L’investissement financier, quelle que soit la forme retenue impose l’éradication certes, du terrorisme, mais également et surtout, la crainte de celui ci. La peur de l’acte de terreur n’est pas compatible avec le fait de confier ses économies à qui prétendra et saura les faire prospérer par des placements judicieux.
La « trouille » de l’explosion qui vous surprendra n’importe où et n’importe comment n’encouragera pas votre sens de la prévision et de la prévoyance à réfléchir sereinement à la meilleure initiative en la matière.
Outre la peur physique, vous ne viendrez pas à bout de l’incertitude de « revoir » tout ou partie de votre patrimoine confié dans des conditions d’existence qui imposaient d’abord de savoir conserver et maintenir, avant de prétendre à s’enrichir. Cela est vrai pour l’ouvrier comme pour le richissime financier.
Menacer en permanence la France de terrorisme est en soi un acte criminel qui encourageant la peur, tétanise l’initiative. L’évidence s’impose! Comme la menace à l’égard d’une personne est regardée comme délit, la Justice devrait considérer sous le même angle la menace du terrorisme; si ce n’est déjà fait!
Le Président Hollande a compris des « choses » bien plus subtiles pour être soupçonné d’indifférence à l’encontre du terrorisme. Il faut préciser, toutefois, que le terrorisme commence là où discours et attitiudes séditieuses sont susceptibles de donner vie à des pulsions terroristes ou des projets de même nature.
Cette implication du stress par la peur de la bombe doit être prise en compte sans délai. Dans la mesure où sont connus des services de police, les dévastateurs de la sérenité, la loi pourrait être appliquée sans délai.
Nul doute, que les pulsions terroristes seront alors plus nuancées!