L’imbroglio irano-occidental, le soulèvement des populations radicalisées par le fondamentalisme islamique, la mise hors jeu du christianisme oriental, l’incapacité Européenne à faire face aux épreuves et à l’adversité, une Amérique rongée par les contradictions, semblent désigner l’imagination tout comme les courants novateurs comme moyens adéquats pour y faire face.
Car « l’ancien monde » ne peut, ni ne veut user de légitime défense, convaincu que son usage ne sera pas entendu avec le même sens à Moscou, Le Caire, Washington ou Paris. Cette véritable paralysie reconnaît, de facto, des faiblesses rédhibitoires à son système de défense, potentiellement redoutable mais que l’absence de volonté politique réduit à une panoplie de pouvoirs contrariés.
Les diverses menées fascistes islamistes tentant d’unifier par étapes préalables, le maximum d’Etats qui y succomberont et qu’accompagnent, pour se faire des provocations inouïes à l’égard des Nations . Ces « offenses » à vocation « offensive », sont au regard du droit des casus belli, visent à préparer le terrain. On ignore précisément à quoi!
Mais il suffit d’être attentif pour comprendre, savoir et conclure que chacun attend ou espère le recours aux armes, en espérant, pour lui même, ne pas devoir y avoir recours.
Un pays a déjà montré et démontré en 1967 qu’il pouvait décliner les injonctions des Nations, quand bien même elles émanaient des plus illustres. Cette volonté farouche de liberté et d’indépendance, s’il se révèle que les changements prévus risquent de la remettre en question, pourraient motiver de renouer avec une stratégie qui, fondée sur la solitude, n’en reste pas moins, gage de surprise et promesse de victoire.