Une information du www.lefigaro.fr. fait état d’une déclaration de l’ambassadeur de l’Autorité autonome aux Nations Unies par laquelle le diplomate Palestinien déclare, entre autres, « que la communauté internationale a le devoir d’assurer la protection des civils dans les territoires palestiniens. »
On entend de plus en plus souvent les médias soutenir qu’Israël ne tient pas compte des règles et dispositions diverses contenues dans les Conventions de Genève, protégeant les populations civiles dans les conflits armés. Or, les Conventions de Genève ne s’appliquent pas à la lutte contre le terrorisme.
De tels propos détournent au bénéfice de la « terreur, » des règles qui ne sauraient, en l’occurrence, s’appliquer dans la lutte que mène actuellement l’Etat d’Israël contre le Hamas, le Djiad Islamique ou le Hezbollah. Pourquoi ?
Parce que les Conventions de Genève concernent les protections des populations civiles dans le cadre de conflits armés entrepris par des Etats. Or, dans la perspective qui nous concerne, les initiatives offensives étant à l’actif d’organisations civiles qui, ne dépendant pas d’Etats constitués, sont l’œuvre de malfaiteurs, utilisant des prétextes politiques pour déclencher des opérations militaires. Celles-ci, assimilées abusivement à des manifestations de guerres conventionnelles, permettent à leurs criminels auteurs de revendiquer le bénéfice de cette Convention qui, par définition de sa vocation, ne les concerne pas, pas plus qu’elle ne saurait s’appliquer à Israël, usant, du droit reconnu à la légitime à se défendre.
Les Conventions de Genève ont pour objectif majeur d’écarter du conflit les populations civiles. Or, à Gaza et ailleurs, ce sont ces populations civiles qui sont les protagonistes du conflit. Ce n’est pas l’armée régulière de tel ou tel Etat qui, de Gaza bombarde Israël, mais des membres actifs d’organisations et structures civiles visant à l’anéantissement d’Israël. Leur assimilation à des organisation para-militaires n’en fait pas pour autant, les soldats d’une armée, à qui l’on pourrait opposer les règles d’une Convention ne concernant pas les terroristes civils.
Il est établi, que contrairement à la prise de ces ces mesures défensives et de protection, il est, dans les objectifs tactiques de ces organisations terroristes de placer les populations non armées, en boucliers humains, visant à les assimiler lors d’un éventuel conflit à des combattants.
Tsahal, une fois de plus sera injustement et abusivement désigné comme responsable d’initiatives le classant comme criminel de guerre, au regard de dispositions ne s’appliquant qu’entre Etats belligérants. L’exposition volontaire de civils aux dangers collatéraux du conflit plaçant leurs auteurs en assassins devant être jugés civilement sans que les motifs politiques ne puissent être retenus et atténuer la sévérité de l’appréciation.
Une fois de plus, l’implication d’Israël serait plutôt à mettre sur le compte d’un antisionisme primaire, non dépourvu d’antisémitisme, pivot central d’une des accusations centrales, restant au cœur d’un conflit où la cause est l’inacceptable « Renaissance d’Israël. »
Pour regrettable et affligeante que soit la mort de civils, les représailles israéliennes n’en sont pas moins utiles, nécessaires et indispensables, parce qu’elles entrent dans le cas de la légitime défense.
LES RECENTES ATTAQUES, LES MENACES DE MORT ET D’ANEANTISSEMENT D’ISRAËL PROFEREES PAR LE HAMAS ET CONFIRMEES PAR LE CONTENU DE LEUR CHARTE, INVITENT LE GOUVERNEMENT ISRAELIEN A PRENDRE ACTE DE CETTE DECLARATION DE GUERRE, ET A EN TIRER TOUTES LES CONSEQUENCES. ON ATTEND DE BIBI QU’IL CONFIRME QU’EN LE DESIGNANT, LES ISRAELIENS ONT FAIT LE BON CHOIX !
excellent article, comme tout ce que j’ai lu dans ce blog. merci.