Le jugement du Président US attribuant au « hasard » la mise à mort de quatre Juifs dans une épicerie « cacher » à Paris n’entre pas dans le cadre d’une appréciation criticable. Il se situe dans la perspective manifeste d’un changement d’alliance! Le refus de « prendre acte » d’un fait établi, indiquant la volonté du Président Américain de nier la véracité du danger antisémite, place celui-ci et la politique qu’il conduit dans le camp de ceux qui refusant la prise en considération des motifs anti-Juifs de l’attentat de Paris ne prendront, pour ce qui les concerne, aucune mesure de prévention.
En effet, « critiquer » s’inscrit dans un contexte global d’appréciation en y apportant les réserves d’une « critique » légitime et donc acceptable. Alors que le jugement du Chef de la Maison Blanche est d’abord et essentiellement réfutation du premier danger menaçant les Juifs et Israël: la haine raciste!
Il va de soi, qu’il ne peut y avoir erreur, en raison de du rôle, de la fonction et des prérogatives de l’auteur. On n’y voit que « malveillance’ franche et ouverte qui semble être une étape, dans une révision prévisible d’alliances qu’on croyait pourtant durables.
Quand on y ajoutera la confirmation de la conversion à l’Islam du chef de la CIA et que, voulant prendre la mesure des dangers gravissimes qui menacent le monde, on se renseignera sur les responsabilités de la CIA dans la conduite des affaires intérieures ou extérieures des Etats Unis, on comprendra l’imminence de la concrétisation des dangers!
G.OD BLESS ISRAËL !