« L’âme est malade, quand les Dix Commandements ne sont pas respectés. » Paul Bourget (1852-1935)
« S’il est démontré que l’observation amène à donner a posteriori les mêmes résultats que le Décalogue donnait à priori, c’est-à-dire, s’il est démontré que les règles de santé prescrites par le Décalogue sont les mêmes que les conditions de santé découvertes par l’observation, nous devons en conclure que ce Décalogue a dû être formulé par une influence autre que la simple intuition de l’esprit humain.
Car si génial fût-il,Moïse n’avait pas le moyen humain d’atteindre à cette vérité vraie de tous les temps, de tous les lieux. Ce raisonnement est, vous le savez de Mr Le Play. Je crois qu’il pourrait s’étendre à toute la vie sentimentale et morale et que l’on pourrait démontrer par l’observation que partout où le Décalogue est violé, l’âme est malade, qu’elle est saine ou soulagée quand elle adopte ou reprend ce canon de l’existence humaine.
Paul Bourget ; cité par Victor Giraud dans l’œuvre de Paul Bourget-Revue des deux mondes. 15 Janvier 1936 p 442.
COMMENTAIRE SUR VERACITE ET FONDEMENT DE L’ANTISEMITISME
A cette ènième lecture composée en hommage au génie d’Israël, je ne peux dissimuler un trouble conquérant. Si les illustres personnages cités dans cette rubrique ne sont pas des flatteurs et que, sans la Bible et ses prophètes, le monde n’aurait pas quitté les rives sombres et funestes de l’ignorance, cela signifie que, les continuateurs de l’idéal biblique ou prophétique ( en l’occurrence le gouvernement israélien a) ont trahi leur héritage, puisqu’à chaque initiative, ils sont invités à revoir leur copie…..
Soit, ce que je crois plutôt et qui se résumerait à cette évidence déjà observée : Les condamnations, blâmes et autres gags n’auraient de sens que s’il était rappelé à Israël de qui il est fils et ce que le monde lui doit. Il serait aussi rappelé la mission universelle d’Israël à qui l’on reproche ses manquements au droit, lui qui l’a offert au monde !
Les oiseaux de mauvais augure n’invitent pas Israël à honorer ses pères !!! Ils se contentent d’état des lieux limité à leur vision du présent, pour lequel ils oublient de citer ceux qui, chez eux reconnaissent la dette juive…ou condamnent « l’idéal palestinien » véritable supercherie du monde moderne!
Au tour de Paul Bourget d’essayer dans ce texte de démontrer que la non observation des préceptes du Décalogue sous-tend une pathologie de l’esprit ! Ou que le génie de Moïse ne peut, à lui seul expliquer la conception des « Dix Commandements. »
Tous les auteurs modestement cités dans cette petite rubrique. De Blaise Pascal à Montesquieu, de l’abbé Grégoire à Anatole France, De Jean Jacques Rousseau, Diderot, Zola etc… Sans oublier les non-Français qui, de Maxime Gorki à Nietzche, en oubliant encore des dizaines et des dizaines d’hommes et de femme célèbres, évoquent le génie d’Israël, comme la pierre angulaire de la civilisation.
Aussi, on peut se demander à ces édifiantes lectures, vu l’insistance de leurs auteurs à professer l’exclusivisme juif si, cette littérature élogieuse n’est pas de nature à susciter haine, jalousie et antisémitisme pour des oreilles habituées plus à la vaine flatterie qu’au mérite reconnu !
Mais alors, si toutes ces lignées de penseurs qui placèrent l’intelligence comme valeur de référence disent vrai, se peut-il que le « cérébral judaïque » se soit à ce point dégradé pour qu’à chaque initiative, le gouvernement israélien soit rappelé à l’ordre? Est-il envisageable que le peuple juif ait perdu la mémoire, au point de ne plus se rappeler que le « caractère juif de son Etat » compromet le progrès universel !!!!! (alors que le Juif ne peut aider les autres, que s’il reste lui même.)
Ou seraient-ce les Nations consumées par la jalousie et la haine mais aveuglées par la lucidité et se préparant mal à se soumettre à « l’évidence hébraïque », redevenue acteur incontournable avec lequel il faudra composer ou retourner à la Nuit ? (selon les dires référencés des auteurs cités)