Daté du 1er Avril courant avec insistance,
un communiqué des Services Techniques du Vatican confirme que le tocsin pontifical ne fonctionne plus en raison de son inutilisation.
le Saint père ayant jugé que le tocsin papal n’a plus de raison d’être, aucun danger ne menaçant les Chrétiens, il convenait de l’offrir aux Juifs, en réparation des exactions anti juives dont ses prédécesseurs s’étaient rendus coupables. Expliquant que les Juifs seuls étaient exposés au menaces persanes et atomiques, un tocsin relooké en Chofar leur serait fort utile car un Juif ne cèdant pas sa place à une « cloche! »un Chofar serait préférable!
Ayant signifié aux fils de Jacob, qu’en cas d’usage, le Chofar tocsin, devrait être orienté vers le 5èm point cardinal, appelé Néant, lieu de séjour habituel de l’Eglise, depuis qu’au Golgotha elle a démontré sa vocation pour « la mort! »Le Pontife n’a pas manqué d’y souligner alors son espoir d’y retrouver ceux à qui il avait « emprunté » le Saint Livre de Moïse, effaçant le nom de l’héritier et le remplaçant par NOUVEAU TESTAMENT, en n’oubliant pas de faire remarquer le caractère infaillible de son « indélicatesse. »
Aussitôt fut rédigée par un collège de moines convertis et devenus rabbins, une takana (ou Encyclique rabbinique) confirmant que la solitude juive( pour certaine qu’elle fût? dans la guerre contre la Perse,) ne remplissait pas les critères de la Procédure EX SYNAGOGUA et, restait donc faillible, peccable, suspecte en un mot.
L’Encyclique s’inclinait rspectueusement sur le don de clairvoyance du pontife qui ayant eu la prudence de s’exprimer en arabe, confirmait que l’Eglise devenue Nouvelle Alliance avec le royaume des démons (cf statues infâmes) à Strasbourg, se préparait à la mort et deviendrait islamique.
Un petit Juif des banlieux fit observer que la synagogue devenue Etat Juif était en droit de prétendre que sa « solitude »honorait les conditions EX SYNAGOGUA, à savoir, a) continuait à être objet de mépris, b) que l’Eglise n’avait pas saisi les opportunités du sionisme, et que l’Etat Juif honorait sa qualité de rédempeur (cf Déclaration d’Indépendance)
Le « petit Juif des banlieux » déposa sa requête d’infaillibilité, au motif introductif que, dans l’art du pipeau, le Concile Perdnotetemps II méritait bien ce qui lui allait si bien: Une conversion à l’Islam, qui, de toutes façons serait progrès au regard de son idolâtrie persistante.
La requête fut cachée au 3ème sous sol des « Caves du Vatican ». Un pape visionnaire lui donna le titre que le temps avait effacé: « JE PREFERE ÊTRE SEUL QUE MAL ACCOMPAGNE! » RECETTE D’INFAILLIBILITE JUDAÎQUE!
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NB/ Finalement le Chofar ne fut pas envoyé et il fut décidé de réparer le tocsin.
