Dans l’imbroglio des Alliances qui, à la veille d’un conflit prévisible contre l’Iran et les « forces islamistes » ne permet pas, avec certitude, de savoir « qui est pour qui » et « qui est contre qui » La République de Chine, donne des indices, plus que des signes, sur le rôle qu’elle entend tenir, permettant, d’envisager, des bouleversements planétaires.
Après avoir tenté de convaincre les opinions qu’Israël était seul responsable du conflit en gestation, les Chancelleries commencent à désigner l’Islamisme comme autre danger réel après avoir estimé « potentielle » sa dangerosité. Il faut dire que Pekin n’attend l’aval de personne pour engager un processus d’élimination intérieure qui risque de causer bien des déconvenues.
Ce n’est pas sans raison que la Chine a choisi ce moment de tension pour faire savoir qu’elle construira, en Israël une ligne de chemin de fer à vocation industrielle afin de préserver les « routes commerciales » Mais surtout, elle fait savoir que, notamment dans la province du Xinjiang, région à forte densité Musulmane, diverses mesures prises par les autorités indiquent que les Chinois entendent désormais réduire l’exercice de l’Islam, à un minimum tel que la volonté d’éradication en paraît l’essentielle motivation.
Outre de nombreux précédents sanglants, un fait parmi une multitude d’autres bien plus graves, et dont la presse se fait l’écho : « Obligation, sous peine de fermetures et poursuites de vendre de l’alcool, notamment durant la période du Ramadan. » Le « Financial Times » : « Le Ministre Irakien de l’extérieur informe que la Chine souhaite se joindre aux frappes aériennes contre les Djihadistes ! «
La guerre n’est plus imminente, elle a commencé!