Le 28 novembre dernier vous me faisiez savoir que le texte de mon « droit de réponse » lui-même faisant suite à l’article que vous aviez rédigé « MARINE LE PEN FAIT LA COUR AUX JUIFS » où je suis mentionné de manière mensongère et diffamatoire serait publié. Un délai de six mois s’est écoulé, et mon « droit de réponse » superbement ignoré.
Puis je espérer, avant l’établissement d’une paix définitive avec les Palestiniens que ce « droit de réponse » confirmé par l’usage et garanti par la loi sera respecté… ?
Je vous exprime ici, les réserves et la honte que pareille attitude fait rejaillir sur l’honorabilité de la presse.