De leurs lieux de séjour, et pour être précis de leurs fosses à purin, des caniveaux où la convergence de leurs pensée pervertie s’accorde , sans fausse note, avec la puanteur de l’environnement, les habituels ennemis d’Israël, préoccupés de ternir le symbole de la Shoah qu’est Elie Wiesel, persévèrent dans leurs références. Véritables enragés devant la détermination silencieuse d’Elie Wiesel, ils continuent de s’attaquer à celui qui porte, sur « ses épaules frêles et périssables » le souvenir de l’enfer.
Elie Wiesel représente quelque chose de nature sacrée et il tombe sous le sens, pour plusieurs raisons et, à plusieurs titres, que cette campagne est alimentée par les démons de toujours ! Aussi, et, en raison du mandat dont le peuple Juif a implicitement chargé Elie Wiesel, en le désignant comme symbole accusateur d’une civilisation qui s’est fourvoyée par le crime abject et désigné témoin vivant que l’enfer était sur terre, nous adressons cette supplique à Elie Wiesel : « Monsieur, ne faîtes pas un pas vers Satan, même si le salon de réception est l’anti chambre d’un tribunal ! »
Ce que vous portez, Monsieur, est plus grand que vous ! Aussi, est-il légitime que l’ambassadeur d’Anne Franck, n’accorde pas l’honneur d’un regard aux fils d’Amalek.
Pardonnez Monsieur, ce qui suit, n’y voyez que l’outrance de la provocation nécessaire à la démonstration Quand bien même auriez vous été confronté à la tentation, votre qualité de délégué du martyr juif a une nature identitaire amnistiante. Car, il tombe sous le sens que donnait Pascal à la vérité, de ne pas être démontré mais constaté !
Qu’on est prêt à composer avec vous. Pas avec ce que vous représentez. La mémoire et l’histoire, que, par devers votre personne, vous portez comme un flambeau face à un monde qui profère les mêmes insultes que vos parents entendirent sont témoins à charge ! Ce sont ces témoins qu’on veut éliminer en vous portant préjudice !
