Questions aux Chrétiens, relevant de l’Eglise Catholique, ou de tout autre courant. Merci, s’il vous plaît, au début de votre réponse de préciser l’orientation chrétienne à laquelle vous vous référez, Catholique, Protestant, etc….
a) Pourquoi Jérusalem n’est-elle pas la capitale reconnue d’Israël ?
b) Pourquoi le Vatican évoque t-il toujours la Terre Sainte, rarement l’Etat d’Israël ?
c) Pourquoi le Concile Vatican II est il resté discret sur l’Etat d’Israël ?
d) Pourquoi l’aide au mouvement sioniste est-elle restée au même niveau que la réponse de Pie IX à Herzl : NON POSSUMUS ; (Nous ne pouvons pas.)
E) Pourquoi le Vatican a attendu 1993 pour reconnaître l’Etat Juif ?
f) Pourquoi des évêques intégristes et donc antisionistes ont-ils réintégré l’Eglise ?
QUESTIONS SUBSIDIAIRES
a) Pourquoi le pape a-t-il autorisé l’utilisation du missel de Pie V, ponctué d’allusions anti judaïques ?
b) Vatican II en proclamant que les Juifs sont les « frères aînés »confirme-t-il ou invalide-t-il l’attitude anti judaïque des pères de l’Eglise ?
c) Qui est le vérus Israël ?
d) Benoit XV (1854-1922) a soutenu « Les Juifs n’ont aucun droit de souveraineté sur la Terre Sainte ». Qu’est-ce à dire ?
e) En déclarant les Juifs innocents du crime de déicide, Vatican II invalide t-il les positions anti judaïques des précédents Conciles où les décisions d’un Concile sont-elles réputées fondées jusqu’au moment où un nouveau Concile les déclare inopportunes ?
f) Vatican II soutient que le Christianisme n’a plus vocation à convertir les Juifs. Comment est donc interprétée la fin du chapitre XXVIII de Mathieu ?
g) S’il n’y a plus obligation de convertir les Juifs que signifie l’expression de la liturgie du Vendredi Saint demandant que « les Juifs soient éclairés et qu’ils reconnaissent Jésus ?
H) Peut-on être Catholique et anti sioniste ?