Considérant que je fixais une condition à la reproduction de l’article « Etre ami d’Israël, c’est hyper classe, »
Que cette condition n’accordait le bénéfice de la duplication qu’au seul site : www.terredisraël qui publia l’article le 2 mars 2010;
Parce que je connais celui qui en est le souffle
Que son sionisme n’est pas opportunité mais exemplarité.
Que si mon texte a quelque valeur, seul Yossi Taïeb lui accorde le support précieux d’un homme qui oublie les devoirs à son égard, quand l’intérêt d’Israël est en jeu.
Parce qu’il sait être homme de paix.
Parce qu’il ne sait que donner et n’accorde sens à recevoir que conjugué à l’impératif, au bénéfice de l’autre : « Reçois ! »
Parce que mon texte écrit avec le souffle de l’âme, souffre de l’exil imposé par ceux qui l’ont volé. Comme Pinochio devenu libre une fois créé, mon texte grand par lui même prend son envol. Dès sa première diffusion, avant même de savoir son audience, j’accordais l’exclusivité à Yossi Taïeb.
Je peux maintenant dire pourquoi : Parce que seul cet homme pouvait faire respecter la règle : Avant de reproduire, on décline d’abord les services rendus !
Je ne regrette rien. Merci à TERREDISRAËL et au SOUFFLE qui l’anime !
Observant que dans les publications ultérieures cette mention a été effacée,
Que cette manœuvre n’annule pas la validité du contenu escamoté
Que tout reproducteur est sensé en avoir pris connaissance par l’obligation légale de se référer à la publication bénéficiant de l’antériorité,
Que la mention est :
« Un ami Français, m’a envoyé, aux bonnes fins d’être publié danswww.terredisrael.com, la lettre suivante – Arnold Lagémi – 2 Mars 2010 »
« Cher Arnold, »
« Tu as soutenu qu’être Israélien c’était la classe, qu’être Juif, c’était super classe. Il manquait l’hyper classe pour qualifier la qualité d’ami d’Israël. »
Attendu que la responsabilité civile et pénale du Directeur de publication, est engagée,
Qu’il NE POUVAIT IGNORER que CE QU’IL PUBLIAIT AVAIT UN CARACTERE FRAUDULEUX.
Qu’ayant constaté en Juillet 2015 que le 28/10/2014 EUROPE-ISRAËL avait procédé à la duplication de l’article pré cité sans référence aux mentions obligatoires, pas plus que n’a été prise en considération la teneur de la mention effacée,
Que le texte ainsi reproduit relève de la contrefaçon, qu’il s’inscrit en violation délibérée des lois protégeant la propriété intellectuelle.
Que, quand bien même Jean Taïeb ne serait que complice, la responsabilité d’Europe Israël est totalement impliquée dans ce délit, dont il serait inéquitable que l’auteur en supportât le préjudice,
Que le 8 juillet 2015, sous la signature de Jean Marc MOSKOWICZ
EUROPE ISRAËL reconnaissait à mon seul bénéfice la propriété de l’article :(annulant implicitement les affirmations soutenues en aval et en amont !)
« Jean Marc Moskowicz à Arnold Lagémi : « J’ai trouvé votre article « Oui, moi Goy, je suis l’ami d’Israël et je l’ai fait effacer. » Lequel signataire me disait il y a peu qu’il n’exerçait « aucune fonction à EUROPE ISRAËL ……….. » QUE CETTE RECONNAISSANCE ENTEND ÉTABLIR QUE LA REPRODUCTION DE CE TEXTE SERAIT VIOLATION DÉLIBÉRÉE ET INTENTIONNELLE QU’ELLE RELEVAIT DE LA MALVEILLANCE,
Qu’à ce jour EUROPE ISRAËL NE S’EST pas RÉTRACTÉE.
ANALYSE DU FOND
Attendu que l’identité non révélée du propriétaire d’un bien ne pourrait ouvrir droit à son appropriation.
La lettre s’abstenant de nommer l’auteur de la lettre n’en délivre pas le motif,
Qu’il n’est pas établi que cette information renforcerait ou atténuerait l’audience de l’article, pas plus qu’elle ne modifierait l’interdiction de dupliquer, mesure dont seul le site nommé peut se soustraire en y dérogeant en toute légitimité.
Que la dissimulation d’identité estimée à l’initiative de l’auteur serait abusive si elle n’évoquait pas l’éventuelle implication du mandataire,
Tout comme la volonté d’anonymat ne saurait être relevée
Attendu que l’intention du concepteur était que l’auteur soit « Goy », et que son nom ne puisse donner lieu à des supputations, que la charge de mandataire n’est conférée qu’à moi.
Si l’auteur devait être Juif, moi le cas échéant, l’évidence plus que la vanité amènerait à apprécier l’aptitude rare qu’est la subtile extraction de la part Goy que chaque Juif détient et prenant assise, deviendrait fraternité.
Que refuser de nommer, (ou de se) n’est pas censure, mais négation de l’étiquetage réducteur.
Que s’identifier à un comportement plus qu’à un individu, est porteur d’universalité
Qu’à l’égard de l’auteur, personnage imaginé, ou de chair et de sang, démontrant qu’un Juif peut aller à l’essentiel de la mentalité non juive, dans l’ultime but du rapprochement, sans se fourvoyer.
Que l’homme se fondant sur une part sacrifiée de lui-même, cette part, non juive, souvent mal intégrée, reprend parfois ses droits et que cette lettre est peut-être le recueil de la vitalité de ces restes enfouis,
Que la probabilité de voir ce personnage comme fruit de ma seule imagination, n’est pas chimère, parce que son existence, fût-elle réelle ou fictive ne présente aucun lien, avec ma dénonciation, pierre angulaire de ma démarche.
Que la nature du problème est juridique. Qu’elle vise à établir s’il y a matière à juger le comportement d’EUROPE-ISRAËL délictueux et préjudiciable et s’il y a lieu à retenir le délit de contrefaçon ;
Qu’enfin, Yossi Taïeb, Directeur de WWW.TERREDISRAEL.:COM, m’écrivant le 2 MARS 2010 :
Shalom Arnold,
Hyper classe ton article
Amitiés
Yossi
Confirme qu’acuité du regard, et œil aiguisé ont évité qu’il ne tombât dans un échange stérile !
« HYPER CLASSE TON ARTICLE »
C’est savoir en première lecture que l’évidence ne n’analyse jamais, parce que ce qui est évident se constate seulement !
Arnold Lagémi
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