Quand on vient de nous ravir les « meilleurs de nos fils », dans un conflit qui accordait aux gosses de Gaza, le statut de martyres et de sacrifiés. Quand les jeunes de Tsahal ont du se battre avec des bêtes féroces qui plaçaient leurs propres enfants en appâts. Que les Nations continuent de véhiculer des mensonges porteurs de regrets que la guerre de 1948, n’a pas su arrêter définitivement la réalisation sioniste, on n’emballe pas la vérité, parce que celle-ci ne s’offre pas, on la reçoit en pleine figure, surtout venant d’amis !
Le premier devoir, l’expression initiale de l’amitié, c’est la capacité de se juger avant d’arbitrer. Se juger, c’est avoir gardé cette lucidité qui permet d’avouer l’aveu de ses carences, de ses faiblesses. Et, ayant pris la mesure de sa responsabilité on distingue mieux les signes avant coureurs du relèvement du monstre qui reprit vigueur à la perspective de se désaltérer du sang juif.
J’avoue qu’il y a quelque chose d’impudique à jeter aux orties le radicalisme islamique, quand les ancêtres des pénitents imposaient l’étoile jaune, la conversion, l’autodafé, réjouissant cette part d’eux mêmes entièrement offerte à Satan. La première preuve d’amitié, ce n’est pas l’aveu de la parole. Dressez le bilan de Vatican II ! Il y a un victorieux qui reste invincible, Eole, le D.ieu du vent ! La première manifestation d’amitié, c’est l’aveu du meurtre, la responsabilité des exactions. F… la paix aux Islamistes. De 1940 à 1944, vous avez tant massacré de Juifs, que vous avez laissé, loin derrière les Gardiens du fondamentalisme musulman !
Vous voulez nous convaincre ! Faîtes silence dans les rangs et regardez nous. Nous méritions tous ces tourments ? Suppliez Pour qu’Israël oublie votre condamnation du sionisme, du Judaïsme. Dîtes nous pourquoi, vous gardez le silence sur la condamnation de la Thora par Pie XII ? Et surtout, pourquoi vous prenez plaisir à nous rappeler le « faux prophète » Celui qui nous apporta « l’épée et non la paix ! » Suppliez, parce que, si vous nous devez tout, le peuple Juif ne vous doit pas grand-chose. Et, enfin si vous supportez comme manifestation de la justice immanente que le débit soit sur votre compte omniprésent au regard d’un bien famélique crédit
Et enfin, si vous recevez ces propos en y saisissant toute la déception d’un sentiment qui fut Passion fervente et Amour ardent,
Vous comprendrez que le pardon Juif ne s’obtient pas par automatisme, mais sur une requête ! Vous serez alors capable de prendre la vérité « en pleine figure » et de juger que les statues de Strasbourg, imposent une attitude réparatrice. Quand bien même entre Auschwitz et Tréblinka, vous auriez perdu les restes décomposés d’une morale vagabonde.
Aussi, le perron des Islamistes n’est certainement pas très propre, mais le vôtre assurément est impur, de surcroît!
Alors, pour votre amitié, quand vous repasserez, n’oubliez pas le seul passeport qui vaille : Les lettres de ma fille, de ma Chère petite fille : Anne Franck.
Je vous promets qu’alors, subsistera, non seulement la possible amitié, mais l’assurance du jugement équitable.
