière-goût d’équivoque et de suspicion légitime sur les raisons qui les conduisent à estimer « qu’on en parle trop. »

Cette appréciation est et restera à la seule appréciation des victimes !

Elle sera rappelée sans cesse et chaque fois que nécessaire.

Les « défenseurs de l’indéfendable » seront débusqués dès lors que l’opportunité en donnera l’occasion.

C’est, en effet, une inadmissible grossièreté de reprocher aux victimes directes ou non de la Shoah, de vivre encore les affres de l’inquiétude exterminatrice, et de dénoncer les signes de leur résurgence, quand la collusion arabo-occidentale, produit encore des fruits pourris et venimeux que les fidèles servants du nazisme et de la Révolution Nationale cultivent encore avec dévotion.

Quand on entend, auréolé de l’argument à deux sous, « qu’il faut savoir pardonner » on oublie une règle élémentaire de droit et d’humanité que pratiquent celles et ceux chez qui le mot « conscience » résonne encore avec le souci de justice réparatrice, qu’on ne peut pardonner « qu’à celui qui demande pardon. »

Or, les nostalgiques de la honte, n’ayant pas, pour un grand nombre d’entre eux, sollicité le pardon ou exprimé des regrets, il n’y a pas lieu de cesser de dénoncer le mal. Ils persévèrent dans l’hostilité anti-juive, convertie, pour l’heure en anti sionisme.

Ils entendront, donc, sans répit, la voix accusatrice d’Israël, répéter inlassablement, avec celle des prophètes : « 

Seuls ceux qui méritent  seront pardonnés! C’est mépris  de pardonner à quiconque ne supplie pas son obtention! A t-on bien entendu que le pape a demandé « pardon à D…pour les fautes commises envers D… » On était sourd! N’est ce pas? Vatican II: « Vous êtes chers, car vos pères étaient chers » Etait-il nécessaire d’insulter  pour nous faire comprendre que la Shoah doit, encore et encore être rappelée? 

Père Patrick DESBOIS, notre frère dans l’ordre du juste, parlez, ISRAËL, VOUS ECOUTE!

La « souffrance juive », par sa signification raciste et la portée diabolique par laquelle elle s’est singularisée durant la Shoah, confère à ses victimes et descendants un statut exceptionnel qui les transforment en témoins de l’indicible.

A ce titre, ils s’inscrivent dans une dimension aristocratique de la dénonciation qui leur donne le droit permanent de l’accusation dont, eux seuls, par le redoutable pouvoir qui s’y associe, pourront, le jour venu proclamer l’achèvement.

Parce que la haine remonte fort loin dans l’histoire de l’Occident, non dépourvue d’une habilitation « céleste »!

« Race incrédule et perverse, jusqu’à quand serai-je avec vous, et vous supporterai-je ? » (Jésus aux Juifs, Évangile Luc 9, 41)

crime contreSi antisémitisme et anti-sionisme, sont frères, le premier présente une variété identitaire qui, pour être meurtrière  s’éloigne cependant de la systématisation de l’anéantissement désigné par le second.  Relevons dans le Larousse les définitions s’y rapportant:

Antisémitisme: 

Doctrine ou attitude systématique de ceux qui sont hostiles aux juifs et proposent contre eux des mesures discriminatoires
En savoir plus sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/antis%C3%A9mitisme/4285#repzUesCCokw05GL.99

Antisionisme: Hostilité à l’existence ou à l’extension de l’État d’Israël.

 En savoir plus sur hhtp://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/antisionisme/4293#yv29CeRDR00jmcXM.9crime contre 2

La proposition de mesures discriminatoires dans la pratique de l’antisémitisme n’a pas d’équivalent dans l’antisionisme. Car si le premier s’accomode d’attitudes hostiles, par lesquelles  les manifestations du ressentiment  s’exprimeront, il n’est pas précisé l’intensité ou la volonté de nuancer la haine ressentie.  Par ailleurs, et la remarque pèse lourd dans l’appréciation, la connotation génocidaire n’est pas requise pour justifier l’antisémite.

Alors qu’il en est d’une toute autre estimation pour l’anti-sionisme qui d’emblée et, sans nuance notifie une notion principielle visant au refus de « l’EXISTENCE, à  la non reconnaissance de la NATION JUIVE. La justification de l’Etat Juif étant niée, l’anti-sionisme indique implicitement que le seul moyen requis pour la solution exclusive au problème posé est la LIQUIDATION DE L’IDEOLOGIE PERVERTIE.  Le sionisme est, par lui même, indication identitaire DE L’ORIGINE DU DYSFONCTIONNEMENT.

crimes contre 4

Son éradication ne ménage pas la radicalisation  des moyens nécessaires,  obligatoires et inévitables à mettre en place! « C’est l’entité sioniste qui est cause essentielle du trouble! » L’installation du peuple Juif sur la terre d’Israël est illégitime. Et si la connotation exterminatrice est inévitable, celle ci sera vue comme conséquence d’une implantation illégitime!

Aussi, l’anti sionisme restant hostilité à l’égard d’une ethnie déterminée doit être vu comme manifestation ségrégationniste dont les connotations  haineuses à caractère racial attestent notoirement de sa qualification en « crime contre l’humanité!crime contre 4

 

DUPLICATION INTERDITE  A     EUROPE-ISRAËL    ET   www.juif.org

LES ÉGLISES ALLEMANDES ET L’ETAT Nhitler et luther 3AZI

Le clergé catholique et les dignitaires nazis, parmi lesquels Joseph Goebbels (au bout à droite) et Wilhelm Frick (second à partir de la droite), font le salut nazi. Allemagne, date incertaine.

— US Holocaust Memorial Museum

En 1933, l’Allemagne comptait environ 60 millions d’habitants. Presque tous les Allemands étaient chrétiens, soit d’obédience catholique romaine (environ 20 millions de membres) soit protestante (environ 40 millions). La communauté juive représentait moins d’1% de la population totale du pays.

Comment les chrétiens allemands et leurs Eglises réagirent-ils face au régime nazi et à ses lois? Et en particulier face à la persécution des Juifs? L’idéologie nazie anti-juive et racialisée rencontrait un antisémitisme traditionnel, répandu à l’époque dans toute l’Europe, qui puisait ses racines profondes dans l’histoire chrétienne. Pour beaucoup trop de chrétiens, les interprétations traditionnelles de textes religieux semblaient conforter ces préjugés.

Les attitudes et les actes des catholiques et des protestants allemands à l’époque nazie n’ont pas été déterminés par leurs seules croyances religieuses, mais aussi par d’autres facteurs, dont:

  • une réaction violente contre la République de Weimar et les changements politiques, économiques et sociaux intervenus dans les années 20 en Allemagne. •l’anticommunisme. 
    •le nationalisme. 
    •le ressentiment envers la communauté internationale qui, après laPremière Guerre mondialeperdue par l’Allemagne, la condamna à payer de lourdes réparations.hitler et luther

Ce furent quelques unes des raisons qui poussèrent la plupart des chrétiens en Allemagne à se réjouir de la montée du nazisme en 1933. Ils furent également convaincus par “le christianisme positif” affirmé dans l’article 24 de la plateforme du parti nazi en 1920 :

Nous exigeons la liberté au sein de l’État de toutes les confessions religieuses, dans la mesure où elles ne mettent pas en danger son existence ou n’offensent pas le sentiment moral de la race germanique. Le Parti en tant que tel défend le point de vue d’un christianisme positif, sans toutefois se lier à une confession précise. Il combat l’esprit judéo-matérialiste à l’intérieur et à l’extérieur, et est convaincu qu’un rétablissement durable de notre peuple ne peut réussir que de l’intérieur, sur la base du principe : l’intérêt général passe avant l’intérêt particulier.

Malgré l’antisémitisme ouvert de cette déclaration et le lien entre la “liberté” confessionnelle et la morale nationaliste et racialisée, de nombreux chrétiens en Allemagne comprirent cette déclaration comme une affirmation des valeurs chrétiennes.

LES EGLISES PROTESTANTES EN ALLEMAGNE NAZIE luther et calvin
 
Dans les années 30, la plus grande Eglise protestante en Allemagne était l’Eglise évangélique allemande, composée de 28 Eglises régionales (ou Landeskirchen). Elle comprenait les trois grands courants théologiques nés à la suite de la Réforme: les Luthériens, les Réformés ainsi que l’Eglise protestante Unie. Plus de 40 millions de protestants allemands étaient membres de cette Eglise, bien qu’il y ait eu de plus petites Eglises protestantes dites “libres”, comme les Eglises méthodiste et baptiste.

Historiquement, l’Eglise évangélique allemande se considérait comme l’un des piliers de la culture et de la société allemande, avec une tradition théologique de loyauté à l’égard de l’Etat. Pendant les années 20, un mouvement vit le jour dans l’Eglise évangélique allemande appelé la Deutsche Christen ou les « chrétiens allemands ». Les « chrétiens allemands » adoptèrent de nombreux aspects nationalistes et racistes de l’idéologie nazie. Une fois les nazis au pouvoir, ce groupe demanda la création d’une Eglise nationale du Reich et soutint une version nazifiée du christianisme.

La Bekennende Kirche — l’Eglise confessante —
fut fondée par opposition aux « chrétiens allemands ». Sa profession de foi fondatrice, la Déclaration de Barmen, proclamait l’allégeance de l’Eglise non à un Führer terrestre mais à Dieu et à l’Ecriture sainte. L’Eglise confessante et les « chrétiens allemands » continuèrent de faire partie de l’Eglise évangélique allemande, ce qui créa unKirchenkampf (ou lutte de l’Eglise) au sein de l’Eglise protestante allemande. Ce furent des débats permanents et une lutte de pouvoir entre ceux qui voulaient une Eglise nazifiée, ceux qui s’y opposaient, et des dirigeants soi-disant neutres dont la priorité était d’éviter à la fois un schisme et des conflits avec l’Etat nazi.

Les membres les plus célèbres de l’Eglise confessante étaient le théologien Dietrich Bonhoeffer, exécuté pour le rôle qu’il joua dans la conspiration cherchant à renverser le régime, et le pasteur Martin Niemöller, qui passa sept ans dans des camps de concentration pour avoir critiqué Hitler. Ces ecclésiastiques n’étaient pourtant pas représentatifs de l’Eglise confessante car, malgré leurs exemples, leKirchenkampf protestant était interne et non tourné contre le national-socialisme. Dans l’Eglise confessante, la plupart des dirigeants cherchaient principalement à bloquer les ingérences de l’Etat et de l’idéologie dans les affaires de l’Eglise. Il y eut cependant des membres du clergé et des laïcs qui s’opposèrent et résistèrent au régime, et pour certains, cachèrent et aidèrent des Juifs.

L’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE DANS L’ALLEMAGNE NAZIE 
 
Il n’y eut pas de Kirchenkamp au sein de l’Eglise catholique car elle ne fut pas aussi fortement divisée idéologiquement que l’Eglise protestante. Les dirigeants catholiques furent initialement plus méfiants du national-socialisme que leurs homologues protestants. Le nationalisme n’était pas aussi fortement ancrée dans l’Eglise catholique allemande et la hargne anti-catholique de figures telles qu’Alfred Rosenberg, un important idéologue nazi au moment de l’arrivée au pouvoir d’Hitler, souleva des inquiétudes parmi les dirigeants catholiques d’Allemagne et du Vatican. Dans les années 20, le Parti du centre catholique avait, de plus, joué un rôle clé dans la coalition gouvernementale de la République de Weimar. Il s’était opposé au parti nazi dans sa lutte avec les sociaux démocrates et le parti démocratique allemand — classé à gauche — contre les partis de droite.

Avant 1933, certains évêques interdirent aux catholiques de leur diocèse de rallier le parti nazi. Cette interdiction fut levée après le discours d’Hitler au Reichtag en mars 1933 au cours duquel le christianisme fut salué comme fondement des valeurs allemandes. Le Parti du centre catholique fut dissous en juillet 1933 dans le cadre du concordat signée entre le Vatican et des représentants du gouvernement nazi, puis plusieurs de ses dirigeants furent assassinés lors de la Nuit des longs couteaux fin juin 1934.

SYNTHESE 
 
Dans les deux Eglises allemandes, il y eut des membres, dont des ecclésiastiques et des théologiens, qui soutinrent le régime nazi. Mais comme la pression du régime nazi s’accrut progressivement sur ces milieux, l’anti-nazisme augmenta. Les nazis virent dans les critiques de l’Eglise, à l’égard des mesures prises par l’Etat, une dissidence potentielle. Lorsqu’en mars 1935, un communiqué de protestation fut lu en chaire des Eglises confessantes, les autorités nazies réagirent violemment en arrêtant, brièvement, plus de 700 pasteurs. Dans les églises catholiques, la Gestapo saisit dans tous les diocèses du pays, les exemplaires de l’encyclique Mit brennender Sorge (Avec une brûlante inquiétude) après qu’elle fut lue en public.

Par tactique, les dirigeants des Eglises protestante et catholique en Allemagne restèrent prudents, dans la mesure du possible, dans les contestations et les compromis avec les dirigeants nazis. Au sein des deux Eglises, l’idéologie racialisée nazie et la notion d' »aryanisme » furent critiquées et des mouvements émergèrent pour défendre des membres de l’Eglise qui étaient considérés comme « non-aryens » en vertu des lois raciales nazies (par exemple, les Juifs convertis). Pourtant, tout au long de cette période, il n’y eut pratiquement aucune opposition publique ou aucune volonté de la part de dirigeants des Eglises de s’opposer au régime sur les questions de l’antisémitisme et de la violence exercée sur les Juifs. A titre personnel, des catholiques et des protestants protestèrent au nom des Juifs, et de petits groupes s’impliquèrent dans le sauvetage et la Résistance (par exemple, Die weiBe Rose — la rose blanche — et Herman Maas).

Après 1945, le silence des dirigeants des Eglises et l’importante complicité des « chrétiens ordinaires », obligèrent les dirigeants des deux Eglises à aborder la question de la culpabilité pendant la Shoah — un processus qui se poursuit à travers le monde jusqu’à aujourd’hui.

Copyright © United States Holocaust Memorial Museum, Washington, DC

Translation Copyright © Mémorial de la Shoah, Paris, France

 

 

MARTIN LUTHER
 Martin Luther  (1483-1546) théologien Allemand et Père  fondateur de la Réforme se distingua au regard des Juifs par une hostilité théologique qui, cependant préféra très vite les voies de fait aux « disputations »

Ci-après quelques positions de Martin Luther. On y observera d’emblée une hostilité anti juive sans nuance qui prend date dans l’enracinement de la haine !


–  « Comme les Juifs aiment le Livre d’Esther, qui correspond si bien à leur appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers! Le soleil n’a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci, qui se prend pour le peuple élu afin d’avoir licence d’assassiner et d’étrangler les Gentils. Il n’y pas de créatures, sous le soleil, plus avides qu’ils sont, ont été, et seront – il n’est que de les voir pratiquer leur maudite usure. – Ils se flattent de l’espoir que lorsque le Messie viendra, il rassemblera tout l’or et tout l’argent du monde et le leur partagera».

 ( Martin Luther dans « Les Juifs et leurs mensonges », 1543).


–  «  Il est aussi facile de convertir un Juif que de convertir le diable. Car un Juif,  un cœur juif est dur comme un bâton, comme la pierre, comme le fer, comme le Diable ( Satan Bref, ils sont enfants du Diable, condamnés aux flammes.


( Martin Luther dans son livre intitulé en hébreu « Schem Hemphoras », 1542).


–  « Peut-être quelque sainte âme miséricordieuse entre nous Chrétiens sera-t-elle d’avis que je suis trop grossier avec ces pauvres et pitoyables Juifs.  O Seigneur, je suis bien trop petit pour me moquer de pareils diables: je voudrais bien le faire, mais ils sont bien plus forts que moi en raillerie, et ils ont un dieu qui est passé maître en l’art de raillerie, il s’appelle le Diable et le mauvais esprit». 


( Martin Luther dans son livre intitulé en hébreu « Schem Hemphoras », 1542).


-«  En outre, vous avez également encore les Juifs dans le pays qui font de grandes nuisances… C’est pourquoi, messeigneurs, vous ne devez pas les souffrir: mais les chasser. Là où ils se convertissent, abandonnent leur usure et admettent le Christ, alors nous voulons bien les tenir pour nos frères.  Il n’en sera pas autrement, car ils le font trop grandement : ils sont nos ennemis déclarés, ne cessent pas de diffamer le Christ Notre Seigneur, appellent la Vierge Marie une pute, le Christ un fils de pute“.

 

( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-«  Ils nous appellent petits monstres ou veaux à consommer, et s’ils pouvaient tous nous tuer, ils le feraient volontiers». 

( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-„ 
Nous voulons encore exercer l’amour chrétien envers eux et les prier qu’ils se convertissent, acceptent le Seigneur qu’ils doivent équitablement honorer devant nous. Si quelqu’un ne veut pas pareille chose, alors il n’y a pas de doute que c’est un Juif foncièrement méchant.

  
( Dernier sermon de Martin Luther, fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

-«   Si les Juifs veulent se convertir et cesser leur blasphème et ce qu’ils nous ont ordinairement fait, alors nous voulons leur pardonner. Sinon, nous ne devons ni les tolérer ni les souffrir“.

( Conclusion du dernier sermon de Martin Luther fait dans sa ville natale d’Eisleben, quatre jours avant sa mort suspecte, le 18 février 1546).

DUPLICATION INTERDITE A    EUROPE ISRAËL ET www.juif.org

 

     interview pere desboisIl est parmi les prétendants  à la « fraternité judeo-chrétienne » un prêtre Catholique dont l’amitié pour les Juifs ne peut être mise en doute ou classée au service démagogique d’un prosélytisme de mauvais aloi. Il s’agit du Père Patrick Desbois, haut responsable Catholique du « terrain d’échange » entre  les  deux traditions, celle d’Israël et celle de la chrétienté. Interrogé très récemment par Paul Amar, le Père Desbois fit part d’une vive inquiétude inspirée par les sévices divers que subissent les Chrétiens d’Orient de la part des porteurs de la foi islamique.

 L’attitude du Saint Siège « dépassée » par la conception d’une  centralité romaine se comporte comme si elle  croyait encore, ou  du moins, ferait  semblant de nous inviter à  souscrire à une dimension où opposer au « monde qui vient » avec les attributs incontestables et quasiment incontestés de la conquête Arabe,   le dogme de « l’Infaillibilité pontificale » suffirait à confirmer la prééminence de l’ultramontanisme.  et,  la persistance d’un mythe dévastateur, et englouti : la toute puissance de l’Eglise Catholique et son illusion omnipotente.

       

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Cette projection de la « toute puissance » Catholique ne tient pas ou, plutôt ne tient plus, quand des hommes de « bonne volonté, tel que le Père Patrick Desbois témoignent! D’abord,  le pardon sans réparation est tout comme la reconnaissance Vaticane de l’Etat de Palestine: une supercherie! C’est ainsi que cet ecclésiastique en dépit de son implication nécessairement militante ne se dispense pas du devoir d’assistance  ou de correction envers la mémoire de la Shoah. Il a ainsi initié à la recherche des dépouilles Juives en Ukraine, organisé exhumations et inhumations dans le but d’accorder à ces victimes une mise en conformité avec ce que la tradition juive prévoit en pareille circonstance.

C’est dans cette perspective, qu’interrogé très récemment par Paul Amar, Le père Desbois a fait remarquer, que,  tout comme  en 42,  le silence est de règle: Tant que les intérêts immédiats ne compromettent, pas l’essentiel , croit-on, comprendre, la nécessité de réagir ne s’impose pas!  Or, en Syrie, en Irak, par exemple,  c’est à une éradication absolue du Christianisme qu’assiste  le monde silencieux. Le Père Desbois relate les circonstances de l’islamisation d’un village où « VOL ET VIOL » sont les initiatives préparatoires. Exposé simple et percutant!  Le Père Desbois  y  dénonce implicitement   l’apathie  de l’Europe qui préfère garder pour  la sauvegarde de l’islamisme Palestinien, la   sévérité discriminatoire  dont elle accable Israël!

L’expertise  en géo-stratégie n’empêchera pas, cependant la culture du bon sens d’imposer   la  certitude  prévisible que combattant le même ennemi,  les Juifs seront  les défenseurs très probables de la Chrétienté!

 

REPRODUCTION INTERDITE A EUROPE ISRAËL ET  www.juif.org

 

Interrogé par Paul

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