Que vous ayez, ou non, une affectation de budget à la tsédaka, il y a priorité impérieuse à ce que TSAHAL reçoive une aide civile immédiate, avec une préséance prioritaire sur toute autre alternative.
Pensez aux jeunes soldats mobilisés dans le sud, nourris et entretenus par l’armée certes, mais à qui il manque un « petit quelque chose » qui rappellerait la « maison » : confiseries, sucreries, pâtisseries. Etc… Valeur marchande de votre geste, presque rien. Portée affective sur ces garçons : considérable ! Vous leur rappelez qu’ils comptent pour vous, plus qu’ils ne pensent et vous donnez un sens à leurs privations.
Un paquet de chewing gum enveloppé d’un papier où serait écrit : « On pense à vous, on vous embrasse, on vous aime ! » laissera couler quelques larmes de joie, d’émotion et de reconnaissance dont vous serez fiers.
Ces « gosses » ont notre vie en charge, voir celle des Juifs vivant à l’extérieur. Ils sont, de surcroît l’honneur d’Israël. Par des efforts exceptionnels, ils sont devenus une des premières armées au monde. Dans cette promotion, ils ont laissé beaucoup d’eux-mêmes. Leur rappeler qu’on les aime n’est pas une éventualité, mais une nécessité.
Si vous habitez l’Europe, contactez l’ambassade d’Israël dont vous relevez et si vous vous trouvez en Israël, joignez une organisation francophone. Ils vous indiqueront la meilleure filière. Exigez que sur votre reçu soit portée la mention pour TSAHAL.
Merci de montrer au-delà du geste que vous ne perdez pas de vue les priorités. Eux, s’en souviendront !
