Sauf appréciation contraire, nous ignorions: a) Que le roi du Maroc était le Chef de l’Islam mondial (mise à part l’Islam chiite) carence imputable au manque de culture mais qui ne saurait impliquer un éventuel manquement aux devoirs de conscience,
B) Par contre,on ne s’est pas interdit de mentionner l’origine musulmane de la majorité des détenus emprisonnés en France. l’Islam a été condamné sans ménagement comme doctrine responsable de fautes, crimes et tueries. Par définition et conséquence, se trouvait accusé implicitement,le Chef de cet Islam assassin, en l’occurence, le roi du Maroc, Commandeur des Croyants, et, à ce titre, bénéficiaire de la qualité de Calife.
Or, celui-ci mène dans son pays une lutte sans
merci contre l’extrémisme religieux, disposant d’un arsenal judiciaire impressionnant, dont une des dernières manifestations est la décision royale interdisant à tout écclésiastique musulman une quelconque adhésion à une organisation politique ou syndicale. Cette guerre à outrance, visant à éradiquer l’extrémisme, s’accompagne d’une quié
tude exceptionnelle des Juifs vivant au Maroc, quiétude inconnue dans tous les autres pays arabes.
Mais les médias Français se 
taisent à ce sujet, de façon absolue, me semble t-il! Des individus, voire, des groupes de pression influents auraient donc intérêt à généraliser la tendance meurtrière d’un courant étranger à l’Islam mais qui s’en réclame avec la connotation marocaine.
Les exactions, les meurtres, les carnages attribués à l’Islam n’ont donc aucun lien avec cette religion que le Chef Suprême, objet de menaces par ces extrémistes, ne condamne pas seulement en paroles mais par une politique répressive et impitoyable.
Qui se cache derrière cette déformation gravissime de la vérité? Qui y trouve intérêt? Qui dispose du pouvoir de faire taire la presse? Pourquoi les décisions royales à ce sujet sont-elles recouvertes par la chape de plomb du boycott? Le seul intérêt affligeant que j’y vois, en l’état, c’est que nous n échapperons à l’arbitraire de l »injustice que par les certitudes de l’investigation avant avis. Le Maroc désigné en victime expiatoire, sauf démonstration du contraire, laissant apparaître que certains Juifs ne sont pas à l »abri de se rendre complices et auteurs, d’actes de racisme, dont, ils ont pourtant, et, dans leur chair, vérifié les redoutables effets dévastateurs.
La Thora, nous oblige, en pareil cas, tout comme la conscience, à faire part de nos sincères regrets au seul Chef d’Etat Arabe, doublé de surcroît de la faculté de « dire l’Islam. Et de reconnaître, qu’en l’absence d’une manifestation réparatrice ce n’est plus la naïveté que nous afficherons, mais le masque honteux de la complicité.
Veuille Sa Majesté, mettre à l’actif d’un destin qui n’a pas épargné les Juifs, ces comportements, fruits de l’ignorance, sur le compte de manoeuvres indignes qui doivent être dénoncées sans mansuétude.
