Presque tous les dangers, ont une cloche aux sonneries déterminées. Un destin chanceux se mesurera si le tocsin hurle à la vie, du moins à l’espoir de mourir l’épée à la main. Mais Chofar habituel ou Chofar des Grands affrontements, ces avertisseurs du messie rédempteur ne pourront rien si l’ampleur dévastatrice du corrupteur n’a pas été prévue Les signes du mal sont là pourtant.
Je prends les deux premiers restés exposés précédant les plus pervers que je présenterai par la suite. Il y en a d’autres ! Sachez, cependant que la corruption, avant qu’elle ne prenne ses quartiers, s’attaque lentement mais sans relâche, à la seule force susceptible de l’atteindre et de la neutraliser : LA CONSCIENCE MORALE !
D’abord en France !
Un Grand rabbin de France chassé de sa fonction par des moyens humiliants, en violation des dispositions concordataires conclues avec l’Empereur et selon une procédure expéditive, privé de ses droits, doit statutairement être soumis au Jugement de ses Pères par assignation devant le Tribunal rabbinique.
La démission du Grand rabbin Bernheim ne dispensait pas le collège rabbinique de prendre position face à la Communauté. Est-ce le droit qui, en l’occurrence est corrompu? Ou, ceux qui s’engageant à la mission sacrée de « promouvoir l’Esprit des Lois » sont pris en flagrant délit d’inaptitude?
S’engager à réaliser une mission, se rendre compte qu’on n’y parvient pas et s’y maintenir, n’est-ce pas entretenir l’obscurantisme terreau favorable à la corruption, à laquelle Gilles Bernheim s’étant opposé une vie durant, méritait qu’on s’en rappelât, le jour où on le chassa lui, dont les mérites ne manqueront pas de couvrir les manquements, à l’audience de Roch Hachana! ….
On a choisi l’obscur, le glauque. Il faut assumer. Je n’avais pas approuvé en son temps que Gilles Bernheim sortît de sa réserve et attaque frontalement le FN. Il avait donné, cependant, une orientation. Elle ne pouvait être mise au placard sans explication. CORRUPTION BALBUTIANTE ?
Si, on accepte le diktat que » la loi est pour tous » mais qu’on peut exclure de
son bénéfice le Grand rabbin de la 2èm Communauté de l’Exil, sans éprouver l’impérieux devoir de s’expliquer : Pas de doute LA CORRUPTION S’INSTALLE !
Après m’avoir insulté et qualifié de contributeur du FN, Louis Alliot, personnage très influent à l’Etat-major du Parti Frontiste décide de me faire payer l’insolence de mes questions à Marine Le Pen.
En quoi faisant ?
En soutenant que j’encourage les preneurs de cartes FN. Franz Ollivier GIESBERT, Directeur du Point, me refuse le droit de réponse. « Sans commentaire. POINT FINAL » (Les judeo- chrétiens de France et de Suisse et ceux qui ont suivi mes échanges sur Mysticis corpori christi comprendront.)
Juifs de France, et les autres, fils de Jacob ou non, en écrivant, en condamnant le refus du droit de réponse vous assumiez votre solidarité. PRENANT MA DEFENSE, du même coup, vous assuriez la vôtre, CONTRE CEUX QUI N’ONT PAS ENCORE DIT QUE Vichy a éclaboussé la France. N’aviez-vous pas vu que, d’évidence C’EST VOUS QUE VOUS AURIEZ DEFENDUS ?
Et le devoir d’assistance que vous avez enseigné au monde ? Envolé ? Disparu avec votre dignité ? Vous ne défendriez que les puissants ? Mais alors, Maurras qui évoquait sinon un peuple, du moins, des Juifs serviles ?
En sautant dans l’arène, pour vérifier l’attachement du FN à Vichy, c’est votre honneur écrasé sous vos semelles que je tentai de redresser. Ce combat ne méritait-il pas ce regard que vous réservez à ceux qui vous mentent en vous déclarant un amour auquel vous préférez croire ?
Comprenez bien, je ne vous demande rien ! Mais tout en ayant pris acte de votre difficulté à « soutenir » l’héritage de vos pères ! je resterais très inquiet si vous ne m’accusiez pas, de tenir des propos accusateurs, et excessifs. Vous auriez même droit à des excuses si vous me montriez une main boursouflée par la brûlure de la torche qu’avec peine, vous tenez à bout de bras et sur laquelle vous auriez écrit d’une main hésitante d’émotion: « HAM ISRAEL HAÏ
Où sont-ils les Français et Juifs de France qui écrivirent au Directeur du Point pour rappeler qu’au-delà de mon droit c’était celui de tout un pays qu’il voyait s’enfuir ?
Ne pas défendre le droit du juste parce que ce droit n’est plus nécessité au bon sens, n’est-ce pas là, l’assurance que la corruption en a terminé avec les…fondations ?