La culture juive exclut le fanatisme, et proscrit l’intolérance, mais ignorant le boycott… elle s’expose !
Le fanatisme est à la conscience Juive ce que l’alcool est à la vigilance, un facteur de régression ! L’intolérance et le fanatisme sont des travers que l’identité juive ne peut éviter. La transmission patrimoniale de l’Election peut entraîner la folie de « se prendre au sérieux sans être sérieux, pour autant ! »« On la rencontre dans tous les milieux où la certitude de détenir le vrai a pour conséquences souvent inévitables le recours à la violence, « Si j’ai raison tu te trompes ! » d’abord verbale.
Les initiatives premières indiqueront si l’esprit de l’interlocuteur permet d’escompter un ralliement. Dans la perspective négative, prudence et vigilance s’imposeront. Il faut bien comprendre le processus et d’abord l’apriori. Si l’interlocuteur laisse espérer une adhésion, il sera l’objet de sollicitudes. Si, c’est à un « esprit fort » qu’on doit se mesurer, le fanatique n’hésitera pas à menacer. Convaincu que le vrai de son camp permettra le sauvetage d’Israël, la menace de mort sera invoquée contre les « politiques » d’abord, puis viendra le tour des magistrats.
Si une société veut vérifier la pénétration de l’exigence morale, seule la façon avec laquelle la justice est rendue sera révélatrice. D’ores et déjà, de graves négligences confondent l’exercice des libertés avec mansuétude accordée aux œuvres de l’esprit. La prose séditieuse de Yéchayaou Leibowitz est dévastatrice . Par ailleurs, les juges se voient reprocher facilement, trop facilement l’impartialité.
Les moyens de débusquer ce dysfonctionnement de « l’esprit » chez les non Juifs ne sont pas différents de ceux qu’on utilisera pour un même objet chez les Juifs. Singulier rebondissement de cette volonté de puissance assassine qui établissant sa supériorité sur la signification erronée de l’Election, sera punie par la propagation d’une extrémité de la terre à l’autre du même syndrome applicable à toutes les identités Le fanatique Pakistanais, sera le jumeau de l’intégriste catholique et le Juif sioniste, frère aîné de cette confrérie de l’exclusivisme qui guette tout homme s’exposant aux inévitables dangers de la régression fanatique quand son avenir lui parait conditionné bien plus par la destinée que par l’usage de la liberté !
Dès lors qu’on touche au domaine des convictions le risque se montre. Pourquoi ? Parce que les convictions révèlent d’abord que les vertus au contenu spécifique seront prioritairement recherchées. Ce n’est pas sans raison, que la qualité tutélaire de l’Occident, par laquelle la civilisation se fonde, c’est l’amour. Si sa pratique comble c’est la certitude que son désintérêt devient vite carence.
L’investigation juive ne peut cependant méconnaître qu’en soulignant que la conscience morale pratiquée rend inutile la conversion au Judaïsme devrait suffire à immuniser !
Cependant, vivant pour la plupart dans cultures dites ouvertes, les JUIFS « emprunteront » parmi les éléments exportables, les données sur lesquelles très précisément ils se distinguèrent, des « GENTILS » Non seulement ils sont séduits par l’inutilité de convaincre « fanatisme », « l’intolérance » les en dispensant, mais ils assisteront sans pour autant en être amusés à leur mode juif de pensée dénaturée au premier « baiser » Ils prendront le parti de « la pensée juive unique » et ils y rajoutent un zeste judéïquew ; Un Juif s’expose aux dangers du fanatisme dès lors que sa relation avec une pensée différente s’établira sur des compromis ou des concessions On reconnaîtra ce Juif sous influence par :
Son impatience à ouvrir les hostilités ! Cela s’explique par son refus de différer l’occasion de frapper la différence. Je redis ce que je soutiens par ailleurs à ce sujet. Le fanatisme, aveu d’impuissance compense sa difficulté à tolérer l’avis (voire la vie !) de l’autre en se tenant prêt à prononcer les paroles radicales et extractrices, comme « «Vous ne savez rien » Attaques à la personne, cible préférée du fanatisme permettant d’éviter le combat contre l’idée et sa vacuité pour atteindre l’homme, sa chair, son sang, constitutifs patents qui font mal et atteignent cette intention.
Signe infaillible, le fanatique qui enseigne importe la peur que le vrai doit inspirer et les valeurs estimables à ses yeux sont l’obéissance et l’Ordre
C’est dans sa relation à l’enfant que le fanatique, Juif, éventuellement s’il est enseignant révélera sa perversion et ignorera d’entremêler sa réponse d’un encouragement. Lui disant, par exemple, que « la volonté de participer n’a pas encore permis de dire juste mais qu’un tel courage portera ses fruits. » Il se limitera à soutenir que l’élève doit mettre en pratique le contenu des cours. Qu’il est là pour çà !L’échec scolaire ne lui est pas imputable. Et les conseils de classe d’enseignants fanatiques sont souvent des cours martiales !
La spécialité du fanatique sera sa culture de la digression par l’usage d’une dialectique surannée mais toujours appréciable. Face à un solliciteur, il saura verrouiller la suspicion sur ses choix sélectifs en désignant une valeur universellement protectrice comme l’amour, alors que quelques minutes auparavant il n’avait pas été gêné pour démettre les « politiques » prêts à négocier la terre. Le Juif fanatique jugera cohérent de soutenir que si le Chef est désigné par vote populaire ses décisions s’imposeront. Il rajoutera, dévoilant partialité et arbitraire un élément qui ruinera la démonstration de sa compétence. « Il faudra en vérifier que la règle n’est pas spécifique à une époque. Nourrissant l’incapacité de la pratique des valeurs du XVIII ème s’opposant à l’orthodoxie éliminatrice, il tentera, toutefois une démagogie primaire en insistant sur son talent à avoir su intégrer le meilleur de l’Occident. Il prendra garde à la glorification des valeurs universelles, ne voulant pas admettre qu’à l’œil averti, son insistance à éliminer la réfutation signe la mauvaise foi.