Analyse, non! Démonstration, non plus !
Alors, « Etat d’âme? » Assurément!
A lire donc, façon « cul sec! »
France où es-tu? Nous ne te voyons plus! Nos larmes rageuses tentent d’effacer, en vain, le mot « ami » qu’avait employé le fondateur de ta République. Ce mensonge effronté utilisable tant que la necéssité d’en attester ne s’impose pas, montre que ccet ami,Israël, tu l’as abandonné et remplacé par Palestine à qui, désormais tu sembles dévolue!
Cette grandeur déchue, les barbares sur tes Avenues, est -ce bien ce que tu voulus? Remplacer les siècles d’humiliation en soutenant Israël? Non! Tu as choisi et confirmé, en asseyant Palestine, que l’amitié pour les Arabes prévalait sur la fidélité aux Juifs!
Serait ce plutôt ton destin que tu ne reconnais plus? France, en honorant Palestine à l’ONU, tu sacrifiais Israël! Tu le savais et tu as donné un « siège » à ceux qui promettent aux Juifs le même destin que celui réservé à tes pauvres enfants martyrisés à Paris, parce qu’ils voulurent rester fidèles à Liberté traduite par Eluard, que tu confonds avec Céline! France, certains des tiens, citent le traître Brasillac, en vrac, avec d’autres corbacs! Rassurés, puisque « Lissac n’étant pas Isaac », ils te savent moulue de détritus vermoulus, pendant que toi, abatue, tu restes sur le c…!
En récompense qu’as tu eu? Massacre! Carnage en surplus! Et ton sang répandu met en cause ta faiblesse comme suspendue au rebus que tu reçus. Tu eus alors motif à sussurer, » je sus que poison fut, et pourtant la coupe je bus! »
« France, tu fus et tu n’es plus? » Mais quand reviendras tu! Dis, au moins le sais tu? » (Barbara)
Parce que, jalouse d’Israël, tu estimes dangereuse son audace. Car des Juifs que tu eus et maintenant perdus, à leur place tu voulus les barbares que tu connus et REconnus jusqu’à la fin d’une histoire qui, quoique lue et relue, ne t’apprit rien de ce qui fut!
Ne subsiste que certitude de finitude, peut être promise à prélude, si la juive rectitude enfin redevenue la gauloise habitude reprenait place en altitude au lieu des prévisibles servitudes. Mais tu ne le veux plus! Tu n’es plus volontaire pour les places premières. Tu n’ambitionnes que concessions et soumissions qui occupent le terrain chaque jour, un peu plus!
Or, on vient, avec promptitude d’accréditer l’éminence de « princesse Palestine » promise à être déchue si l’esprit de République revenu, France, tu n’acceptais plus le refus de condamner les diffuseurs de mort! Sais-tu que tu t’es parjurée en dénaturant ta vocation? « Tout pour l’Etat Juif » était un engagement que tu as « oublié » et remplacé, par « tout aux Palestiniens »! Vilennie qui authentifie la nostalgie de cette partie de France pour Vichy.
Quant à ton crédo: « liberté, égalité, etc… » dans le fourvoiement confondu t’obligera à avouer qu’à à la France félone tu ne pourvoies plus, ayant reconnu dû, et dévolu à celle qui davantage te plut: la France de Daru!
Rien à la France de Turpitude, rien à la caricature! Tout à la République du fils Poirier, petit fils d’une de mes voisines, dont le mari fusillé à 19 ans pour avoir fabriqué des fausses cartes d’identité pour les Juifs est l’honneur discret d’une France disparue! Honte française aux révisionnistes et large indignité en prime exceptionnelle. Gloire, honneur et restes du gâteau à Xavier Leclerc de Hautecloque, petit fils du Maréchal (le vrai, pas celui de Vichy!) pour l’honneur dont j’ai été gratifié. Evoquer en effet, l’héroïsme du Maréchal de France, dans une classe où le petit fis élève devenait suite charnelle du signataire du « serment de Koufra, »le tout dans une école Av de la Div Leclerc, c’était proclamer au monde qu’Israël sait, plus que jamais, encore nommer!
Rajoutons, et nos larmes partagées avec les familles des Français martyrs, abattus parce que la valeur de la liberté est un ferment de France! « Honneur et gloire, aux martyrs, aux vaillants, aux forts, à ceux qu’enflamment leur exemple, qui veulent place dans le temple et qui mourront comme ils sont morts! » (Victor Hugo)
« Quand tu marches, si tu distingues ton ombre faisant route à tes côtés, arrête toi, et assure toi de l’immobilité de ton ombre. » (Mon père zal)