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 ECHANGE Français  et…SURRÉALISTE!demo 1

 Et, puisque tu valides les vœux qu’on formule pour l’année civile, je ne serai pas en reste pour te retourner les miens, en dépit que le 1er Janvier fête d’abord la circoncision de l’acteur capital du Golgotha, comédie burlesque où l’on y voit un voleur de grands chemins  s’approprier une civilisation au motif que celle-ci avait  prévu une autre orientation à l’histoire du Salut.

 

Bref, en retour des souhaits, non seulement validés mais  essentiellement orientés pour toi et les tiens vers cette priorité qui porte tout le reste, parce qu’elle seule est revêtue du Sceau de l’authentique:  » Soyez préservés de la maladie, de toute atteinte de l’ennemi et que votre action pour Israël vous soit comptée comme mérite ».

 

J’imagine que les motifs de ton voyage t’ont détourné de toute initiative touristique…Idem pour nous. Te rends tu compte, moi qui proclame mon intérêt Français: restés trois semaines en France, nous avons réglé certaines instances locales qui, n’obligeant pas au déplacement, nous ont dissuadés de toute ballade à Paris, pourtant, à quelques minutes de notre maison. Je me surprenais au constat dans un lieu nommé Place de la Répulique que, n’entendant plus les accents familiers d’une « expression » usuelle, il fallait créditer la nostalgie de cette désignation erronée.

                                                                                                                                                        demo 3

Les contacts avec les Israélites, terme choisi délibérément, les Juifs ayant quitté le navire ou se préparant à cette échéance. Ainsi que dit plus haut, mon témoignage reste capital: dans le centre de cette ville du Sud parisien, la langue Française n’est plus une constante, confirmant que le vrai danger, n’est pas, n’est plus le cavalier avec son turban serrant entre les dents son cimeterre, mais l’originaire d’un autre part qui, prenant la place offerte,  participe à l’une des conquêtes du territoire  Français, les plus subtiles,  inimaginées  parce qu’inimaginables : Conquérir sans combattre, nanti d’une arme redoutable: posséder des papiers en règle!

 

Je l’ai pensé et écrit: la France a l’habitude des épreuves mais JAMAIS la France ne connut des débordements   démographiques visant à anéantir la république! 

Tout comme les Français attendaient les Allemands sur la ligne Maginot, n’imaginant pas la stratégie du détournement, les Français convaincus que les « armes Françaises » sont par elles-mêmes dissuasives, ne voulurent pas admettre que Napoléon fut défait en Espagne, car, si la Grande Armée restait invincible, dans le  cadre classique d’une armée contre une autre armée, elle restait sans moyen, devant une nouvelle forme d’assaut: la guérilla!

 

 Ainsi, il suffira que les commerces, j’y reviens, de la Place de la République  soient tenus par les fidèles d’une croyance méconnue  pour obliger le ressortissant Français à descendre plus bas sur la nationale, qui, à coup sûr est déjà exposée à cette poussée démographique ignorée des historiens. Je n’éviterai pas l’emploi du « passé même plus composé », car composé implique la volonté de composer. Et cette volonté, qui l’eût dit, a été subtilement remplacée par une curiosité qui pour malsaine qu’elle soit n’en reste pas moins une des données fondant le caractère invasif de cette présence en France. En effet, on entend de plus en plus des avis proclamés par les nouveaux patriotes   de la France, reprenant la considération d’un journaliste célèbre; « La France saura t- elle saisir la chance d’être devenue le premier pays Musulman d’Europe ?

 

 

On s’attendait à combattre les fellagas, mais face à nous,  une autre tradition religieuse  qui,  bien que Française a compris tout le poids du bulletin de vote et impose une présence qui ne s’inscrivant pas dans le conflit désormais primitif de l’affrontement militaire est en train  jour après jour de prendre acte que la France n’est plus invincible.  Elle commence à comprendre  que Djellabas, et voiles de toutes sortes opposent à  la République,  l’ambassade  de la Nation Arabe et non des représentants d’ethnies désœuvrées.  Et que celle ci ne s’affronte pas avec le plan Vigie Pirate!.. Mais d’abord, et exclusivement avec la fierté de la conscience Nationale. La France ne veut pas se rappeler que les « Musulmans ne intégreront   jamais » avait prophétisé Hassan II

 

  Le geste profanateur d’une Marseillaise sifflée ou d’un   drapeau Français avec lequel on se torche,   ultimes provocations qu’il ne fallait pas laisser passer. La voix de France  inaudible. Elle est loin! Elle est là bas! mêlée à celle de ceux qui crurent que la conscience pouvait prendre du recul sans se fourvoyer.

 

Avoir cru que le touriste ou le travailleur de « là bas » étaient de passage,  est la faute française se superposant à  l’humiliation de ses Juifs dont elle a voulu vérifier par deux fois sous Napoléon que la pratique religieuse était compatible avec la République. L’idée d’investiguer l’idéal évangélique lui aurait aussi permis de comprendre pourquoi l’alliance du sabre et du goupillon reste l’ennemi de la république. 

 

 Enfin les tenants  du  colonialisme Français qui ne voulut pas admettre que la conquête de l’Algérie, province turque, n’entraînant pas une réaction appropriée de la Sublîme Porte,  obligeait à  une vérification de la compatibilité de cette République laïque et de cet Orient  dont elle ne voulut rien connaître, pensant qu’il lui suffisait d’être pour terrasser .

 

Aujourd’hui, elle découvre que,  non seulement être est insignifiant,  mais   qu’il faudra combattre pour réapprendre la France, dont on n’hérite jamais sauf  réactualisation !

 

 

 

 

 

 Sans préavis, délai de convenance,  voire de prévenance,  j’ai été  « frappé »  par une pathologie neurologique redoutable, que l’expérience, sinon une donnée atavique,  m’obligent à me demander aujourd’hui,   vingt ans après l’avoir appris, et vingt ans après des « face à face » quotidiens, pénibles, certes,  où, en quelques secondes  la douleur atteint des niveaux tels que la nature,  dépourvue d’autres choix,  projette souvent la victime  dans le gouffre salutaire de la perte de conscience. Une immobilité soudaine, contribue à flanquer  le visage statufié de cette immobilité asiatique qui reste, peut être l’indice qu’une douleur d’approche fulgurante, violente et tenace doit être circonscrite dans tous ses paramètres, spirituels inclus.

Si le débat est ouvert, et de multiples solutions proposées, la question  de l’implication des données existentielles dans la naissance du mal paraît seconde au regard du fondamental : La pathologie est d’abord « une maladie » La référence à l’identité féminine renverra à Eve, mais s « Le mal  dit,  mais quoi ? »

Voici quelques données environnantes qui alimentent un point de vue où les « adorateurs de souffrance » vécue et parfois recherchée,  avancent  dans les divagations du baron Von Masoch. Mon objet s’éloigne. Les causes échappent à mes aptitudes. Les conséquences, par contre, interpellent le malade. C’est d’elles dont je crois, sans prétention, devoir et pouvoir vous parler. Elles, dont la fréquentation depuis vingt ans les réduisant à d’inévitables promiscuités n’ont pas empêché, pour autant, d’y trouver, souvent  une pitoyable consolation, et, parfois une explication à d’heureux effets ressentis mais exprimés avec pudeur et retenue.    Car, s’il est nécessaire de rendre lisible l’impression, pour convaincre, il n’est requis que de se regarder pour en saisir la portée pour soi-même.

Certains « Parkinson », dont moi,  passent d’un état satisfaisant de quelques heures, (où la maladie est tellement loin qu’on peut en oublier les prises obligées de médicaments,) à un état d’apathie qu’imposent  la présence régnante de l’immobilisme et l’intrusion dévastatrice de douleurs intenses que rien ne calme.

Soyez attentifs à ce qui suit :

Dans ce moment où, devenus jouets de forces qui nous dépassent,  nous sommes exposés au risque  des conclusions hâtives imposées par la certitude que le « coup » est inhumain parce que le « coût » dépasse notre capacité à  opposer une résistance appropriée surgissent parfois des voies lumineuses qu’il ne faut pas négliger.

En effet,  de cette « torture » inacceptable, il arrive parfois que le mal régnant désigne comme allié missionné à l’estocade finale, une dystonie, qui si, elle est générale vous laissera la certitude que, n’ayant pas reçu les moyens de lutter, vous n’êtes pas, pour autant, exonéré de l’obligation de juger. Et, à Parkinson se superposera alors  cette maladie de l’âme, la dépression !

Ceux  qui n’ont jamais mal,   de cette nature s’entend, ressemblent à ceux dont les douleurs ne lâchent jamais prise. La continuité les empêche se savoir, de comprendre les effets de la discontinuité, complément fréquent de certaines affections, dont Parkinson  Cette crise qui, pour ma part, me jette (vraiment) sur le sol, recouvre les élans vitaux avec une telle opacité qu’elle y cache mal le sentiment de mort prochaine qu’elle suscite. L’entourage du malade ne veut distinguer que la fin de la crise et la cessation de l’atroce, ignorant le basculement, la véritable révolution que reste la brutalité du passage de l’atroce douleur à son total éloignement.

Mais,   les bastions de l’arrière-pays, (les jambes)  signalent une tension moindre. La crise perd sa pugnacité.  C’est le signe que « le mal a dit » ce qu’il avait à dire. Il va libérer le champ du conflit, abandonner le terrain, parce que, l’objet de son intention est le règne du mal dans la continuité. Et si vous lui opposez la sérénité d’après la crise comme compensation, si vous avez encore ce bonheur de voir le bien triompher après l’atroce douleur, vous avez alors sur la maladie ce pouvoir suprême de la savoir limitée, et cette connaissance,   d’un  sachant qui a reçu ce cadeau royal de savoir que « mal a dit » restant importun n’empêche pas « le grand bonheur »de rencontrer ce goût de vie, ingérence de guérison.

La seule prière qui vaille, c’est la supplique de l’homme réclamant la solitude comme condition de sa réussite. Si le nom est porteur d’un projet, le projet Juif, c’est de vaincre D (sens d’Israël) Le pouvoir de la liberté est inexistant face à celui de la solitude ! Parce que combattre en ne comptant que sur soi  empêche la compassion.

Dans les vrais combats, les combats à enjeux, l’homme est toujours seul et s’il est accompagné c’est d’abord par lui-même. D.. ne place la couronne que sur des hommes estimés  rois dans l’appréciation du peuple ! 

 

 

 

 

 

 

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Il vaut mieux être seul que mal accompagné! Si l’orgueil avec son cortège de tromperies devient référence, alors oui, la solitude n’est plus « l’élégance des rois » Et, s’il est vrai qu’elle  est l’accompagnement des grandes destinées, nous sommes plutôt invités à nous prémunir contre cette attitude  volontaire qui, de rupture avec l’histoire et divorces entre acteurs, nous expose à de sévères déconvenues.

La tentative schismatique aujourd’hui est de faire aboutir la conscience de l’Ivri, la liberté d’option de l’Ivri en comportement « religieux! La grandeur de l’homme c’est de s’abstenir d’exercer une responsabilité conférée par son statut de partenaire, d’associé. Lors de la remise de la Loi, les Juifs restèrent « debout ». La signification de l’attitude confirme un partenariat. Aussi, faut-il employer « accompagnement » avec prudence. Il y a une »solitude » de l’homme qui fonde sa grandeur, sa seule grandeur: Personne n’avait exigé d’Abraham qu’il détruisît les idoles de son père. Il fut seul à prendre la décision car s’il ne savait pas par où passait la vérité, il devinait par où elle ne passait pas.

Et, c’est cette solitude qui lui fit mériter d’être « accompagné. » « La Providence disait Einstein, c’est lorsque le Maître se ballade sur terre incognito! Il n’est pas dans le destin d’Israël de recevoir des « grâces »mais de « mériter » On accompagne l’infirme, l’enfant, pas le Juif!L’Election d’Israël se fonde sur sa volonté d’impliquer la moralité comme assise de l’histoire. Jacob devint Israël par la démonstration qu’il le méritait, par l’attestation qu’en le « choisissant » le Maître des mondes « prenait acte » du refus du monde de considérer que la Loi est pour l’homme parce que Abraham avait dans la « SOLITUDE » montré le chemin. Lorsque Ben Gourion (Zal) a engagé la Hagana dans une lutte où la disproportion était telle que l’échec était prévisible, il ne savait pas que « l’accompagnement » deviendrait intrusion de l’ineffable dans le destin du monde!

« L’homme peut être avec D, contre D, mais jamais sans » E Wiesel.  Les eaux de la Mer Rouge ne se sont écartées que lorsque l’homme y a plongé d’abord le pied, sans certitude que là aussi l’accompagnement démontrerait l’assistance! Quant au roi « qui ne devient roi que si D l’a voulu, » tu as certes raison, à condition de ne pas oublier que la royauté a, « D’ABORD »a été la volonté du Peuple! Souligner la nécessaire solitude, c’est confirmer que le Juif ne réclame pas le miracle parce qu’il sait qu’il détient les moyens de le réaliser, par lui même et pour lui même. Aujourd’hui on espère le Messie pour obtenir la délivrance! J’ai appris qu’il était préférable de fonder sa venue sur le  constat qu’Israël avait honoré sa promesse de faire « réussir » l’histoire.

Pour cela, il faut payer le prix! Israël a été grand, quand Israël fut seul!

Savoir que « le Bouclier d’Israël » veille aux destinées ultimes n’oblige pas, pour autant, à solliciter une assistance, dont la permanence attesterait de fatales incuries! Ben Gourion (Zal) a proclamé la naissance d’Israël avec un jour de décalage, en raison du Chabbat, signe tangible que cet Etat Hébraïque renaissant ne serait jamais « seul » dans le sens où maladroitement je l’aurais laissé entendre. Pour conclure, je  répéterai ce que ma petite fille Noa, fille de Rivka me répondit, quand, prenant en considération son désintérêt apparent pour la Tradition, je lui demandai:  » Sans Thora,   sur quoi asseoir les motifs de l’Alya? Elle me répondit: » Parce que Eretz Israël, c’est la terre des Juifs! » Qui pourrait mieux dire?

Il y a là TOUT: l’histoire et ce sur quoi elle se fonde. Avoir compris que l’identité se construit d’abord par et sur la terre est de la même texture que soutenir que la solitude est constitutive de la vocation hébraïque. c’est croire que la réalisation des promesses interpelle la détermination. Dans ces conditions l’assistance proscrite dénaturerait l’idéal mosaïque, ravalé à la promiscuité d’une association ..caritative. 

Votre réflexion intitulée « Merci le monde » dans laquelle il ne me semble pas que citer Israël une seule fois n’ait suscité chez vous d’impératif éthique, voire d’injonction   réactive  à une conjoncture qui de la nuance, passe à la critique avant d’aboutir au systématique.

Nous n’étions pas nombreux à vous défendre lorsque vous souteniez qu’il n’y avait pas d’antisémitisme en France. Pour ma part, j’ai fait crédit à Jacques Attali, auteur du dictionnaire amoureux du Judaïsme. Vous alliez parler, dire, je n’en  doutais pas. J’entendais presque qu’ « on grandit de ses erreurs, jamais de ses victoires » J’ai donc fait crédit à un homme qui, accordant au souvenir de son père « la fidélité » qu’on maintient pour les affections exclusives, ne pouvait pas, rester silencieux. A ma grande déception, vous avez pu ne rien dire !

Comment pouvez-vous évoquer une fidélité pour un père qui se dispenserait de la loyauté envers le peuple dont ce père et son fils sont issus ? Comment avez-vous pu oublier qu’Israël s’est incliné devant la France frontalement narguée ? Comment avez-vous pu, vous qui savez,  ne pas prendre en compte qu’observant le Chabbat, j’ai estimé, qu’honorer le septième jour, c’était précisément, comprendre, et admettre que si nos amis de Métropole avaient besoin d’être persuadés que la Tradition des Juifs accorde priorité absolue à la vie,  quelle que soit l’origine, la philosophie, les convictions de celles et ceux qui venaient de rencontrer la barbarie.

Se rapprocher du pays en larmes Shabat , quand bien même écrire est interdit, parce que témoigner de la création,  c’est d’abord s’abstenir  de créer, ne serait-ce qu’une lettre de l’alphabet.  Il  devenait devoir de conscience, attestation de cet universalisme dont votre père n’a pas du manquer de vous en faire partager  les subtilités, que de témoigner, précisément en ces circonstances

Et bien non, vous n’avez pas estimé devoir saluer le geste. Comme vous avez jugé superfétatoire de faire état de l’exemplarité de la police Israélienne,  selon le patron du raid,  affirmant qu’elle lui fut précieuse.

Vous rappelez vous vos propos sur l’antisémitisme qui vous « placerait en première ligne de défense » si vous aviez les éléments pour confirmer son retour ?

Il y a quelque temps, je vous avais adressé requête, lors de « la Conférence des Présidents » tenue à Jérusalem, et à laquelle vous  preniez part,  me semble-t-il, en insistant pour que vous y disiez les mots que « votre père aurait aimés vous entendre dire ! » Vous m’avez répondu, « Mon père est toujours avec moi. » Croyez-vous que votre père vous maintiendra « sa fidélité » et qu’il, « restera à vos côtés, » si vous ignoriez par le silence et le mépris,  ce qu’il en a coûté à un Juif d’écrire Shabat, ce que je ne peux imaginer.  Faire renaître une amitié, c’est donner vie ! Qu’Israël soit d’abord vu « en vérité » n’est-ce pas réalité salvatrice ? Et, enfin, « oublier la stupeur de la Nation Juive »  qui sachant distinguer  dans le carnage du Bataclan  la volonté islamique d’imposer exil et bannissement aux principes républicains, ne peut  vous dispenser du devoir de rectifier.   Au nom de cet attachement  à un père omniprésent. Et, en raison d’un doute  hypothéquant votre parcours d’un risque  rédhibitoire : lasser  les opportunités et la richesse de virtualités  pour les emplois fussent-ils gratifiants !

 

 

 

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Être élu, oui ! Parce que « choisir, c’est sacrifier ! Être reçu, non !

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 L’élection est la noblesse de l’homme, parce qu’on est élu sur ce qu’on  fait ! La réception de l’homme, non ! Elle pue la haine du Juif en première lecture Parce que pour être reçu, on  commence par frapper à la porte ! Le mendiant aussi !

« Le salut vient des Juifs » est un poison aussi meurtrier que la Shoah, il habitue les Juifs à la superstition. Il les persuade que leur seule présence est un bienfait.

 Quant aux non-Juifs à la certitude idolâtre « qu’il y a des « états » qui dispenseraient du « faire. »

Lorsqu’il s’aperçut de la puissance  que recevait de la paresse contemplative, l’homme capable de voir, permit au  monachisme de naître  en Occident ! Les prêtres du D de la vie s’abstinrent de la transmettre, Jérusalem devenait en priorité celle d’en haut, d’où  désintérêt pour la cité de David

 

En effet, le « Salut vient des Juifs, » outre la vanité exaltée chez ceux qui ne savent pas, nous permet de tenir par le col, le piège qui, en chaque temps, tue Israël.

Le salut tel qu’il est présenté est débarrassé d’erzats quand Hassan II le formule, tel qu’il doit l’être :

        ROI « Mon père, que son nom soit béni m’a fait jurer que je protègerai nos sujets juifs. Car si les juifs fuient, TOUT PART AVEC EUX ! Et le « salut vient des juifs » façon marocaine de faire perdurer une erreur de poids stigmatisant et auréolant le seul pouvoir des Juifs, « la capacité à donner la route »  Décodé, le « salut vient des Juifs » c’est le suicide théologique. Si le Juif donne « la bonne route » c’est qu’il s’y trouve déjà !!! et que, sur les autres … des travaux de réfection empêchent le choix qui devient nécessité.

 

 

Lorsque le général de Gaulle tenta d’atteindre la « spécifique texture de la condition juive » il ne put empêcher des termes à connotation mixte (référence aux conditions bibliques de l’Election, (Elite, Dominateur) ou limitées à une   acception laïque de se bousculer pour avoir préséance !

 

Par ailleurs, une « certaine vision » chrétienne de l’Histoire s’accommode de cette caricature du Juif devenu objet de dérision pour avoir souscrit au piège de la Chrétienté. .

« Le salut vient des Juifs » Non ! Le salut vient des Juifs qui se reconnaissent dans l’héritage de leurs pères. Pas de ceux qui pensent  que Freud a fait naître la psychanalyse , mais chez ceux qui affirment le contraire ! La vanité devenue support d’authenticité comme le vêtement provoquera la séduction érotique. Ce  jeu fatal où l’insistance à paraître confère au masque l’authentique. Pourim c’est chaque jour, grande est la fête, cruel sera le réveil

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Présentant les « options possibles » Dieu demanda aux Juifs de choisir la vie. Ce choix est la clef de voûte de la vocation d’Israël

 

La question se pose-t-elle vraiment ou l’articulant on s’aperçoit qu’elle est issue d’un temps et d’une conception qui la rendent dépassée, déphasée ou haineuse. Quand le Juif soutient que le peuple Juif est ELU et lui-même ne participe pas à l’édification de cette société reste l’aveu du maintien  d’un « privilège Juif » reliquat d’un temps révolu qui, ne reposant pas sur la responsabilité et les risques mis en jeu pour le seul triomphe du beau, du juste et du vrai reste un « avantage de naissance » de nature magique et étranger à ce qu’ISRAÊL EST EN TRAIN D’EDIFIER ! Le Peuple Juif doit initier une « nuit du 4 Août et proclamer non la disqualification de la vanité puisque celle-ci n’a jamais été un « mot d’ordre historique ! »

 

Voici démontré que le compliment est piège. Quand l’Eglise reconnaîtra que se dispensant de la mitsva des téphilines elle confirmait sa rupture d’avec la Synagogue

PARCE QUE,

RIEN EN SOI N’APPORTE LE BIEN

RIEN EN SOI N’APPORTE LE JUSTE

MËME LA THORA N’A CE POUVOIR

QU’AVEC L’AIDE DE L’HOMME !

 

 

 

 

 

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