Shlomo Sand vous dîtes me connaître ? Si dire le mensonge sans ne plus sentir le vide que le proférer occasionne à la vérité qui fuit, je vous laisse le blason de la honte tatouée, bien réelle et en exclusivité à vous seul conféré pour insulte à Elie Wiesel, Quand vous m’écrivez votre stylo, tout à votre image vous permet de tremper dans la fiente de l’insulte la plume consacrée à la passion de l’absurde et à l’exaltation de tout ce qui porte atteinte à la signification que les Juifs donnent aux tourments de leurs martyres. Votre fréquentation des conceptions égoutantes donne à vos écrits le panache des latrines et l’éclat des fosses à purin.
Parler de ce que vous connaissez. De ce qui fait mal aux Juifs dont je suis et que vous voulez atteindre dans le souvenir de cet oncle déporté et de son fils. Misérable !
C’est vers ce point de convergence de l’horreur faîte homme que vous excellez donc. Et bien non. ESTO NO PUEDE SER Y NO SERA Le Rav Simsovic vient de m’indiquer qu’il connaît à Herzlya un homme dont le père décédé l’a entretenu des années durant et à maintes reprises, de faits qui, révélés devraient retenir l’attention de ceux dont le ressentiment aveugle ne s’accompagne d’aucun scrupule quand il s’agit de porter préjudice aux Juifs…
Ainsi cet homme raconte qu’il se souvient sans équivoque mais avec la détermination de ceux qui, confrontés, au vrai, n’éprouvent que colère méprisante, pour celles et ceux qui, au fallacieux motif « qu’il faut tout dire », disent tout en effet. Tels les préposés à la salubrité publique qui chaque matin, vident nos poubelles, avec le risque de supprimer l’emballage et son objet.
Bref, son père décédé depuis se rappelait sans doute possible, qu’ Elie Wiesel fut son compagnon de déportation au camp d’Auschwitz. Par mépris envers les néo nazis, révisionnistes et négationnistes, il a souhaité que son nom ne figure pas. Tout message à son intention sera remis par moi-même au rav Simsovic.
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