Mentalité, troubles mentaux, et santé mentale. (FREUD SUITE)
Par une singulière intuition prophétique, grammairiens et linguistes lient la mentalité (« ensemble des habitudes intellectuelles, des croyances et des dispositions psychiques » LAROUSSE, ) à des déviances comportementales. Pourvoyeurs habituels de troubles mentaux, les dysfonctionnements de mentalité relèveraient donc, au départ d’une attitude qui, convenant à la civilisation ambiante resterait néanmoins génératrice de distorsions. Il semblerait donc que les « égarements » soient liés (pour partie) à des ( « attitudes sociales qui, par devers le libre arbitre s’inscrivent dans la violation de principes.
Ces violations ne restent pas sans conséquences. Là s’entrevoit la différence entre les civilisations, du point de vue de ce qu’elles signifient pour l’homme. Parce que la civilisation est d’abord le cadre déterminant « des données existentialistes » ou pour le dire simplement, la Tradition qui donnera naissance à la civilisation est d’abord nécessairement moralisante, parce que seule la morale échappe au déterminisme de la distorsion fautive.
Ignorant, par habitude de pensée liée au dualisme, à la dichotomie, les Occidentaux estiment que les troubles mentaux relèvent d’une autre application que l’établissement d’un lien pathologique avec la « faute de mentalité. »
C’est là qu’intervint le Professeur Baruch, psychiatre éminent, membre de l’Académie de Médecine, qui diagnostiquant la relation entre troubles mentaux, et mentalité, jugera que tout commençant par une distorsion principielle, celle-ci s’inscrira dans la définition d’une maladie transmissible qu’il conviendra de soigner.
Il y a des comportements familiaux fautifs où, par exemple, le vol est banalisé, les fautes sexuelles habituelles commises sans la conviction que, non résolus, les problèmes pourront sauter la présente génération mais jamais disparaître.
Tout devra commencer par la capacité à VOIR qui s’exerce par le VIDOUÏ, technique permettant de prier en se rattachant au sens authentique de « prier » L’EÏTPALEL se juger !