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                              dieu frappeIl en va des hommes comme des civilisations ; la dégénérescence commence toujours par un processus de décomposition qui finit par la déliquescence et la mort. Paraphrasant Victor Hugo, nous pourrions soutenir que la jeunesse de ce siècle n’empêche pas « Massada de percer sous Montoire » L’indigence est chronique, l’impuissance patente et la pulsion mortifère

 

 Discernez-vous encore la France de Malraux, ou celle de Camus, dans les gesticulations et les vociférations des prétendants et prétendus successeurs ?  L’enjeu est démesuré et, au motif de présentation des technologies d’avant-garde est servi un détestable cocktail de substitution où la culture laisse progressivement sa place à la caricature d’elle-même !

 

Dans les années 70 on persévéra dans la médiocrité ne cherchant même plus à faire diversion car imiter sans admirer ne saurait perdurer sans trahir manifestement !    Les Grands étaient encore tièdes dans leur tombe et si l’on restait insensible au déshonneur on se souvenait encore de la morsure de la honte. Aussi s’ingénia-t-on à éviter toute comparaison.     L’appel du néant décelable malgré les vains efforts pour le cacher laissait deviner ce que réservait la confrontation avec les JuifsCar les historiens et les sociologues savent que toute tentative d’en découdre avec les Juifs est toujours cotangente d’un appauvrissement de soi même.

 

Qu’en est-il aujourd’hui ? Quand on a entendu « Mort aux Juifs » dans les rues de Paris on sait que ce résidu infâme ce  quelque chose d’infect prend la route de la haine endémique !  Parce que « ceci » explique « cela », on n’ignore pas, quand bien même, ne le souhaitant pas, que  Disraéli le prophète de l’ère victorienne exhorte au repentir avant que d’assister à ce que les Nations « soient traitées comme elles ont traité les Juifs ! »

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