Jérusalem est Juive, n’en déplaise à l’UNESCO !
Il faut éviter le piège « d’ouvrir débat » sur la nouvelle résolution de l’UNESCO sur Jérusalem !
Considérant la régression que serait un nouveau débat sur la validité de la souveraineté juive sur Jérusalem, gardons-nous de débattre à ce sujet en faisant le jeu de l’antisionisme le plus rétrograde.
Le droit des Juifs sur Jérusalem n’a plus à être démontré. Il s’agit d’une donnée d’évidence liée à un droit reconnu d’abord et essentiellement par la culture universelle . Se soustraire à cette donnée immédiate de la conscience historique serait accepter de discuter d’un droit que les Nations font semblant de méconnaître !
Dans son Encyclique « Mysticis corpori Christi » Pie XII soutient que lorsque Jésus périt sur la Croix, le « voile du temple se déchira ». S’il ne s’agissait pas du temple des Juifs, peut être concernait-il le sanctuaire du Ridicule dans lequel les antisémites de tous les temps sacrifient la vérité à la « haine du Juif ! »
Non ! Il n’y aura pas de débat sur le caractère éternellement Judéen de Jérusalem !
Je suis comme vous, j’exècre le mensonge.
Par conséquent, rétablissons la Vérité.
DAVID (DAUD)
Le nom de David (Daud, דוד ) veut dire : le favori de Hevah.
Ce nom a plusieurs significations symboliques, comme tous les noms de femmes ; il exprime tantôt les vraies qualités de la femme-esprit, tantôt ses conditions sexuelles, tantôt ses souffrances.
David fut la plus grande figure de l’histoire d’Israël, la plus haute expression de la puissance morale de la femme, le plus beau caractère, la plus haute intelligence, mais aussi la plus douloureuse, des martyres.
Elle fut proclamée Soffet à l’unanimité vers 1050. Elle avait alors 30 ans, une beauté éclatante et une grande renommée.
Tous les défenseurs du droit et de la justice, c’est-à-dire de l’ancien régime, se mirent ouvertement avec elle ; elle était surtout défendue par les écoles de prophètes de Rama. Les tribus vinrent lui faire soumission à Hébron, disant : « Nous sommes tes os et ta chair », manière de dire : nous sommes du même sexe.
David fut, à partir de ce moment, inviolable et sacrée.
Hébron qui était une grande ville devint la capitale d’Israël. David continua d’y résider encore 5 ans 1/2 et y vit naître sa famille. C’est après ce temps qu’elle fonda Jérusalem.
ORIGINE DE JÉRUSALEM
D’abord la ville Jébuséenne appelée Gueducéa se composait de la montagne de Sion et d’une ville basse « Ophel » qui descendait vers la source appelée Gihon (aujourd’hui fontaine de la vierge).
Daud (alias David) rebâtit la ville haute de Sion, qui fut sa montagne, comme le Sinaï avait été la montagne de Myriam (alias Moïse). C’est elle qu’on appela « la ville de Daud ».
Des ouvriers vinrent de partout, mais surtout de Tyr, qui envoya ses plus beaux matériaux, surtout le bois de cèdre. Ces artistes tyriens construisirent à Daud un palais près de Milo, dans la haute ville de Sion. Le prestige qui entoura cette demeure royale fut extraordinaire.
Le temple de David fut bâti sur l’aire rocailleuse d’Areuna le Jébuséen.
Autrefois on plaçait le fameux mont Moria près de Jérusalem.
LES DEUX ROYAUMES (Israël et Juda)
Avant le schisme de Juda, le peuple d’Israël ne forma qu’une nation.
C’est après le schisme (975 av. J-C), et à partir de La défaite des Israélites que la tribu de Juda prend de l’importance et que le nom qu’elle se donne, Iehoudim, figure dans l’histoire.
Dans les Rois, on trouve ce nom pour la première fois (XVI,7) pour désigner les révoltés de Juda.
C’est de ce nom qu’on fera Judaei ; de Judaeus on fera Juif.
Par conséquent, la ville de Jérusalem est originellement israélite et non juive.
Il ne faut jamais confondre ces deux termes qui distinguent deux royaumes que tout oppose.
Cordialement.