Dans l’Express du 23/10/2010 (Reuters), on pouvait lire : » Israël n’a pas le droit d’invoquer le concept biblique de Terre promise ou de peuple élu pour justifier la colonisation à Jérusalem ou revendiquer des territoires, » » ont fait valoir samedi les évêques catholiques du Moyen-Orient.
Cet aveu d’anti judaïsme, illustré par le …synode des Evêques d’Orient, s’inscrivait dans un cadre funeste qui devait d’abord ôter de l’argumentaire juif, toute référence à la Bible, aux prescriptions religieuses, ainsi qu’à la Tradition juive. Cette rupture matricielle devait ainsi permettre, autoriser et avaliser toute une panoplie d’arguments anti-Judaïques, orientés plus particulièrement contre les « pratiques religieuses » sources de « barbaries diverses depuis la nuit des temps. »
Reprenaient ainsi leurs places consacrées par la haine du Juif, différents clichés que, depuis Jules Isaac et son illustre « Enseignement du mépris, » œuvre majeure en la matière, que venaient conforter les paroles bienveillantes de Vatican II, on pensait refoulés dans le tréfonds de la conscience coupable d’un Occident honteux.
Ainsi, le « complot Juif » avec ses attendus réadaptés par l’originalité, refit surface, et généra une lecture plus moderne de l’antijudaïsme. Une certaine Allemagne… battit le rappel ! C’est, en effet, de ce pays marqué, du sceau de l’indignité, par la mise en pratique de la « Solution finale, » que le signal fut donné. Comme pour bien signifier que la relation germano- juive, ne s’était pas pacifiée par la reconnaissance d’une culpabilité quelconque. En effet, y fut prononcée par un tribunal, l’interdiction de la circoncision religieuse !
La volonté de combattre le caractère juif de l’Etat d’Israël, n’est rien d’autre, qu’une avancée significative de l’antijudaïsme.
On s’éloigne de la circoncision pour « réfléchir » désormais, sur la Chéhita ou abattage rituel.
Il est prévisible que sous le fallacieux prétexte du renforcement de la laïcité, certains groupements ou associations diverses, prennent d’autres initiatives, de type ségrégationniste, visant à déprécier et dévaloriser les « pratiques juives, pour s’achever par le classement du Judaïsme, dans le registre des « religions primitives ! » ouvrant ainsi, pour une période imprécise, une page nouvelle de la haine antijuive. 
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Rien que de très normal cher Arnold.
Une découverte archéologique majeure a été faite sur les collines de Judée récemment. Le fameux pilier ornementé qui serait celui d’un palais d’un Roi de Judée (datation peut-être celui de David).
Or, l’Autorité des Antiquités d’israel fait une drôle de résistance pour ne pas dit-il « envenimer la situation entre Palestiniens et Israéliens ».
Si les arabes ont tout à perdre devant une démonstration que le judaïsme n’est pas basé sur un folklore, je pense que les Eglises ont tout autant à redouter.
Le cruel retour qu’elles devraient faire vis à vis des juifs tant honnis, sur leur antériorité monothéiste ou que sais-je d’autre, serait bien trop douloureux.
L’Eglise apostolique et Romaine en son Vatican est déjà sur le gril, l’islam est archi-conquérant, maquerait plus que les juifs trouvent des preuves matérielles pour solliciter un retour sur leur patrie entière.
Cette histoire est très perturbante. Rendez-vous compte : UN PALAIS DAVIDIQUE ! Ca leur fermerait la bouche à tous ces antisémites. Mais alors pourquoi si le site est connu depuis un an par l’AAI, ne fait-il pas plus de bruit ? Pourquoi ne pas fouiller quand même ?
Personnellement je crois à cette trouvaille majeure mais l’obstination de l’AAI, me rend dingue.
Cordialement,
Nina