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Monsieur le Directeur,

Ayant été personnellement cité par  la fourniture de motifs inexacts,  au cadre de mon départ de votre organisme, je vous prie, conformément à la loi et à l’usage,  de publier   « le droit de réponse » qui suit immédiatement ces lignes.

Je lis dans l’édition d’hier d’EUROPE ISRAEL, un extrait du texte que j’avais composé dans mon Blogen date du 8 courant pour expliquer les raisons pour lesquelles j’avais jugé opportun de prier EUROPE ISRAEL de ne plus me publier Texte qui se trouvant transformé en « communiqué important, » vous assimile en unique destinataire sur qui pèserait l’accusation de « piratage intellectuel » Ce qui inexact et relève du grossier mensonge.

Les raisons de mon départ ne s’expliquent ni ne se fondent sur une quelconque accusation ou suspicion de « piratage » dont j’accuse, par contre,  d’autres sites et que, curieusement EUROPE ISRAËL défend en reprenant l’accusation pour son propre compte…

La vérité  est ailleurs. Danièle Kaplan, collaboratrice d’EUROPE ISRAEL, m’informait par mail, il y a un mois environ)  que, selon un lecteur, une erreur de datation se trouvait dans mon article relatif à la ligue juive d’extrême droite antisioniste (International Jewish Anti Zionist Network)

Je rédigeais immédiatement un texte « Une erreur de date n’est pas un fourvoiement » où j’expliquais comment j’avais  été induit en erreur. La faute qui m’est imputable ayant été notifiée par Danièle Kaplan sans commentaire, après une soirée consacrée à rédiger des réponses aux commentaires de lecteurs : 55 réponses, j’estimais que EUROPE ISRAËL me retirait sa confiance et, priai, Danièle Kaplan de ne plus me publier. Si telle n’était pas l’ intention d’Europe Israël Danièle Kaplan eût rectifié. Son silence confortait ma certitude que je devenais « persona non grata. »

Ceci est toute la vérité sur cette affaire.

Ce qui, par contre, reste déplorable c’est qu’Europe Israël fasse cause commune avec d’autres sites, spécialisés dans la rapine et le pillage.

Recevez, mon bien cordial Chalom.

NB: Demandant à ne plus être publié, je ne souhaitais pas, en disparaissant de votre mémoire,  annuler des travaux dont  certains, conservés par vos  lecteurs auraient servi de références et de bases de recherche.

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