Vous êtes donc un lâche, préférant la fuite à l’aveu ! Vous n’êtes pas l’auteur de l’article concerné et faîtes croire que vous l’êtes ! A la lâcheté vous ajoutez la malhonnêteté, compagne inséparable de la fuite !
Et, c’est donc ce sinistre et même plagiaire qui trempa sa plume dans l’encre nauséabonde de la salissure et de l’indignité en osant s’attaquer à la figure emblématique qu’est Elie Wiesel, déporté à Auschwitz, Prix Nobel de la Paix et témoin vivant de la Shoah qui croise ma route en y laissant les marques de la honte ? N’ayant pas l’étoffe de ce porte flamme, qu’est le Prix Nobel de la Paix, pour vous traiter comme vous le méritez, je vous dis tout haut, ce que je ne cesserai de soutenir, jusqu’à ce que justice passe : Un homme qui bave sa haine, il faut le laisser s’y ébattre dans le silence propice aux infamies.
Ie danger que vous représentez oblige à la dénonciation, toute affaire cessante et sans concession. Enfin, si vous en êtes là, c’est l’indication que les textes que vous signez doivent être considérés sous l’angle des plus vives réserves.
Votre attitude envers Elie Wiesel pouvait-elle laisser prévoir vilenie plus accentuée ? Votre silence, dans notre affaire, n’est pas le signe d’une défaillance, mais appuie la dimension d’une erreur d’analyse et de jugement, que la difficulté d’estimer empêche d’en mesurer les conséquences. Avez-vous pensé que les contributeurs aux divers sites Internet laisseront passer votre indélicatesse, sans réagir ? Si tel devenait le cas, nous en rappellerions l’enjeu !
Soyez assuré, de ma compassion.
Arnold Lagémi