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Choisir l’option de la guerre, c’est pencher et incliner pour le crime, sauf…


Puisqu’il n’est plus nécessaire de parler pour convaincre ou  de débattre   pour persuader, et que « certains » insistent pour classer les « bombardiers » de Gaza en victimes, il est impératif de redéfinir des données qui paraissaient évidentes tant qu’elles ne concernaient pas les Juifs. Aujourd’hui elles deviennent équivoques parce qu’insidieusement elles changent de sens. Cette perspective implique que les protagonistes sont parvenus à un niveau d’hostilité et d’incompréhensions telles que le recours à la guerre devient, par nécessité, le seul moyen de neutraliser l’adversaire, d’abord en le réduisant au silence.


On prend donc acte de la réalité du fait belliqueux qui se confond avec l’obligation de tuer ! C’est là l’option choisie par ceux qui ont décidé d’envoyer chaque jour sur Israël  des missiles ou roquettes. La guerre, objectif ultime, n’a pas été, en l’occurrence, décidée après un mode opératoire où négocier, transiger, et échanger, furent des prologues tentés,  mais auxquels la chance n’a su ou pu se joindre !


D’emblée, les armes ont parlé,  parce que « l’entité sioniste » n’a pas de statut qui autoriserait lespréliminaires. Bombarder Israël, sans négocier, prive de l’opportunité qu’auraient pu dispenser l’usage et la pratique  des avant-propos et préambules. Cette frustration  indique cependant, que l’objectif du Hamas n’est guère différent des motivations arabes de puis 1948 : avec ou sans préliminaires : La mort d’Israël !


Un adversaire dont le préalable, reste la mort, à court ou moyen terme, de son interlocuteur,  se reconnaît sans effort si, le concernant vous triturez  votre mémoire pour qu’elle éclaire l’indignité par la sévérité de la rigueur : « A quand remonte, chez notre ennemi,  la dernière manifestation de négocier ? » La réponse ira se perdre parmi les dunes !  Cet adversaire, pour  qui la guerre est la voie royale de ses espérances  ne doit inspirer  aucun scrupule, aucune pitié à être éliminé ! Et si compassion et pitié nous rappellent que nous appartenons à un peuple qui leur  a promis allégeance, nous nous souviendrons des nombreux précédents  où,  évitant  les incidents collatéraux,    on n’a  pu esquiver incitation et exhortation à les confondre volontairement aux preuves de disproportion !


Morale n’est pas faiblesse et pitié n’est pas renoncement ! Si on reste humble sans avoir démontré qu’on peut être le contraire, on confond l’humilité avec l’incapacité

A « jouer » au cesser le feu ou à la trêve,   nous ne voyons plus, que l’adversaire est prêt à tuer,  si nous marchandons et délibérons pour agir…à sa place !

Une Réponse à “Magnanimité pour l’ennemi, c’est confondre morale et pitié ! Par Arnold Lagémi”

  1. elyane dit :

    Quelle trève? quel cessez le feu ?
    Arretons de nous voiler la face…

    Et qu’Israel cesse aussi de tergiversser…..faut continer le ménage en grand, en large et en travers.

    Y en a marre des pourpalers…pour parler de quoi?
    Il y a un temps pour tout, et le temps est venu de cesser d’avoir des œillères, ouvrer en grand les fenetres, et le ménage sera plus facile!
    LE HAIM ARNOLD!!!

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