Sur le plan économique et même social, Israël, dont l’enrichissement est un fait patent, doit cesser de maintenir un « état d’esprit » proche des années où l’assistance de l’étranger, des USA, notamment, garantissait la survie du pays. Avec une vitesse impressionnante, et une soixantaine d’années d’existence, l’Etat d’Israël a basculé dans le camp des grandes puissances.
Cette situation est, en grande partie, consécutive à une menace permanente d’anéantissement qui, suscitant une stimulation d’une exceptionnelle intensité lui a permis de dépasser ses attentes ou espérances. On l’aura compris, c’est dans le domaine de l’armement qu’Israël a tissé les liens d’une coopération qui amène de nombreux pays Européens, Africains et Asiatiques au premier rang desquels figure la Chine à maintenir fidélité et confiance aux armements made in Israël.
Il est inutile d’envisager de dresser une liste, car il n’y a, aucun domaine d’activité qui ne soit concerné. De la recherche technologique la plus pointue, suivie de découvertes scientifiques aux applications multiples, les résultats, les prouesses, surprennent les Israéliens, eux-mêmes, dont la mentalité est en train de passer de l’assistanat des premières années, aux devoirs de l’exemplarité que leur nouveau statut impose désormais.
D’abord, parce que le devoir d’assistance est un des premiers de la conscience juive. D’autre part, cette foudroyante performance ne se maintiendra que si Israël ne s’endort pas sur ses lauriers.
Or, les pays Africains, voire certains Etats Asiatiques, devenant de plus en plus insensibles aux considérations exclusivement politiques, telles que, pratiquées en Europe, sont attirés par l’exemple Israélien sans oser le dire, victimes encore d’une phraséologie utilisée jadis quand la politique se voulait asservir l’économie.
C’est, en direction de ces Etats que la diplomatie Israélienne d’abord, doit faire des efforts de présentation en démontrant les ravages de la manipulation.
Le reste suivra et s’imposera