La priorité accordée aux seuls échanges économiques israelo chinois au détriment des convergences politiques traduit à l’analyse, en dépit des apparences le désir d’aller plus loin que ne le permettrait le seul échange technologique.
Car, l limiter la coopération au domaine technologie habituera les parties à une promiscuité qui débouchera forcément sur le domaine politique.
Saluant le vice-président Chinois, en visite à Jérusalem par des propos pour le moins visionnaires par leur singularité « L’AN PROCHAIN A PÉKIN »le premier ministre Israélien annonce la nature de la coopération qui se prépare avec la Chine: des échanges économique s’inscrivant dans le cadre d’un renversement d’alliances.
La grande inconnue dans cet intérêt partagé sera la place qui sera consentie aux USA. Le grand allié d’outre Atlantique n’acceptera pas facilement d’être évincé de son rôle de grand arbitre.