Lors de l’entretien accordé à une radio juive de Paris, ainsi que dans son éditoria du 11/1/2012, le Grand Rabbin de France, après avoir condamné les récents incidents israéliens à propos du statut de la femme, a estimé opportun de rappeler l’urgence du combat permanent pour la dignité de la femme. Il a donné plusieurs exemples dont la séparation pratiquée dans les synagogues, où les femmes se tiennent dans des « poulaillers » ainsi que les difficultés administratives liées aux divorces.
En soulignant la nécessité d’un combat permanent pour la dignité des femmes, le Grand Rabbin de France confirme que cette question est toujours posée ! Tout en reconnaissant et approuvant que la femme ne bénéficie pas de tous les droits accordés à l’homme, le Grand Rabbin admet que l’enseignement doit prendre en considération le respect de la dignité de la femme.
Il n’est pas de bon aloi aujourd’hui d’appuyer sur l’inégalité hommes/femmes sans expliquer l’articulation des cohérences qui s’y attachent.
Il eût été salutaire de rappeler une base de l’enseignement traditionnel à ce sujet. « La femme n’a pas vocation à être l’égale de l’homme mais à être différente. Et c’est, précisément dans cette différence que sera reconnue son éminente dignité ! » Décider, pour l’homme, ne confirme pas sa supériorité mais sa responsabilité.
Les propos du Grand Rabbin de France semblaient plutôt destinés aux non Juifs car tout Juif sait la place qu’occupe sa mère dans sa vie ou son souvenir et cette place est si essentielle qu’elle a donné naissance au… syndrome de la mère juive. Evoquer les notions d’égalité homme/femme, c’est entrer dans une conception étrangère au Judaïsme où la lutte pour l’égalité deviendra vite une concurrence, une rivalité.
Nous avons appris de Manitou (zal) que si la femme est « dispensée » » ce certaines droits ou obligations, loin de vouloir dire qu’elle n’aurait pas la capacité à les exercer, cela signifie que le bénéfice de l’application de ces dispositions spécifiques concerne un domaine déjà acquis par elle !
Le grand Rabbin de France a condamné les récents « incidents »???
PARCE qu’il appelle cela des incidents? ces actes pourris, organisés par des tribus venues d’un autre age, de quel droit ces gens là qui ne reconnaissent pas l’état d’
suite…qui ne reconnaisent pas l’état DIsrael, mais qui vivent à ses crochets, se permettent de vouloir imposer leurs lois moyennageuses? des incidents??? mais je reve ou quoi?
ce sont des actes d’une rare violence, jusqu’à aller cracher sur les gens, et terroriser une petite fille, mais ils ont comme les islamofascites!!! je suis stupéfaite que le grand rabbin de France ait qualifié ça « d »incidents »!!! c’est une honte que des juifs se conduisent comme des sauvages.
j’ai honte…et pour le coup je me demande si je vais pas lui envoyer une lettre afin qu’il s’excuse de nous prendre nous les femmes pour des « incidents »!
LE HAIM ARNOLD!
Pardonnez moi. Je suis rentré cette nuit de Paris. Ma mère (98 ans) est dans un état critique. Ceci explique cela. Je n’appliquerai de censure que dans la certitude où le texte en question apporte préjudice à Israël. Même l’insulte à mon égard ne justifierait pas cette entrave aux libertés.
Une autre raison qui n’a rien à voir avec la première. J’oublie !!!!!! d’approuver le texte et il n’est, par conséquent, pas publié.
Lé haïm, Eliane
Je suis désolée Arnold, pour votre Maman, je lui souhaite un prompt rétablissement, toutes mes pensées chaleureuses vous accompagnent,
LE HAIM ARNOLD
Bonjour Arnold,
Juste une petite question..pourquoi le commentaire que j’ai laissé hier sur cet article, n’a-t-il pas été publié? Oubli? censure?
je sais que vous me répondrez avec toute la franchise qui vous caractérise, non pas que je tienne tant à ce que mes rares commentaires soient publiés, mais je m’interroge…peut-etre ai-je été politiquement inconvenante envers le grand rabbin de France?
tant pis,
Bonne journée
LE HAIM