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Après avoir mesuré que la politique pro-arabe de la France ne la mettait pas à l’abri d’être assimilée à un « ennemi à abattre », force est d’admettre que des « circonstances exceptionnelles et stratégiquement primordiales » désignent simultanément  Paris et  Jérusalem comme alliés. Les  » massacres de Paris » et les assassinats perpétrés par poignards ou ceintures d’explosifs à Jérusalem, Tel Aviv ou engins de morts s’envolant de Gaza ont les mêmes auteurs: l’armée djihadiste!

 

L’alliance que les Ministres d’Israël et le Quai d’Orsay n’ont pu réaliser, la Destinée l’a établie! Quand le Président Hollande déclare au Congrès « La France est en guerre », le premier Ministre d’Israël donne la réplique, inimaginable mais prévisible, il y a quelques mois, « Qui frappe un des « nôtres » atteint Israël! »Se rend-on bien compte, a t-on bien entendu? Celui qui est en charge de l’histoire d’israël, désigne « nôtre » la France!

 

Se rend-on bien compte, parce qu’il y aurait mauvaise volonté, sinon davantage à ne pas reconnaître, que la Destinée des hommes et des nations, peut, en quelques « tours » modifier radicalement le cours des évènements, qui, sans son concours menait vers l’impasse?

 

La France de plus, reçoit  dans ce conflit une terrible leçon: elle découvre le peu de fiabilité de l’allié Arabe à qui elle a donné sans compter, à qui elle a sacrifié « Israël, notre ami, notre allié »et qui, pour réponse lui envoie ses soldats de la mort répandre la terreur dans les rues de sa capitale.

 

Cette alliance, pas morte pour autant, va connaître un sérieux revers qui permettra à Israël de convaincre Paris que le malheur ne lui a pas ôté la chance que représente l’amitié d’Israël, dont la compétence en matière de guerre urbaine anti terroriste n’est plus à démontrer.

 

Einstein, désignant la Providence disait que c’était la manière qu’utilisait le Maître des Mondes quand, descendant parmi les hommes, il se promenait « incognito ». Lutter contre le destin est l’honneur de l’homme, savoir reconnaître  la destinée dans les soubresauts imposés à l’homme, c’est pouvoir dire que tant d’insultes et de mépris pour François Hollande n’empêcherait pas que lui soit accordé de suspendre « le pacte de stabilité » pour faire réussir le « pacte de sécurité. » Il faut des yeux Juifs pour voir dans la façon de marcher du président, sous les tambours du congrès, quelque chose  de César montant les marches du Capitole. Oui, j’évoque le Président que ses détracteurs rivalisant de haine recherchaient plus le mot porteur d’humiliation que l’encouragement que cet homme attendait. La France est de retour! Israël aussi!

 

 

 

Le terroriste  est un ennemi de l’intérieur qu’on ne parvient à identifier que par une investigation novatrice,  car s’il est possible de distinguer et reconnaître un Jordanien d’un Norvégien,  en acceptant, toutefois,  une marge d’inexactitude,  il devient périlleux, à maints égard de distinguer un membre de l’armée djihadiste.  (Au plus haut niveau de l’Etat, c’est par cette spécificité que se définissent les auteurs, les complices et les commanditaires  de « l’acte de guerre » qui a ensanglanté Paris, il y a quelques jours.

 

Cet ennemi imposera des efforts considérables aux forces de l’ordre qui devront  «  à vue » déterminer le risque potentiel que représente  tel individu et mesurer les dangers encourus par une interpellation dont le  retard  d’exécution serait dramatique s’il s’avérait qu’un kamikaze préparait son mode opératoire !

 

Le danger d’initiatives hâtives voire arbitraires ne vous a pas échappé. Les soldats Français n’ont pas l’expérience des guerres urbaines et  le risque de disproportion n’est pas à écarter ! D’autre part, le risque terroriste n’étant pas imputable à toute une population  mais relevant d’une fraction de celle-ci, le grief ségrégationniste ne manquera pas d’être invoqué et abusivement dénoncé.

 

Radicalement différents sont les usages de la guérilla, dont les critères souvent objectifs  permettent  l’identification par le vêtement et les pratiques combattantes s’opérant par groupes, on ne quitte pas le cadre militaire. Avec le terrorisme, on implique les civils.   Les accrochages armés se déroulent le plus souvent dans les agglomérations urbaines…

 

 

Les théâtres d’affrontement prennent souvent les habitants en otages.  Il est prévisible d’imaginer que les enfants utilisés en « boucliers »  à Gaza, le seront aussi dans cette confrontation nouvelle. Que feront les soldats de la République ?  Il  est aussi prévisible qu’on comprenne mieux Israël !

 

22La représentation du Rav Simsovic est un hommage qui lui est dû, en raison de ce qu’il m’a « donné ». Elle ne signifie pas qu’il approuve ou désapprouve. S’il le juge nécessaire il le dira!   le Rav Eliakim SIMSOVIC, PARDONNERA CETTE FAMILIARITÉ; iL SAIT AIDER, IL SAIT EDIFIER, mais il ignore se placer, montrez lui sa place: Au premier rang! C’est un grand, fils et petit fils de grand. Il demeure héritier « de l’illustre »Maître de l’Ecole d’Orsay!               Demandant l’avis du RAV sur cette présentation, il me fut rappelé le mot de talleyrand: « CE QUI EST EXCESSIF EST INSIGNIFIANT! » Montrez lui sa place, URGENCE!                    

 simsovicLa lettre de Chabbat ainsi appelée par les lecteurs et correspondants outrés de la liberté que j’ai prise se heurte à d’autres lecteurs me remerciant. On me demande des explications. Merci d’y prendre part !

 

 Shabbat, il n’est pas permis d’écrire, sauf à « sauver une vie ! » Consoler, rassurer, apaiser quand la barbarie frappe  la mort ,en prime, n’est-ce pas « SAUVER ? »

 

DESOLE POUR LA LONGUEUR ? ZAPPEZ MAIS FAÎTES MOI L’AMITIE D’UN AVIS !

 

Assimiler l’initiative de consolation écrite  chabbat à des non-Juifs, à une profanation me paraissant révéler un risque schismatique,  j’en conserverai l’appellation( à moi adressée, dans le présent texte,) dans l’espoir  que son caractère répétitif ne manquera pas de  faire naître la légitime outrance prévisible.

 

.En effet,  le jour où  l’obligation « religieuse » de témoigner que le monde n’est pas à nous, nous nous dispensons d’user des forces créatrices, en nous dispensant d’écrire et donner  forme à quoi que ce soit contraint aux inévitables explications. Créer par l’écriture, c’est donc user du droit divin dont « écrire » fait partie.

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 Sachant de plus,  que le « bénéfice du profanateur »(moi-même, en l’occurrence) visant précisément et exclusivement à « profiter » d’une tragique circonstance pour  que  cette « profanation »   lui permettre d’attester que la « fraternité » est une des bases de sa foi et reste une des assises du sens des interdits chabatiques . Cette inobservance exceptionnelle de la « lettre » fait rayonner l’esprit judaïque en pulvérisant la tendance pathogène de toutes les spiritualités, sous réserve que le  « profanateur »ait un minimum de connaissances l’autorisant à « faire » En effet,  résistant mal à la sécurité que prodigue une  rigueur aveugle, les « pratiquants de stricte observance » seront séduits par l’application stricte ayant perdu de vue que « la loi est pour l’homme et non l’inverse. »

 

 L’option morale permettant de  Pouvoir et Savoir s’incliner devant la souffrance universelle est certes maintenue, quand bien même Chabbat) à condition d’en exonérer de l’observance de toute participation qui serait estimée profanatrice. Le principe permettant la dispense d’observer ne s’appliquant qu’en cas de danger de mort. J’ose soutenir que quiconque voit un être cher déchiqueté gisant à même le sol doit être rappelé à l’impératif de vie. Car aimer c’est partager ! L’on ne sait jamais la nature de l’emprise qui s’emparera  du survivant devant le spectacle d’une telle horreur. Je soutiens que le rescapé est sous menace de mort, le terme pris dans son sens globalisateur.

 RAV GOREN

Et si le « rappel à l’impératif de vie » est opéré par un Juif observant, celui-ci rejoindra le sens ultime de la Loi, en accomplissant publiquement tout ce qui est nécessaire à cette mitsva. Son geste apparemment profanateur donnera bien plus son sens  à l’attestation que le monde est créé que la priorité consentie à l’interdit de l’écriture qui, en l’occurrence est plutôt confondu avec une priorité de mauvais aloi. Ecrire qu’en « ce jour, les Juifs ont mal » c’est détruire  les clichés  antisémites de l’élitisme judaïque. C’est surtout hurler à la terre entière que la Thora que confirme « l’écrit du profanateur »  ne connaît pas, et ne reconnaît pas une validité à la souffrance.

 

 Et que si cela devait ne pas être vrai, ce n’est pas l’affaire de l’homme. La sienne c’est de le dire, et de l’écrire, sous réserve, bien entendu que son auteur soit suffisamment informé pour ne pas entraîner vers une impasse ce qui le dépasse.

Réduire une démarche exceptionnelle et personnelle à l’établissement d’une conduite qui  inviterait à être suivie serait dangereux et irresponsable  

 

Comprendre et juger imposent la maîtrise de certains paramètres. D’abord, le rôle et la place que la parole occupe dans la relation établie avec le monde non juif. Me concernant cette place est omniprésente. Il y a des mots consolateurs qui sont des renforcements de vie. La parole et son impact  dans ma vie  sont des données explicatives et justificatives. Or, samedi matin, j’ai eu le sentiment d’une certitude : je devais dire que j’avais mal. Non pour moi mais pour ceux qui me conservant quelque affection apprécieraient cette volonté de partage.

BONHEUR

Le cliché qui montre que les « Juifs sont fiers, élitistes, sûrs d’une supériorité, voire porteurs d’une aristocratie méprisante renforcée par la conviction d’appartenir au Peuple Elu a participé sans aucun doute à ma décision.

 

« Je voulais donc dire dans le malheur qui a anéanti des vies que vous chérissiez  que nous sommes les témoins vivants que la vie est plus forte que la mort. Que, je ne m’éloigne pas de la loi qui affirme, qu’en tout état de cause, la vie est prioritaire. Parce que  je sais que la mort des proches culpabilise parfois, inquiète souvent et que les supplices de certitude qui vous confirment que la vie n’a pas de sens si l’innocent doit payer peuvent se télescoper avec mes propres paroles qui alimentées par une tradition différente de la vôtre, peuvent éveiller votre réflexion, d’abord sur ma sincérité et ensuite diluer l’intensité de votre souffrance ! Comment ?

 

Voir mourir les siens est porteur d’une indicible tourmente et savoir que quelqu’un qu’on estime ou qu’on ne connaît pas « suspend » les obligations de sa foi à la volonté d’alléger les supplices,  qu’il veut prendre sa part du malheur qui     nous atteint et  signe le témoignage d’amitié, voire de fraternité, le plus authentique qui soit !

 

Ensuite, commander au sacré de s’éloigner afin  d’échanger avec celles et ceux  qui ont vu l’ange de la mort frapper sans pitié les plus chers des leurs c’est nous  reconnaître à nous,   « profanateurs* » du Chabbat  la capacité , non seulementde dire mais de pratiquer le juste, sans qu’aucun interdit ne vienne s’y opposer !

 

Faites-moi l’amitié de me donner votre avis !

 

 

 

 

 

 

Dans une de ses dernières éditions, La Croix.fr rappelle les objectifs du gouvernement directement inspirés par l’Etat d’Urgence et confirmés par le Premier Ministre le 14 courant sur TF1.

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  1. Soulignant que « « NOUS SOMMES EN GUERRE ! » Manuel Valls confirme que Le Président de la République demandera au Parlement réuni en Congrès, (procédure exceptionnelle) le 16 Novembre, « l’extension de ses moyens d’action. » (article 16, Etat de siège ?)

 

  1. EXPULSIONS DES IMAMS RADICALISES.

 DÉCHÉANCE DE LA NATIONALITE POUR CEUX QUI « BAFOUENT L’ÂME DE LA FRANCE ! »

 

« La même volonté de détruire » est-elle l’annonce de « ripostes en proportion » » ?  Après le récent carnage et   l’intention proclamée « d’anéantir la France » le tout revendiqué par le même islamisme radical, une « même volonté de détruire » pour 123 morts civils transformés en « objectifs militaires » se traduit par quel résultat ?

 

La même « volonté de détruire » mise en place par la France, signifierait-elle une convergence de vue avec Israël sur la légitime défense ? Si la France applique ses intentions, Israël n’y manquera pas d’y faire référence !

 

IL EST CEPENDANT IMPRESSIONNANT DE PRENDRE ACTE DES MESURES QU’UTILISE LE DESTIN POUR OUVRIR LES YEUX DES  NATIONS; RAPPELEZ VOUS L’INTERPELLATION DE PHARAON PAR MOÏSE. APRES LA DIPLOMATIE, LES PREMIERS NÉS!

 

 

Mon Cher Arnold ,
Nous avons perdu le contact depuis cinq ou six ans et il te paraîtra singulier que je t’écrive pour te demander de publier cette lettre. En effet, la scène à laquelle j’ai assisté dans une rue très fréquentée de Tel Aviv, que je relate ici,  ne peut,   rester sous silence. Elle montre aux goyim dont je suis,   que les Juifs sont inclassables, ne serait-ce que par  la relation à leur terre qui s’inscrit dans un processus humaniste qui échappe à la notion de Patrie pour retrouver une dimension universelle.

 

 

C’est à la terrasse  d’un café à Tel Aviv que j’appris qu’on pouvait être « fier d’être Juif. »
Un groupe d’Israéliens, nouveaux immigrants probablement, était assis à la terrasse d’un café et se livraient à un tir de barrage sur la société israélienne. Amertume ? Déception ? Rien ni aucun domaine n’échappait à la critique : les enfants trop libres, les enseignants laxistes, le rôle  prépondérant de la TV, l’hôtellerie médiocre, etc… etc…

 

Chacun y allait de son commentaire acerbe. Le goy que tu connais se tenait prêt à intervenir…lorsque je m’aperçus que la scène se déroulait sous le regard attentif d’un vieux monsieur qui n’en perdait pas une. J’étais venu pour faire une halte entre deux achats. Mais,  prévoyant l’affrontement, je décidai d’attendre.

 

Je n’attendis pas très longtemps. Le vieux Monsieur se leva, ajusta ses lunettes, respira à trois reprises en prenant à chaque fois le maximum d’oxygène, comme pour se préparer à l’affrontement. Et ce fut un combat et quel combat ! David et Goliath ? Plutôt un conte fée démythifié où la méchante soutient en permanence qu’on ne l’aime pas.

 

Il alla vers la table où étaient assis ces jeunes procureurs et lança d’une voix ferme et résolue :

 

«  Mon pays, votre pays n’a que 60 ans. Et pourtant il a dévoré jusqu’à notre âme et brûlé nos réserves » Il haletait, l’air semblait lui manquer. Une jeune femme lui tendit une chaise. Il fit « non » de la tête comme si ce qu’il avait à dire exigeait d’être debout. « Regardez votre pays avec des yeux Juifs, avec des yeux qui savent le prix qu’on a payé pour en arriver  là. 

 

 

 Voyez nos villes, regardez les efforts pour en faire des cités modernes. Vous, vous voyez le laxisme des enseignants. Mon père aurait été heureux de m’envoyer dans une école et puis…il se tut, devint très pâle et parla plus lentement et moins fort. Ses yeux s’emplirent de larmes. Il y a des êtres que la nature a dotés d’étranges pouvoirs. Il suffit qu’il parle pour que personne n’ose donner la réplique.

 

 

« Ah quoi bon. Si vous ne voyez que ce qui est à faire et pas ce qui a été fait.   Et pourtant, j’ai la certitude que nous sommes allés au bout de ce que l’homme peut faire. Pour cette terre, on n’a pas toujours mangé à notre faim. Chaque jour un camarade tombait. J’ai perdu deux  fils dans deux guerres. Mais j’étais à Tel Aviv le jour de l’Indépendance. Mes yeux ont vu le crématoire à Buchenvald, mais ils ont vu aussi le vieux lion monter les marches du musée de Tel Aviv pour y lire la Déclaration d’Indépendance ; c’est un moment fort dans la vie d’un Juif !

 

 

Et puis tout ce qui est sorti et sort encore. Nos médecins inventent des techniques révolutionnaires,  des remèdes qu’on vient nous acheter de très loin. Peut-être n’avons-nous aucun mérite et nous sommes seulement bénis parce que,  élus,  comme disent les religieux. 

 

Non, ce n’est pas possible, je radote. Parce que nous avons payé ce pays au prix fort, bien plus cher qu’il ne vaut. C’était ça ou le retour en Europe ! Alors on a mis tout ce qu’on pouvait avoir de réserve à être heureux et on l’a investi, sur…. » Il hésitait : « vous !  On a construit pour ceux qui viendraient, rien pour nous. » L’émotion était insoutenable, la honte aussi !  « Monsieur » lança la fille qui avait tendu la chaise. On est là pour six mois, après on verra. » « Mais c’est tout vu, non ? Si on est juif, on ne fait pas de tourisme ici, on a des projets ou… des regrets. »

 

 

Deux garçons parmi les plus virulents baissèrent la tête. Brusquement avec un regard plein d’une fierté naïve, un des deux jeta à la figure du vieillard : « j’ai entendu souvent ‘’être fier d’être juif’ ’mais je ne sais pas ce que ça veut dire ! »  Le vieux semblait heureux qu’on lui tende la perche,

 

 

« Une fois, dans le désert, quand j’étais soldat, j’ai mangé des herbes, qu’un bédouin venait d’arracher. Il nous avait dit que c’était bon pour la soif.  Ce pays n’est viable que pour des fous de la vie. Être fier d’être Juif, c’est aimer la vie au point de manger des …herbes arrachées.  Rappelez-vous,  des herbes ! »

 

 

 

Et, brusquement, il obliqua vers la droite, après avoir pointé un doigt menaçant en notre direction mais empreint d’une ineffable douceur et avoir lancé dans une voix brisée : « On ne reçoit que ce qu’on donne. » Puis il disparut dans la foule. Un silence lourd succéda. Puis le groupe se dirigea vers le centre.  J’ai pu entendre seulement la fille à la chaise murmurer dans un rire coupé par les sanglots : « Quelle leçon, quelle leçon ! »

 

 

Mon cher Arnold, c’est parce que ce texte simple mais percutant comme tout ce qui est simple confirme que les Juifs sont un peuple à part, que je te remercie de tes efforts pour le publier en  souvenir de l’amitié nouée dans cette célèbre école qui donna tant de grands hommes à la France et au monde, mais dont je tais le nom car je ne pense pas en avoir le droit.

 

 

 

J’aimerais que tu signes. Je saurais si enfin, mon style m’est propre !

 

 

Une réaction défensive qui doit surprendre l’ennemi et troubler les faux amis.

Que n’a-t-on entendu sur le Chef de l’Etat ? De l’insulte au mépris,  cet homme a tout « encaissé » sans se fourvoyer ! Et que fait-il ? Il parle certes,  mais pour dire ce qu’il fait ! S’il continue ainsi, sera-t-il donneur de leçons ?

 

Voyons et rapprochons nous ! Que de stupidités dites à propos de la bombe ! Certains sont même allés jusqu’à  envisager Alzheimer ! Peut-on croire que le Président ne se rappelait plus ? Lui, dont le pays fut l’artisan de l’atomisation israélienne ? Un homme qui préfère passer pour ridicule plutôt que de trahir, en  proclamant  qu’Israël n’a pas la bombe, permettant ainsi d’éviter une enquête sur site ,n’est-il pas, vraiment l’ami d’Israël ? La France, membre du Conseil de sécurité doit être consultée avant d’enquêter. C’est fait !

 

130 morts à Paris ! »  « Acte de guerre ! » dira t-il et annoncera une défense  plutôt musclée : « Etat d’Urgence » proclamé pour l’ensemble du territoire ! Qui osera dire que François Hollande n’est pas à sa place ? Il a promis la guerre aux ennemis de la France ! Les préparatifs militaires sont en cours ! PRECISIONS SUR L’ETAT D’URGENCE:  L’objectif est l’ordre public, les libertés sont suspendues même les libertés fondamentales.

Les expulsions du territoire national deviennent possibles. Il n’y a pas de doute,  le Président Français par sa décision courageuse montre le chemin !

 

A la prochaine attaque prévisible, il usera probablement de l’article 16, et tiendra en mains tous les leviers  de commande  que lui accorde déjà pratiquement l’Etat d’urgence !

 

Il y a quelques semaines je publiai une réflexion : « Ne prenez pas si vite le deuil de la France ! »  A  RELIRE !

 

Droite, gauche, centre, un seul objectif : Union autour du Chef suprême des armées ! Am israël Hay- Dieu protège la France

 

 

 

 

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